Nos articles d’actualité et d’analyse sur les grands évènements et décisions politiques susceptibles d’influer les marchés financiers et les principales économies (élections, guerre, remaniements, réformes etc.)
Le bloc conservateur est crédité d’un score proche de 29% à l’issue des élections législatives anticipées tenues dimanche. Le parti d’extrême-droite (AfD) arrive en deuxième position.
L’investissement pourrait continuer à ralentir, sans que cela ait forcément un effet dépréciateur, vu les problèmes structurels d’offre et la demande liée à une économie résiliente. Le marché et les prix ne devraient cependant pas trop augmenter cette année.
Le déficit budgétaire des Etats-Unis atteint un record de 840 milliards de dollars au cours des quatre premiers mois de l’exercice fiscal. Mais l’administration Trump a annoncé le 5 février qu’elle continuerait à utiliser surtout les bons du trésor à court terme pour refinancer sa dette, et moins de dettes à moyen-long terme, ce qui a rassuré les marchés.
Mais une coalition risque encore une fois d’être difficile à constituer, avec un accord probablement long à trouver. L'ampleur des compromis post-électoraux à établir compliquera la tâche du prochain chancelier pour sortir le pays de son immobilisme.
Presque la moitié des Allemands sont favorables à l’idée d’autoriser une dette plus élevée pour des investissements ciblés dans les domaines de la défense, l’éducation, la santé et l’énergie. Mais les marges de manœuvre politiques ne sont pas forcément très larges.
Alors que les intérêts du constructeur sont significatifs outre-Rhin, les déclarations politiques de son directeur général ont remis en question l’attrait de la marque.
Le président américain souffle le chaud et le froid avec ses droits de douane. Le Mexique et le Canada ont annoncé lundi un accord pour repousser d’un mois la hausse de 25% qui leur est promise. Les mesures annoncées ce week-end réduiraient sensiblement la croissance des Etats-Unis pour 2025 et celle de ses voisins.
Sommet économique, où des investissements devraient être annoncés, mais aussi très politique, où l'Europe devrait parler d'une seule voix, le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle accueillera de nombreux chefs d'Etat et dirigeants d'entreprises phares de l'IA, comme OpenAI, les 10 et 11 février. Une multitude d'événements se tiendront dès le mardi 6 février.
Le chef économiste de Goldman Sachs était de passage à Paris mi-janvier. Il explique à L'Agefi sa vision de l'économie américaine et européenne pour les mois à venir. Les décisions de l'administration Trump pourraient avoir de réelles conséquences outre-Atlantique sur l'inflation et la croissance, mais en Europe, le principal problème est ailleurs.
Sur les quatre promesses politiques du candidat, la mesure la plus rapide devrait porter sur les tarifs douaniers. Mais rien n’assure qu’elle soit aussi forte qu’annoncée. Ni aussi inflationniste.
Le Sommet sur l'intelligence artificielle qu'accueillera la France du 6 au 11 février sera coprésidé par l'Inde. Il sera assorti d'un «business day», qui se tiendra à StationF le 11 février. Des dirigeants tels que Sam Altam (OpenAI), Dario Amodei (Anthropic), Arthur Mensch (MistralAI), mais aussi Donald Trump, voire Elon Musk, sont annoncés.
Le PIB allemand a rétréci de 0,2% en 2024, après -0,3% en 2023. Une première depuis le début des années 2000. Des exportations encore en baisse devraient amener le pays à revoir son modèle économique.
Moins nombreuses mais tout aussi clés, les élections en Allemagne, au Canada mais aussi dans certains pays en Europe de l’Est ou en Amérique latine pourraient engendrer de la volatilité sur les marchés financiers.
L'écart de rendement entre les taux français et allemand est remonté de 84 à 86 points de base jeudi matin, tandis que l’Agence France Trésor passait sans trop d’encombre ce premier test de l’année 2025.
Invoquant des raisons de sécurité nationale, le président américain a décidé d'interdire le rachat d'US Steel par Nippon Steel pour 14,9 milliards de dollars. Il envoie aussi un signal aux investisseurs étrangers qui souhaiteraient mettre la main sur une grande entreprise américaine.
Si la paralysie de l’administration au-delà du 20 décembre a été repoussée jusqu’au 14 mars, le vote au Congrès n’a pas traité le problème du plafond de la dette, dont la suspension prend fin au 31 décembre.
Le programme d’émissions augmentera bien a priori jusqu’à 300 milliards d’euros l’an prochain. Sous réserve du vote d’une loi de finances pour 2025, une fois que la France aura un gouvernement.
Meta et Amazon ont fait des dons d’un million de dollars au fonds d'investiture du président élu. Ils témoignent de la volonté qu’ont les patrons de la tech, dont Mark Zuckerberg et Jeff Bezos, de renouer les liens avec Donald Trump.
Après la censure de Michel Barnier, le président du MoDem va le remplacer à Matignon. Il sera notamment chargé de faire voter un budget pour la France.