
CARNET ACTIFS 773
ASSURANCE(LEAD)
GRAS SAVOYE WILLIS TOWERS WATSON
PIERRE WENDLINGnouveau directeur de la stratégie et du développement du département retraite et épargne salariale de Willis Towers Watson Gras Savoye. Il exerce pendant seize ans dans le domaine de la retraite, l’épargne salariale et l’investissement financier en France et à l’international. Il était auparavant directeur senior.
ASSOCIATIONS
APIC (Association professionnelle des intermédiaires en crédits)
BRUNO ROULEAUdevient président de l’APIC (Association professionnelle des intermédiaires en crédits) Il entame sa carrière en 1984 chez BICS-Banque Populaire puis du Crédit Agricole Ile-de-France. Il rejoint, en 1993, l’Union des Banques à Paris en tant que directeur d’agence sur plusieurs sites. En 2000, il passe à la Banque Privée Européenne où il ouvre l’agence de Paris République puis reprend l’agence de Versailles. Entre 2005 et 2010, il intègre les fondateurs d’In&Fi Crédits, auprès desquels il devient associé, en participant à la création et en prenant la direction de plusieurs structures du groupe (In&Fi Crédits Pro, In&Fi Assurances, et l’Institut de Formation des Intermédiaires Bancaires). Il collabore ensuite, pendant cinq ans chez CAFPI en qualité de responsable grands comptes, directeur de l’organisation internet et membre du Comex. Il crée, en 2015, son cabinet de conseil et formation Mutans Consultants et rédige en même temps des ouvrages professionnels. Il retrouve IN&FI Crédits en janvier 2018 comme directeur des partenariats et porte-parole de l’enseigne, et est nommé administrateur de l’APIC en novembre 2018, puis secrétaire du bureau en janvier 2019.
AVOCAT
DE GAULLE FLEURANCE & ASSOCIES
JERÔME LABROUSSE,est nommé associé en droit fiscal de De Gaulle Fleurance & Associés. Il débute sa carrière au sein du département fiscal du groupe Schneider Electric à Chicago avant de devenir senior tax manager pour Ernst & Young à New York. Il exerce ensuite en tant que managing director au sein des départements de structuration financière de Société Générale puis de Citigroup à Paris. Chargé d’enseignement à l’Université de Paris II Panthéon-Assas, il est intervenu au sein du master 2 de droit des affaires et fiscalité, du magistère banque finance et du master 2 techniques financières et bancaires. Il participe également à des conférences en France et à l’étranger sur les problématiques de structuration juridiques et fiscales des opérations d’acquisition, comme par exemple au sein de la chaire finance de l’ESSEC.
INSTITUTIONS
AMF
FRANÇOIS GUILLEMOT,54 ans, nouveau directeur de la gestion, de l’informatique et des ressources humaines de l’AMF (Autorité des marchés financiers). Après avoir débuté sa carrière en 1989 chez Sun/Oracle comme responsable système et réseau, il exerce entre 1995 et 2001, des fonctions de responsable technique, directeur des partenariats, directeur d’agence ou de secteur d’activité au sein d’entreprises de services industriels, de services informatiques ou d’un opérateur internet. Il rejoint, la même année la société ATOS comme directeur des secteurs industrie et distribution, puis énergie, et enfin en tant que directeur de la région Rhône-Alpes. En 2007, il prend les fonctions de directeur général du Groupement informatique de la protection sociale (GIPS), le groupement d’intérêt économique informatique d’APICIL/IRCEM. Il poursuit sa carrière en 2009 au sein de l’entité informatique nationale de Groupama comme responsable assurances dommages, directeur des systèmes d’assurances, puis directeur des études et développements. En 2016, il rejoint Mutex (Groupe VYV), dont il devient en 2017 directeur général adjoint, en charge de la transformation, des ressources humaines, des services informatiques et des opérations. Il pilote alors plusieurs projets de transformation des postes de travail et la structuration des stratégies autour de la donnée et du digital.
GESTION DE PORTEFEUILLE
MNK PARTNERS
VICTOR DROIT,rejoint MNK Partners en qualité de directeur commercial. Il exerce en banque privée chez LCL et Société Générale puis occupe entre 2013 et 2020 des fonctions commerciales au sein de sociétés de gestion immobilières, PERL puis Horizon AM.
ASSURANCE
AXA
IRENE DORNERest nommée présidente du comité d’audit d’AXA. Elle débute sa carrière en tant qu’avocate conseil pour Citibank N.A. En 1986, elle rejoint la banque Samuel Montagu en qualité de responsable de la direction juridique et, suite, à l’acquisition de Mildland Bank par HSBC en 1992, devient responsable de la planification stratégique de Midland Bank. Elle occupe ensuite diverses fonctions opérationnelles et fonctionnelles de premier plan chez Midland Global Markets et HSBC Bank. Elle devient, début 2007, président-directeur général adjoint d’HSBC en Malaisie. De 2010 à 2014, elle est directeur général et président d’HSBC USA. Directeur général groupe d’HSBC Holdings (Royaume-Uni) et membre du directoire du Groupe HSBC. Elle quitte en 2014 HSBC puis exerce entre mars et octobre 2018, comme présidente de Virgin Money au Royaume-Uni. Elle est depuis février 2020, présidente du conseil d’administration de Taylor Wimpey plc au Royaume-Uni.
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Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse