Afin de conquérir et fidéliser leurs clients, les banques privées mettent au cœur de leur proposition de valeur leur capacité à développer une relation de proximité et de confiance, ainsi qu’un haut niveau d’expertise. Mais les family offices viennent désormais s’immiscer dans ce schéma.
Arrivés en force après la pandémie de Covid-19, ces acteurs veulent s’imposer dans le paysage ultra-concurrentiel français en misant sur leur profil international tant au niveau des clients que de l’offre.
Faire accepter par les Français de nouvelles hausses d'impôt est un exercice délicat. Mais les connaissances concernant la psychologie des contribuables ne manquent pas, estime Mickaël Mangot, spécialiste d’économie comportementale et enseignant à l’Essec.
N'oublions pas que la pierre est soumise aux cycles du marché et demeure un placement de long terme. Ajoutons par ailleurs que dans la crise, ceux qui ont « fait le dos rond » sont toujours sortis gagnants.
Grâce à l'analyse de 943 portefeuilles provenant du monde institutionnel et du retail via son offre Portfolio Clarity, Naxitis IM a pu constater l'attrait grandissant pour les marchés privés et notamment le private equity pour les particuliers.
L'étude Global Wealth Management 2024 d'EY indique qu'au cours des cinq à dix prochaines années, nous assisterons à un transfert de richesses intergénérationnel mondial de plusieurs milliards de dollars de la génération des baby-boomers à leurs familles. Bouleversement en vue.
Dans un contexte macroéconomique et géopolitique incertain, les établissements ajustent leur offre d’investissement avec notamment l’avènement de l’obligataire et l’émergence des marchés alternatifs. Les actions n’ont pas dit leur dernier mot.
Tandis qu’UniCredit veut croquer Commerzbank, BNP Paribas profite du retrait de HSBC dans la gestion de fortune en Allemagne. Très atomisé, le marché outre-Rhin est aussi très concurrentiel. Un obstacle parfois sous-estimé par les banques étrangères.
Les investisseurs en capital-investissement reconnaissent que la classe d’actifs est coûteuse mais s’en accommodent tant qu’elle maintient sa performance historique. Les petits arrangements entre amis sont néanmoins légion.
Dans un environnement concurrentiel de plus en plus féroce, les géants du secteur s’appuient sur une forte présence régionale et la puissance de leur bilan. Les acteurs de plus petite taille, le plus souvent familiaux, mettent en avant leur agilité et leur indépendance.
A l’heure de la prise en compte des préférences ESG des clients banques privées, ces dernières doivent adapter leurs organisations face à des règlementations en constante évolution et générer les revenus complémentaires issus de ces nouvelles opportunités.
Alors que le rapport qualité-prix des supports financiers est au centre des préoccupations, les frais appliqués aux unités de compte ne semblent pas subir de tendance baissière, selon le cabinet Facts&Figures.
Le niveau d'expertise nécessaire et l'illiquidité figurent parmi les principaux freins selon un sondage réalisé par OpinionWay pour Ramify ciblant 500 épargnants dotés d'un patrimoine financier supérieur à 30 000 euros.
L'Autorité des marchés financiers constate qu’aucune des sociétés de gestion contrôlées lors de ses actions de supervision ne respecte complètement le règlement européen SFDR en matière de finance durable, en raison du manque de données extra-financières externes.
Alors que s'opère le plus vaste transfert de richesse connu, des tensions entre les générations sont inévitables que seul le conseil patrimonial peut amoindrir.
Les conseillers financiers constatent un embouteillage dans les demandes de renseignements sur l’assurance-vie luxembourgeoise depuis la dissolution de l’Assemblée nationale. Une tentation de l'exil motivée avant tout par le souhait de sécuriser les avoirs.