Nos articles d’actualité et d’analyse sur la Banque centrale européenne (BCE), sur les déclarations de ses principaux dirigeants, sur ses annonces de politiques monétaires (évolution des taux directeurs, programmes de liquidité ou de rachats d’actifs, suivi de l’inflation).
Le Conseil des gouverneurs reste bloqué par sa volonté de voir dès aujourd’hui le résultat de ses actions, qu’il sait pourtant généralement plus décalé dans le temps.
La Banque centrale européenne a réduit d'un quart de point, comme prévu, son taux de rémunération des dépôts, alors que la prévision de croissance en zone euro a été revue à la baisse.
Les économistes estiment que l’institution peut rester prudente, et garder une marge de manœuvre pour agir plus fort plus tard si nécessaire. Notamment si des facteurs exogènes comme la politique budgétaire viennent influencer la politique monétaire.
La Banque centrale européenne devrait réduire ses taux. Apple dévoilera son nouvel Iphone et quelques entreprises publieront leurs comptes semestriels.
Trop attentive à sa «balance des risques» inflationnistes, la BCE doit prendre garde à ne pas trop tarder à un nouvel assouplissement monétaire, alerte le chef économiste d'Axa. Car si les consommateurs européens restent «en grève», trouver de nouveaux soutiens à la croissance va très vite devenir une urgence.
La forte baisse du billet vert en août s’explique presque exclusivement par les attentes d’assouplissement de la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine.
Une publication préliminaire inférieure aux attentes en Espagne a fait chuter l’euro-dollar de plus de 0,4% au-dessous de 1,108. Les premiers chiffres publiés par les Länder allemands vont dans le même sens.
Les prêts aux entreprises ne repartent pas vraiment. De retour en zone positive pour toutes ses composantes en juin, la masse monétaire régresse même en rythme mensuel en juillet.
Les salaires négociés ont progressé de 3,55% contre 4,74% trois mois plus tôt, renforçant la probabilité d’une baisse de taux de la BCE en septembre, d’autant que ce ralentissement devrait se poursuivre.
La croissance des prix a été stimulée par l’énergie mais l’inflation dans les services recule légèrement et suffisamment pour que le marché continue de parier sur une baisse de taux en septembre.
Les banques ont rapidement restauré leurs services après la panne informatique mondiale de CrowdStrike. La BCE, qui vient de conclure son premier stress test cyber, pointe toutefois « des marges d’amélioration ». Sans, pour autant, se prononcer publiquement sur la robustesse du secteur.
La masse monétaire confirme un retour en zone positive pour toutes ses principales composantes, mais cela reste timide, trop pour relancer l’investissement également nécessaire à la croissance.
Malgré un rebond des services en France à un plus haut de trois mois, les indices PMI européens mettent en évidence une quasi-stagnation de l'activité en juillet.
Malgré les précautions oratoires de certains gouverneurs plus «faucon», le Conseil de la BCE semble faire consensus sur la désinflation en cours et l’idée d’une nouvelle baisse de taux en septembre, déjà intégrée par les marchés.
Le Conseil des gouverneurs a été unanime pour reporter la discussion sur la baisse de taux au 12 septembre, quand il aura davantage de données économiques. Mais la confiance affichée sur l’inflation ouvre clairement une porte pour cette échéance.
La Banque centrale européenne a laissé à 3,75% le taux de sa facilité de dépôt. Alors que l'inflation en zone euro reste supérieure à l'objectif, l'institution continue d'adopter une approche "réunion par réunion".
Les conditions des prêts devraient moins se resserrer désormais, selon l’enquête trimestrielle de la BCE. Mais la demande des entreprises tarde encore à redémarrer.