Le Forum pour l’Investissement Responsable (FIR) et les Principes pour l’Investissement Responsable (PRI) décerne ce soir à Paris, les récompenses de la septième édition du Prix FIR-PRI de la recherche européenne « Finance et Développement Durable ». Parmi les candidatures cette année, 28 universités et 15 nationalités sont représentées (allemande, américaine, anglaise, belge, canadienne, espagnole, française, grecque, hollandaise, iranienne, italienne, philippine, polonaise, portugaise, suédoise). Le palmarès, arrêté par un jury d’experts (académiques, entreprises, parties prenantes) présidé par Patricia Crifo (Polytechnique) récompense en 2012 : Meilleur mémoire de Master : « Fonds socialement responsable: Impact de la gouvernance des fonds sur la performance et l’attractivité » Enguerran Petit (Français) - Politecnico di Milano - Italie Meilleure thèse doctorale : « Recherches empiriques sur la relation entre les performances sociétales et financières des entreprises » Ioannis Oikonomou (Grec) - University of Reading - UK Meilleur article de recherche : « Règlementation environnementales, innovation et performance : nouveau regard sur l’Hypothèse de Porter » Paul Lanoie (Canadien), Jérémy Laurent-Lucchetti (Français), Nick Johnstone (Americain), Stephan Ambec (Français) Les 3 bourses de recherche : « Investissement responsable et le marché boursier chinois » Michael L. Barnett (Americain), Xing Chen (Chinois), Andreas G. F. Hoepner (Allemand) & Qian Li (Chinoise) - University of Oxford & University of St Andrews - UK « Complexité institutionnelle dans une industrie en transition : le cas de l’investissement responsable » Daniela Laurel (Philippine) - Politecnico di Milano - Italie « Adapter l’information précontractuelle destinée aux investisseurs de détail. Développement d’un cadre informationnel pour les produits financiers sur le modèle de l'étiquetage des produits alimentaires » Daniel Litwin (Canadien), Elsa Savourey (Française) - Université Paris I Panthéon Sorbonne & McGill University - Canada et France Le Prix FIR-PRI, est né de la nécessité de soutenir la recherche académique, encore émergente dans le domaine de la finance et du développement durable. En lançant des ponts entre le monde universitaire, les parties prenantes et le monde de la finance, le Prix se donne comme ambition d'élargir le champ d’investigation de la recherche pour permettre aux praticiens d’innover. Il participe à la valorisation de la recherche universitaire française et européenne et renforce les connaissances de l’Investissement Socialement Responsable (ISR). Les Prix sont dotés de 5 000 euros chacun et les bourses de 3000 euros. Le Prix FIR-PRI a bénéficié en 2012 du soutien financier de 14 sponsors issus de 5 pays européens différents : Allianz Global Investors, Amundi, APG, Caisse des dépôts, Dexia Asset Management, Erafp, le Fonds de Réserve des Retraites (FRR), Generali, Groupama Asset Management, Macif Gestion-groupe OFI, Natixis Asset Management, Oddo Securities, Paris Europlace et Sycomore Asset Management.
DEBORY ERES, première plateforme indépendante d'épargne salariale et retraite, lance un nouveau contrat exclusif d’assurance retraite collective à cotisations définies de type Article 83: ERES Retraite 83. Ce nouveau contrat permet de bénéficier d’une solution de retraite d’entreprise combinant les dernières innovations techniques, un très large choix de supports financiers parmi les meilleurs du marché et de l’accompagnement pédagogique et du suivi personnalisé DEBORY. ERES Retraite 83 est assuré par Swiss Life, compagnie historiquement référente sur le marché de la retraite. Pourquoi DEBORY ERES propose un article 83? La convergence entre l'épargne salariale, le métier d’origine de DEBORY ERES, et la retraite depuis la création du PERCO, rend une démarche globale assurance retraite et épargne salariale nécessaire. Les plafonds d’exonération étant communs pour l'épargne salariale et retraite, le conseil doit absolument porter sur les deux domaines. Pour répondre à la demande de nos clients et de nos apporteurs et leur proposer un produit de la même qualité que notre offre d'épargne salariale. Pour offrir aux courtiers en retraite d’entreprise un niveau de service comparable à celui des plateformes d’assurance vie individuelle ou d'épargne salariale. A qui ce contrat s’adresse-t-il? Aux PME/TPE, quelle que soit leur taille et le montant des cotisations Accompagnées par un courtier Comment a-t-il été construit? DEBORY ERES a réalisé plusieurs appels d’offres pour les grandes entreprises en retraite; ces appels d’offres ont débouché sur des contrats sur mesure assurés notamment par Swiss Life. Celle-ci a été sélectionnée pour assurer le contrat ERES Retraite 83 notamment pour la simplicité et la qualité des process de gestion mis en place. Le contrat ERES Retraite 83 reprend les meilleures caractéristiques techniques de ces contrats sur mesure et la simplicité d’utilisation nécessaire pour les petites et moyennes entreprises. DEBORY ERES a cherché à être le plus proche possible de son offre retraite d'épargne salariale (PERCO): les sociétés de gestion et les fonds sélectionnés pour la gestion pilotée retraite sont identiques, les opérations sont comptabilisées à J+1.
Selon nos informations, Cedrus Asset Management (AM), filiale de Cedrus Partners vient de recruter Annie Martinet-Villalon en tant que responsable de la multigestion. La nouvelle recrue occupait précédemment le poste d’analyste-gérant au sein de l'équipe de multigestion d’Amundi. Elle était plus particulièrement responsable de l’analyse et de la sélection des fonds Actions Europe et Europe de l’Est et des fonds Actions Thématiques, Actions Emergentes et Japonaises, responsable de la gestion des fonds de fonds Actions européennes tels Amundi Multimanagers Europe, LCL Mgest Europe et Amundi Master PEA Elle a participé aussi à la gestion d’un fonds de mandats de 1 milliard d’euros pour l’assureur du groupe et d’un fonds de fonds dédié Actions Globales / Thématiques avec exposition flexible aux marchés actions (de 0 à 100%).
Selon nos informations, la société de conseil Cedrus Partners a déposé un dossier auprès de l’AMF pour obtenir le statut de société de gestion. Le président de la structure sera Benoit Magnier déjà managing partner et associé de Cedrus Partners. L’activité de Cedrus Asset Management sera d’apporter une expertise dans l’implémentation et le suivi de fonds de fonds aussi bien que dans l’ingénierie financière et le support technique aux multigérants : sélection de fonds ISR, allocation de fonds sous contraintes de risques, choix des thématiques de développement durable et allocation de styles, consolidation de fonds de fonds, suivi actif des fonds sous-jacents. Dans ce domaine, la nouvelle société de gestion prévoit d'établir un partenariat avec un autre consultant en allocation et gestion actif-passif. Contacté à ce sujet, les équipes de Cedrus Partners n’ont pas souhaité confirmer cette information. Cedrus Partners conseille aujourd’hui des clients institutionnels pour un total de 300 millions d’euros sur la gestion ISR (à fin juin 2012).
Une opération qui réunit désormais au sein d’un même groupe de conseil indépendant les plus hautes expertises en gestion du risque OPTIMIND a acquis 100 % du capital des sociétés du groupe WINTER & Associés en date du 26 juillet 2012. « Le rapprochement des expertises de chaque société et leurs diversités offrent au nouveau groupe OPTIMIND, l’opportunité de poursuivre son remarquable développement dans les meilleures conditions possibles et de devenir de facto, une signature de référence dans le domaine de la gestion des risques » déclare Christophe Eberlé, président du groupe OPTIMIND. Leader français de l’actuariat conseil, le nouveau groupe ainsi constitué va permettre aux marques métiers de WINTER & Associés et OPTIMIND de développer sereinement et avec cohérence le leadership des 180 collaborateurs du groupe sur le marché français, et de conquérir à moyen terme, de nouveaux territoires européens en proposant une complétude d’expertise et de méthodologies éprouvées au service de la gestion du risque. « Cette opération ouvre aux équipes du Cabinet des perspectives de développement renouvelées dans un cadre cohérent avec son modèle économique et culturel de spécialiste de l’actuariat » précise Guillaume Leroy, associé en charge de l’activité Institutionnels chez WINTER & Associés. Pour Pierre-Alain Boscher, associé en charge de l’activité Entreprises de WINTER & Associés « Ce rapprochement constitue une belle opportunité pour l’activité de Conseil aux Entreprises. Ce nouvel environnement à la fois stable et dynamique devrait être de nature à pérenniser nos positions et à accélérer notre développement ».
Lyxor Asset Management et Koris International lancent conjointement un partenariat commercial et marketing en Europe Continentale pour l'élaboration et la distribution de solutions d’investissements basées sur les fonds de la plateforme de comptes gérés de Lyxor. Cet accord s'étendra, dans un premier temps, sur une durée de 2 ans. Le partenariat permettra d’accéder à la technologie de la plateforme de comptes gérés de Lyxor, tout en bénéficiant des techniques quantitatives d’allocations d’actifs développées par Koris International.
Christian Oyarbide, le directeur général de La France Mutualiste, quitte la mutuelle d'épargne retraite pour cause de divergences stratégiques. Il reste salarié de la mutuelle jusqu’en septembre, le temps de passer le relais à sa remplaçante, Anne Mazzanti, jusqu’ici directrice générale adjointe chargée des opérations financières. Christian Oyarbide va rejoindre le cabinet de conseil Procial comme consultant spécialisé dans la gouvernance et la responsabilité sociale des entreprises (RSE) à destination des mutuelles. Porcial est présidé par Jean Sammut, ancien DG de la MGET.
Le cabinet de conseil Towers Watson annonce le lancement de compléments à ses solutions logicielles pour faciliter le calcul de la formule standard Solvabilité II aux assureurs et réassureurs Vie, IARD et Santé. Igloo Standard Formula et RiskAgility Standard Formula, les logiciels complémentaires de modélisation financière de Towers Watson, permettront en effet de mettre en??uvre le calcul de la formule standard dans un environnement de traçabilité et d’auditabilité des données et des paramètres afin d’assurer la conformité requise aux exigences qualitatives de Solvabilité II. Ces éléments sont disponibles sous la forme de produits indépendants qui peuvent être associés à d’autres modèles déjà existants. Sylvaine Salahub, responsable de l’activité Risk Consulting and Software de Towers Watson en France a commenté ce lancement : « Sur notre marché, il y a aujourd’hui un besoin évident de mise en place de processus robustes en vue de produire les résultats de la formule standard dans un environnement plus sécurisé qu’avec des feuilles de calculs. Les compléments Igloo Standard Formula et RiskAgility Standard Formula à nos solutions déjà reconnues de modélisation financière en Vie, IARD et Santé offrent une réponse complète et concrète à la complexité requise des calculs dans un environnement fortement sécurisé facilitant les processus de validation et d’audit. »
Pandat s’est doté la semaine dernière d’un comité stratégique qui l’accompagne dans le choix des orientations de son activité. Pandat a l’ambition d'être dès demain l’acteur de référence sur l’intermédiation des comptes à terme et des autres produits monétaires pour une clientèle de : PME, ETI Associations et Fondations Mutuelles et autres investisseurs institutionnels de taille moyenne Dans ce cadre, le comité stratégique est composé de : Jean-François Théodore, ancien PDG d’EURONEXT Jean-Jacques Quellec, ancien trésorier de la CDC et ancien président de l’AFTB (Association du Forex et des trésoriers de banque) Michel Dupuydauby, ancien Directeur Général de la MACSF et ancien président de la ROAM (Réunion des organismes d’assurance mutuelle) Christian Camus, ancien Directeur Général de MeilleurTaux.com et ancien cadre dirigeant du Groupe Caisse d’Epargne
Charles-Antoine Roger devient le nouveau responsable de l’activité Retraite et International de Mercer France. Charles-Antoine travaille chez Mercer depuis 12 ans et a exercé dans nos bureaux de Paris, New York et Madrid, avant de revenir à Paris il y a trois ans. Il est spécialisé dans l’assistance aux compagnies multinationales sur une large gamme de problématiques locales et globales concernant les régimes de retraite et les programmes de santé et prévoyance : évaluation et consolidation des engagements sociaux, mise en place de régimes de retraite, gouvernance et gestion des risques, financement, pooling, fusions et acquisitions. Avant de rejoindre Mercer, Charles-Antoine a travaillé dans deux compagnies d’assurance en France (ERISA et AXIVA). Charles-Antoine est diplômé en études actuarielles de l’Euro-Institut de Brest. Patrice Plouvier prend la responsabilité du conseil en retraite France au sein de Mercer France. Patrice reporte à Charles-Antoine Roger, responsable de l’activité Retraite et International de Mercer France. Patrice a rejoint Mercer en 2011. Il est spécialisé sur les régimes de retraite (prestations définies, cotisations définies, régimes de dirigeants), sur l'épargne salariale et dans le suivi des caisses de retraite. Auparavant, il était Directeur Associé au sein de Winter & Associés, responsable des évaluations d’engagements sociaux et de la certification ISO 9001. Il est également intervenu en tant que professeur au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) dans la formation d’actuariat ainsi qu'à la faculté de Nanterre. Patrice est diplômé de l’Ecole Polytechnique et de l’ENSAE et est membre de l’Institut des Actuaires. « Mercer renforce son expertise sur le conseil en retraite par ces nominations, et l'équipe Retraite comprenant plus de 35 consultants est donc à même de répondre aux besoins et évolutions réglementaires en France et à l’international », explique Denis Stainier, Directeur général de Mercer France.
Russell Investments, présent en France depuis 1994, franchit une nouvelle étape de son développement. La société d’investissement annonce avoir obtenu l’agrément de l’AMF le 28 mars 2012 pour la création d’une société de gestion, « Russell Investments France », filiale à 100% du groupe Russell. « Ceci s’inscrit dans la logique de notre développement en France depuis plus de 15 ans» explique Pascal Duval, PDG de Russell Investments pour la zone Europe, Moyen-Orient, Afrique. « Au moment où de nombreuses sociétés de gestion font le choix du passeport Européen pour servir les institutionnels français, nous avons décidé au contraire qu’il était nécessaire de se doter d’une société de gestion en France pour pouvoir répondre au mieux aux besoins des investisseurs. Certes les défis sont nombreux mais la France est un marché de gestion porteur bénéficiant de professionnels de grande qualité, et d’un degré de sophistication comparable aux meilleures pratiques internationales». Russell Investments France devient le troisième centre de gestion multi-actifs du groupe Russell en Europe, après le Royaume-Uni et l’Irlande, pour un total d’actifs sous gestion de 25 milliards d’euros. L'équipe de Russell Investments France est composée de 12 professionnels expérimentés. Présents respectivement depuis 1997 et 2000 au sein du bureau parisien, Dominique Dorlipo devient Président de Russell Investments France, et Michaël Sfez, Directeur Général et responsable du développement. La direction de la gestion est confiée à Alain Zeitouni qui a rejoint le bureau parisien en septembre 2011 après une dizaine d’années passées chez Barclays Wealth Managers en tant que directeur de la multi-gestion. « Il s’agit d’un investissement important en termes de moyens humains, techniques et financiers » ajoute Pascal Duval ; « Néanmoins, notre grande connaissance du marché français nous a convaincu de la nécessité de se doter d’un outil de proximité pour répondre aux évolutions en cours et à venir. Nous croyons au développement du marché de la gestion d’actifs délégués tant en France qu’au niveau mondial. Nous faisons également confiance aux acteurs publics, aux organismes sociaux-professionnels et aux banques et compagnies d’assurances pour établir un cadre compétitif pour le développement de l'épargne longue, plus que jamais nécessaire ». Pionnier dans l’accompagnement des investisseurs institutionnels, Russell bénéficie de l’atout d'être une société non-cotée, avec une stratégie à long-terme en harmonie avec les objectifs de ses clients. Russell gère depuis plus de 30 ans des portefeuilles multi-actifs spécialisés et diversifiés, s’appuyant sur une combinaison unique de cinq expertises dans la gestion et l’optimisation de portefeuilles qui sont : La recherche sur les marchés de capitaux, La sélection et délégation de gestion à des équipes de gestion spécialisées, La construction et la gestion de portefeuilles multi-actifs, La conception et gestion d’indices de marchés, Les services d’exécution, de transition de portefeuilles et d’overlay. « Fort d’un leadership Européen d’origine française (notre CEO et CIO Europe sont français) et de notre héritage de consultant, nous disposons d’une bonne connaissance des problématiques des institutionnels français. Nous pensons que nos compétences historiques de gestion multi-actifs, associées à nos cinq expertises, répondent de manière unique à la demande croissante pour des solutions flexibles et dédiées sur le marché français. De plus, le haut degré de transparence de nos portefeuilles permet aux investisseurs de connaître l’ensemble des risques et des coûts associés à leurs investissements et d’améliorer ainsi leur gouvernance » affirme Dominique Dorlipo, Président de Russell Investments France, à l’origine de l’implantation parisienne. Avec la création de Russell Investments France, le groupe Russell confirme son positionnement en tant qu’acteur majeur dans le domaine de la gestion et de la conception de solutions dédiées pour les investisseurs institutionnels. En tant que société de gestion française, Russell Investments France est désormais en mesure d’offrir une gestion en mandats depuis Paris ainsi que la gestion de FCP dédiés et FCPE de droit français. L'équipe de gestion locale expérimentée est totalement intégrée au sein de l'équipe de gestion multi actifs européenne. « Les défis à relever par les institutionnels, notamment par les assureurs avec le cadre Solvabilité 2, sont aujourd’hui nombreux et complexes.» précise Michaël Sfez, Directeur Général de Russell en France. « Face aux enjeux de protection et de croissance des portefeuilles et face aux exigences accrues en matière de gouvernance, nous assistons partout dans le monde à un besoin de solutions multi actifs intégrées et flexibles, faisant appel aux meilleurs gérants internationaux. Nous pensons que ces solutions fondées sur la technique du fonds de mandats vont s’imposer progressivement en France car elles répondent aux objectifs de bonne gouvernance, de transparence et de maîtrise des risques.» Le groupe totalise à ce jour environ 3 milliards d’euros d’encours sous gestion en France pour le compte d’institutionnels et d’investisseurs individuels dans le cadre de partenariats locaux de distribution avec des réseaux bancaires et plateformes d’assurance vie et banques privées. Forte de la confiance renouvelée de ses clients institutionnels et d’un nouveau mandat remporté, la nouvelle société de gestion démarrera avec €250 millions d’encours gérés sous forme de FCP dédiés. Dominique Dorlipo et Michaël Sfez ambitionnent d’offrir ce service de gestion premium et de proximité à une vingtaine d’investisseurs institutionnels et institutions financières dans les 3 prochaines années. « A l’image d’un service de family office pour un client fortuné, nous souhaitons nous positionner non pas comme un fournisseur en face de l’investisseur mais à ses côtés. La compréhension des objectifs de chaque client en amont de la conception et de la gestion est essentielle dans notre approche.» conclut Michaël Sfez.
D’après nos informations, Russell Investments France, jusqu’alors bureau de distribution, est sur le point d’obtenir l’agrément de l’AMF concernant le lancement d’une société de gestion qui sera basée à Paris. L’objectif serait de proposer des expertises de gestion de fonds de mandats, et disposer d’une structure de gestion pour gérer des fonds dédiés de droit français, qui répondent aux besoins des investisseurs institutionnels.
Aymeric Sallé de Chou, va très prochainement quitter son poste de responsable du conseil en investissement et gestions d’actifs chez Altedia Investment Consulting (IC). Altedia IC accompagne les entreprises dans la mise en place ou l’optimisation de leurs dispositifs d'épargne salariale et de retraite. D’après nos informations, Aymeric Sallé de Chou devrait rejoindre une société de gestion pour développer son pôle d'épargne salariale.
Solvabilité II regroupe un ensemble de régulations européennes établissant de nouvelles exigences en matière de fonds propres. Cette réglementation impose notamment des obligations de transparence accrues et d’estimation des risques courus sur tous les actifs détenus par les compagnies d’assurance opérant dans l’Union européenne. Cela va notamment inclure l’obligation d’identifier chaque actif détenu à l’aide d’une codification standard (code CIC) - un code composé de quatre chiffres suivant le type d’investissement -, couvrant tous les fonds et les autres valeurs mobilières détenus. Morningstar va recourir à sa base de données mondiale portant sur plus de 8 millions de valeurs mobilières pour offrir un service de traitement des codes CIC aux compagnies d’assurance qui permettra d’identifier la totalité des actifs détenus en fonction des catégories standards définies par l’Autorité européenne des assurances et des retraites professionnelles (EIOPA). Cette solution utilise un système propriétaire développé par Morningstar et offre aux assureurs des données identifiant tous les types d’actifs avec un code CIC standard. Ce service vient étoffer 25 ans d’expérience dans la collecte, le traitement et la fourniture de données d’investissements chez Morningstar. « Concernant Solvabilité II, notre but est d’aider les acteurs de la gestion financière, gérants et investisseurs institutionnels, en optimisant l’emploi des données dont nous disposons », déclare Jean François Bay, directeur général de Morningstar France. « En travaillant avec Morningstar, nos clients sont assurés d’une solution d’identification de leurs actifs conforme à la nouvelle réglementation». « Il s’agit d’une étape supplémentaire dans le travail mené par Morningstar pour Solvabilité II tant au niveau de la donnée que de l’accompagnement des institutions par nos équipes de consultants », ajoute Christophe Tardy, directeur général adjoint de Seeds Finance, l’activité consulting de Morningstar en France.
Mercer annonce la nomination de Philippe Lüthy au poste de Senior Investment Consultant et de directeur adjoint du domaine Conseil en investissement en Suisse. Ce recrutement témoigne de la stratégie de croissance de Mercer sur le marché suisse. Philippe Lüthy dispose d’une expérience de près de 15 ans en tant que consultant en placements pour le compte de caisses de pension et autres investisseurs institutionnels. Il bénéficie en outre d’une expérience de longue date dans le domaine du développement de la clientèle. M. Lüthy est diplômé en sciences économiques à l’Université de Zurich. Philippe Lüthy déclare : « La Suisse, marché important pour Mercer, doit être suivi par des collaborateurs locaux ayant accès à un réseau d’expertise mondial. Les investisseurs institutionnels sont confrontés à des défis de plus en plus complexes en raison du processus avancé de globalisation des marchés financiers. Des systèmes innovants et pionniers sont mis à la disposition des consultants de Mercer dans le cadre de la relation avec la clientèle, notamment pour la modélisation des événements extrêmes («fat tail») dans le domaine ALM, ce qui permet de renforcer la compréhension des risques encourus chez le client. Je me réjouis, en tant que conseiller local, de faire bénéficier la clientèle suisse de nos connaissances globales».
Un point d’attention spécifique pour 2012 : La mise en place obligatoire d’un article 83 ou d’un Perco pour l’ensemble du personnel dans le cas où l’entreprise dispose d’un régime chapeau ouvert. Dans ce document, Mercer vous présente la liste des 10 préconisations pour les employeurs en matière de régimes supplémentaires de retraite. Pour lire la suite: cliquez ici
Malgré un rebond des marchés des actions en octobre, la position financière sur base de solvabilité de la plupart des régimes de retraite canadiens n’a pu s’améliorer au cours du quatrième trimestre due à une autre baisse des taux de rendement des obligations fédérales. L’indice Mercer sur la santé financière des régimes de retraite* est demeuré inchangé en date du 31 décembre par rapport au trimestre dernier à 60 % et est en baisse de 13 % pour l’année. « Le taux de rendement des obligations à long terme du gouvernement fédéral a perdu environ 30 points de base au cours du trimestre pour une perte totale de 110 points de base depuis le début de l’année, affirme Scott Clausen, responsable professionnel du domaine Régimes de retraite, gestion des risques et finance de Mercer au Canada. Cette diminution du taux de rendement des obligations a fait augmenter le coût d’achat des rentes et a fait baisser l’indice d’environ 2 % au cours du trimestre. Les rendements positifs des marchés ont fait augmenter l’indice d’environ 2 %, résultant en un changement nul pour l’indice au cours du trimestre. » Clausen a ajouté que « sur une base comptable, la plupart des régimes de retraite ont aussi subi d’importantes pertes en 2011 et l’expérience de cette dernière année démontre encore l’importance d’avoir une organisation qui s’occupe activement du suivi et de la gestion du risque lié à son régime de retraite. » « Les principaux indices de marchés ont augmenté au cours du quatrième trimestre. Le marché américain est celui ayant le mieux performé avec un rendement de 9,3 %. L’indice S&P/TSX composé a augmenté de 3,6 % comparativement à 5,3 % pour les marchés mondiaux développés et 2,1 % pour les marchés émergents (en dollars canadiens), » ajoute Sebastien Naud, conseiller principal en gestion de placements chez Mercer. « Cependant, les actions ont généré des rendements négatifs au cours de l’année. Le Canada a enregistré une perte de 8,7 % comparativement à des pertes de 2,7 % pour les marchés mondiaux développés et de 16,1 % pour les marchés émergents (en dollars canadiens). Les obligations ont obtenu de bons rendements en raison de la chute des taux d’intérêt. Le taux de rendement des obligations à long terme du gouvernement fédéral a chuté à moins de 2,5 %. Quelques fonds ont diversifié leur portefeuille dans les placements alternatifs tel que l’immobilier. Les résultats préliminaires indiquent que le rendement du marché immobilier canadien en 2011 pourrait dépasser 10 %, permettant ainsi aux investisseurs de profiter des bénéfices provenant de la diversification. » Lire la suite: cliquez ici
Le montant des appels d’offres lancés par les investisseurs institutionnels pour choisir un gérant l’année dernière s’est chiffré à 13,5 milliards d’euros en 2011 contre un montant record de 30,5 milliards en 2010. Ce déclin s’explique par « la chute des marchés actions européens au deuxième semestre et par l'érosion continue de la gestion monétaire qui pâtit toujours de la concurrence des produits bancaires » comme les comptes à terme, les dépôts à terme, ou les certificats de dépôts, selon cette étude. Seuls les encours de gestion obligataire ressortent en légère hausse malgré les difficultés de financements de certains pays de la zone euro (Espagne, Italie, Portugal, Grèce). D’après le classement de bfinance, la société Amundi, détenue par le Crédit Agricole et la Société Générale, a été la première société de gestion d’actifs institutionnels français en 2011, suivie par BNP Paribas Investment Partners (IP), Natixis AM, Lyxor AM et Axa IM. Les encours institutionnels d’Amundi ont représenté 108 milliards d’euros, soit un recul de 16% sur un an, ceux de BNP Paribas IP ont totalisé 90 milliards (-11%) et ceux de Natixis AM 84 milliards (+5%). Dans le détail, Lyxor a été la première société de gestion par encours en actions, Amundi par encours obligataires et Natixis AM sur le plan monétaire.