Après avoir joué au banquier en Italie, Alexandre est tombé dans la marmite du journalisme économique en 1999. Il a rejoint L’Agefi l’année suivante et a accompagné toutes les transformations du groupe, dont il dirige la rédaction depuis 2019. Il profite des heures de fermeture des marchés financiers pour écrire un roman tous les dix ans.
Statut écorné, investisseurs plus vigilants, moindre demande : l'annonce d'un train de 44 milliards d'euros de mesures de redressement intervient à un moment charnière pour la France sur les marchés obligataires.
En temps de stress sur les marchés, la Fed inonde le monde de dollars. Ses contreparties s'inquiètent aujourd'hui du maintien de ce filet de sécurité essentiel à la stabilité financière si Donald Trump décidait d'empiéter sur l'indépendance de la banque centrale.
Il manque à la monnaie unique un stock d'actifs suffisamment bien notés et liquides pour servir de refuge aux investisseurs mondiaux en période de stress des marchés. L'idée d'une mutualisation partielle des dettes souveraines refait surface.
Le record de capitalisation boursière inscrit par Nvidia illustre le changement de psychologie des investisseurs depuis le printemps. L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
La holding d'investissement, qui fêtait ses 15 ans le 18 juin, multiplie les bons coups. Sa dernière prise de participation marquante, la recapitalisation du gestionnaire de maisons de retraite, a triplé de valeur en un an.
Portés depuis mars par le pari boursier vers la souveraineté européenne, le fournisseur d'informatique dématérialisée et l'opérateur de satellites intègrent l'indice SBF 120 le 23 juin. Malgré un flottant rétréci pour l'un, et la perspective d'une dilution massive des actionnaires pour l'autre.
Censée libérer les bilans bancaires, la réforme de la titrisation présentée ce mardi à Bruxelles constitue une étape importante vers l'Union de l'épargne et de l'investissement. Mais n'en attendons pas de miracle. L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
Salué comme une bonne nouvelle pour l'Union bancaire, le rachat de Novo Banco ne changera pourtant rien à l'affaire. L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
Les deux groupes ont mené cette semaine des émissions obligataires à cinq ans et racheté des souches d'échéances plus proches qui leur coûtaient deux fois moins cher. Le symbole d'un monde où la dette reste abondante, mais où les frais financiers augmentent.