Toute l’actualité du géant français de l’énergie (résultats financiers, investissements, gouvernance, financement), sa stratégie notamment pour réduire sa dépendance aux hydrocarbures (pétrole et gaz) au profit des énergies renouvelables.
A la veille de sa journée investisseurs, le pétrolier a annoncé avoir pris la décision finale d'investissement pour un projet à plus de 10 milliards de dollars dont il détient 50%.
En quête de ressources fiscales, le nouvel exécutif pourrait se pencher sur les entreprises habituellement ciblées pour leurs importants profits. Il s’intéressera aussi de près au projet de scission de Sanofi et à la restructuration d’Atos.
Le net repli du prix de l’or noir ces dernières semaines pénalisera les résultats des grands pétroliers mais le groupe français devrait mieux résister que les autres.
La société américaine, spécialisée dans les panneaux solaires, se place sous la protection de la loi sur les faillites. Le spectre de la liquidation est proche. Le pétrolier français détenait encore 25% du capital à fin 2023.
Les résultats du pétrolier ont été pénalisés par le raffinage-chimie et par les activités dans le gaz naturel liquéfié au deuxième trimestre. L'action baisse à la Bourse de Paris.
Le géant de l’énergie s’associe au britannique SSE pour déployer 3.000 points de charge au Royaume-Uni et en Irlande. D’ici à 2026, il veut doubler son parc mondial dans le domaine pour atteindre 150.000 points de charge.
Au titre de la souveraineté, l’Etat prend une action de préférence dans Bull, la filiale d’Atos, et le Sénat recommande l’acquisition d’une «golden share» au capital de TotalEnergies. Quelle est la portée de ces outils aux caractéristiques très particulières ?
Une commission d’enquête du Sénat recommande l’achat d’une «action spécifique» au capital du pétrolier pour s’assurer qu’il demeure bien français dans le futur.
En parallèle de ses développements dans les énergies vertes, le pétrolier investit dans des capacités de production à partir de gaz pour s’intégrer sur l’ensemble de la chaîne de valeur.
Plusieurs investisseurs avaient demandé un référé au président du tribunal de commerce de Nanterre visant à obliger le pétrolier à inscrire leur résolution sur une dissociation des fonctions de président et directeur général.
Quelques jours avant Choose France, TotalEnergies a jeté un pavé dans la mare en évoquant une cotation principale à Wall Street. Un tel déménagement pourrait ne pas profiter autant qu’espéré à la valorisation du pétrolier et n’irait pas sans de nouvelles contraintes.
Le pétrolier refléchit à déménager sa principale place de cotation de la France vers les Etats-Unis. Une manière pour son PDG de faire passer un message aux investisseurs européens.
Des déclarations du PDG, Patrick Pouyanné, laissent entendre que le pétrolier pourrait déménager sa principale place de cotation boursière de Paris vers New York.
Le poids de l'or noir dans les résultats du pétrolier devrait progressivement baisser au cours des prochaines années au profit du gaz naturel liquéfié et de l'électricité.
Lors de son conseil d’administration de jeudi, l’énergéticien devrait décider d’inscrire ou non à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale la résolution Ethos-FIR demandant la séparation des fonctions de président et de directeur général.
Des investisseurs veulent mettre la scission des fonctions du PDG de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, au menu de l'assemblée générale du 24 mai. Une demande qui sert à appuyer une autre revendication, celle d'une stratégie climat ambitieuse. L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
L'assemblée générale de TotalEnergies sera de nouveau l'un des points d'orgue de la saison 2024. L'entreprise bénéficie d'un large soutien des actionnaires sur sa politique climat, mais est de plus en plus remise en question.
Le groupe dirigé par Patrick Pouyanné profite aussi de la constance de sa stratégie et des performances enregistrées, notamment, par son pôle renouvelable.
Le spécialiste des batteries électriques, détenu par le constructeur automobile franco-italien, Mercedes-Benz et une filiale de TotalEnergies, va utiliser ces liquidités pour construire trois gigafactories. Une augmentation de capital est aussi au programme.