
CARNET ACTIFS 778
GESTION D’ACTIFS
NICOLAS NAMIAS, 44ans, est nommé directeur général de Natixis. Il commence sa carrière en 2004, à la direction générale du Trésor du ministère de l’Economie et des Finances. Il rejoint, en 2008, le groupe BPCE à la direction financière puis exerce entant que directeur du pilotage de la banque commerciale et assurance. Il est nommé, en 2012, conseiller technique du Premier ministre pour le financement de l’économie, les entreprises et les affaires économiques internationales. Il retrouve en 2014, le groupe BPCE et devient directeur de la stratégie de Natixis, membre du comité exécutif. A ce titre, il coordonne l’ensemble des opérations de croissance externe ainsi que la définition du plan stratégique 2017-2020. Il est nommé, en 2017, directeur finance et stratégie et membre du comité de direction générale de Natixis. Il est également président du conseil d’administration du Crédit Foncier depuis août 2019.
GESTION DE PATRIMOINE
IGOR DE MAACK, 45 ans, devient gérant de fonds chez Vitalépargne. Il avait rejoint DNCA en 2007 après plusieurs expériences au sein de grands groupes bancaires. Il avait commencé aux côtés de Jean-Charles Mériaux comme co-gérant des fonds Centifolia et Gallica. En 2012 il a créé, au sein de DNCA, sa propre équipe de gestion composée de Félix Haron, Romain Avice et Olivier Habault avec pour mission la gestion des stratégies Convertibles, Infrastructures et moyennes capitalisations au sein du fonds Gallica.
ELISABETH AUBINEAU nouvelle administrateur chez UFF. Responsable des risques opérationnels d’Axa Investment Managers, elle rejoint en 2008, Deloitte, spécialisée dans le risk management, le contrôle interne et l’audit interne. En juillet 2015, elle entre chez Avia comme directrice de l’audit interne et intègre le comité exécutif à partir du 1erjanvier 2017 puis est nommée, en juillet 2019, directrice communication, marketing et marque.
RAPHAËL QUARELLO devient administrateur d’UFF. Il entame sa carrière chez KPMG comme senior auditor en 1996 puis rejoint, en 2000, Ernst & Young où il évolue vers le poste de senior manager services financiers et risque. Il intègre, en 2009, le groupe Aviva en tant que responsable de l’audit du marché vie en Europe, puis à partir de 2013, comme directeur de l’audit d’Aviva Italy. Il est nommé, en mars 2017, directeur de la conformité d’Aviva France et devient en juin de la même année, directeur des services clients.
GILLES RAGEADE, 52ans, est nommé directeur des achats et de l’environnement de travail, au comité de direction de l’entreprise chez UFF. Il débute sa carrière chez Aviva en 1994 et occupe diverses fonctions à responsabilité, notamment dans les activités RH, finances et environnement de travail.
EVAN FILHOL, 24 ans, consultant multi family office de Cedrus & Partners. Il commence sa carrière, en 2017, chez APlus Finance en charge de la relation partenaire où il développe l’activité immobilier au travers d’un OPCI.
GESTION D’ACTIFS
MARCO MORELLI, 58 ans, est nommé executive chairman chez AXA Investment Managers et membre du comité de direction d’AXA. Après diverses expériences professionnelles en Europe chez KPMG, Samuel Montagu Ltd et UBS Ltd, il rejoint JPMorgan en 1994 et exerce en tant que directeur général Italie et membre du comité exécutif de JPMorgan Europe. Il intègre en octobre 2003, la banque Monte dei Paschi di Siena et en devient directeur général adjoint en 2006. En janvier 2010, il est directeur général adjoint du groupe Intesa San Paolo, fonction qu’il occupe jusqu’en 2012, date à laquelle il rejoint Bank of America Merrill Lynch en qualité de vice-président Europe, Moyen-Orient et Afrique et directeur général Italie. Il est en septembre 2016, directeur général de la banque Monte dei Paschi di Siena, fonction qu’il occupe jusqu’en mai 2020.
TIM RAINSFORD est nommé directeur commercial Monde de Generali Investments Partners. Il évolue pendant treize ans chez Man Investments Ltd et y occupe des fonctions à responsabilités croissantes, dont celles de head of European sales et global co-head of sales and marketing. Il rejoint ensuite GAM Investments comme group head of distribution and marketing, chargé de définir les axes stratégiques du développement commercial et marketing.
INSTITUTIONS
PHILIPPE BRASSAC, 60 ans, nouveau président de la Fédération Bancaire Française. Il entre au Crédit Agricole en 1982 et exerce diverses fonctions telles que chef de service, directeur de l’organisation puis directeur financier, bancaire et marketing au Crédit du Gard. Directeur général adjoint du Crédit Agricole des Alpes Maritimes en 1994 devenu Crédit Agricole Provence Côté d’Azur. Directeur des relations avec les caisses régionales au sein de la Caisse Nationale du Crédit Agricole en 1999, il est depuis 2001, directeur général du Crédit Agricole Provence Côte d’Azur. Il est élu, en 2008, vice-président de la Fédération nationale du Crédit Agricole puis secrétaire général en 2010. Il est depuis 2015, directeur général de Crédit Agricole SA.
CONSEIL
GAËTAN FOURNIER, 34 ans, devient secrétaire général, en charge de la finance, de la conformité, du juridique et des ressources humaines d’ABC arbitrage. Auditeur financier au sein d’Ernst & Young avec une spécialisation middle market, il rejoint, en 2012, ABC arbitrage et prend, en 2016, la fonction de responsable de la finance et du contrôle interne.
AVOCAT
ASDRIG BOURMAYAN est nommée associée chez Simmons & Simmons Paris. Avocate au barreau de Paris depuis 1999 et solicitor depuis 2001, elle exerce au sein de cabinets internationaux avant de rejoindre le groupe Nexgen pendant cinq ans, en charge de la structuration juridique. Elle entre chez Simmons en 2014 comme of counsel.
IMMOBILIER
CHARLES SAIAG, 63 ans, executive advisor chez Foncière Atland. Il rejoint Paribas en 1983. Chargé des activités de promotion ainsi que des opérations financières pour le compte du pôle immobilier de la banque, il intègre le département Corporate Finance en 1997 où il dirige plusieurs secteurs, notamment FinanciaI Institutions Group (FIG), Retail et Real Estate. En 2014, il prend la responsabilité du secteur intégré immobilier pour l’Europe au sein de la banque d’investissement de BNP Paribas, supervisant à la fois les activités de corporate finance et celles de financement.
VALÉRIE BRITAY, 58 ans, est nommée directrice générale adjoint en charge du pôle bureaux au sein du comité exécutif de Gecina. Elle occupe les postes de directrice commerciale puis directrice générale adjointe du pôle bureaux avant d’être nommée directrice générale centres commerciaux France au sein de Unibail-Rodamco (devenu Unibail-Rodamco-Westfield). Elle intègre Gecina en juillet 2017 en qualité de directrice exécutive bureaux.
ELENA MINARDI, 38 ans, nouvelle directrice en charge de la planification stratégique et des partenaires au sein du comité exécutif de Gecina. Elle entame sa carrière chez DDB puis McCann Erickson à Milan avant de la poursuivre au sein de la fondation Umberto Veronsesi. Elle rejoint, en 2011, le groupe McArthurGlen à Londres où elle évolue comme brand partner marketing manager avant d’intégrer, en 2014, à Paris, McKinsey & Company en tant que senior associate puis engagement manager. Elle entre chez Gecina en avril 2018 en qualité de cheffe de cabinet.
PIERRE GARIN, 34 ans, est nommé directeur du pôle immobilier de LINXEA. Il démarre sa carrière en 2008 en tant que chargé de clientèle chez Harmonie Mutuelle puis devient pendant six ans, gestionnaire de clientèle puis gestionnaire de clientèle patrimoniale à la Caisse d’Epargne de Midi-Pyrénées. Il rejoint LINXEA en 2018 en qualité de responsable du pôle immobilier.
GESTION DE FORTUNE
MAXENCE DEMAINEI,40 ans, est nommé responsable des intermédiaires financiers d’UBS France. Il démarre son parcours professionnel au sein de la société de gestion Oddo & Cie en 2006 en tant que relationship manager. Il était, depuis 2008, client advisor intermédiaires financiers au sein d’UBS France.
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse