Bfinance, cabinet de conseil international spécialisé en opérations financières pour les grandes entreprises et les investisseurs institutionnels, annonce la nomination de Michel Haski en tant que Responsable de la clientèle institutionnelle pour la région EMEA. Michel Haski était précédemment CEO de Allianz Global Investors Europe Gmbh ainsi que Directeur Général de Allianz Global Investors France. Il avait rejoint le Groupe Allianz en 1996 en tant que CEO de Dresdner RCM Gestion à Paris. En janvier 2002, il devient Directeur Général de AGF Asset Management après la fusion de Dresdner RCM Gestion et AGF Asset Management. En mai 2006, il rejoint Allianz Global Investors Europe en tant que Responsable du développement dans un premier temps, puis en tant que CEO à partir de juillet 2008. A partir de décembre 2009 et jusqu’en février 2011, Michel Haski était également co-responsable des ventes pour l’Europe. Avant de rejoindre le Groupe Allianz, Michel Haski a été en charge du développement commercial du Crédit Commercial de France (CCF), désormais HSBC France. Il a également occupé des fonctions de direction chez Framlington Asset Management et Foster & Braithwaite, deux filiales londoniennes de CCF Asset Management. Auparavant, il avait travaillé pour deux sociétés de conseil basées à Paris : Groupe Bernard Krief Consultants et Dorset Development.
Pourquoi lancer un blog sur ce thème ? Le thème du partage du profit est un thème d’actualité permanent. Le succès populaire du livre « Les Indignés » et les manifestations à Wall Street ou en Espagne, les débats français autour de la prime Sarkozy en ont été une des signes forts. Les candidats à l'élection présidentielle vont débattre du sujet pendant la campagne de 2012 et les réflexions sur l'évolution de notre modèle social devront inclure ce thème. Mais son traitement dans les médias, dans le débat public ou les manuels scolaires est souvent caricaturé. Le discours est souvent dominé par les postures idéologiques et les a priori que ce soit chez les politiques, le patronat ou les syndicats alors que dans les entreprises, des accords sont signés, des compromis sont trouvés. L’enseignement à nos enfants sur ces thèmes est lui aussi inexistant ou très éloigné de la réalité comme le montreront nos analyses sur les manuels scolaires. Nous souhaitons donc montrer comment dans les entreprises, le partage du profit est une réalité, qu’il fonctionne, et expliquer de façon simple et objective comment. En rappelant ce qui existe, les possibilités de la loi française, en donnant des cas concrets, en parlant d’histoires vécues, nous montrerons que la France est en avance. Mais il ne faut pas s’en satisfaire, il faut aller plus loin, être force proposition. Un blog c’est aussi une liberté de ton, un contenu accessible et une fréquence de diffusion élevée. Quels sont les thèmes abordés ? Partage : le mot profit est désormais quasi tabou en France comme si faire des profits était répréhensible, mais en ajoutant partage à profit, le mot profit retrouve tout son sens. Le partage c’est aussi notre capacité collective à partager le savoir et l’expérience sur ces sujets en particulier avec les générations suivantes. Rémunération : immédiate ou différée, fixe ou variable elle est la première source du partage de la valeur. Actionnariat salarié : la réconciliation du capital et du travail est une réalité, tout du moins dans les grands groupes, elle est une source importante du partage du profit. Retraite : Le financement de la retraite est un partage entre les générations grâce au système par répartition, entre les salariés d’une entreprise dans les dispositifs collectifs par capitalisation. Epargne collective : les mécanismes d'épargne salariale, notamment la participation légale sont un autre moyen de partager les profits, mais que faire cet argent une fois qu’il est épargné ? Comment le placer ? Trouve-t-il à financer l'économie productive, créatrice de nouvelles richesses à partager ?
Vania Schleef est nommée Directeur des relations clients au sein de la société de conseil AAAIC. Son parcours professionnel: Analyste financier chez Moody’s Investor Services au sein du groupe Global Managed Investments au Royaume-Uni (1998-04) puis en Italie (2004). En poste chez Experian (2004-05) puis chez Scope Analysis GmbH (2006). Edhec-Risk Institute : directrice adjointe du développement (2007-09) puis Business Manager (2009-11). Directeur des relations clients chez AAAiC (depuis 2012).
Vincent Taupin, le fondateur de Boursorama, a démissionné de son poste de directeur général du Crédit du Nord (Société Générale) pour prendre la direction du cabinet de conseil Alma Consulting Group, a-t-on appris mercredi. Le conseil d’administration de Crédit du Nord, filiale du groupe bancaire Société Générale, a nommé mercredi pour le remplacer Philippe Aymerich, directeur délégué des risques du groupe depuis 2006. M. Taupin « a démissionné pour poursuivre un projet entrepreneurial en dehors du groupe », a indiqué dans un communiqué la banque, qui l’a remercié pour son engagement au sein de la Société Générale. Fondateur de Boursorama « Après avoir créé puis dirigé (la société de courtage et de banque en ligne) Boursorama pendant plus de dix ans, il a accéléré le développement du Crédit du Nord et conduit l’intégration de la Société Marseillaise de Crédit », a ainsi rappelé Jean-François Sammarcelli, directeur des réseaux de banque de détail de la SocGen. Philippe Aymerich, né en 1965, est diplômé de HEC. Il est entré à la Société Générale en 1987 au sein de l’inspection générale puis a intégré la division de banque de financement et d’investissement en 1997 en tant que DG adjoint de SG Espagne. Après avoir oeuvré pour le groupe à New-York de 1999 à 2004, il est devenu directeur de la division automobile, chimie et biens d'équipement au sein de la division Corporate & Institutions. Vincent Taupin remplacera Marc Eisenberg, le fondateur du groupe, à la tête du cabinet de conseil Alma. M. Eisenberg demeurera actionnaire et administrateur du groupe Alma.
Suite au départ de Vianney Dubois, Morningstar avait annoncé le renforcement de l'équipe de conseil avec l’arrivée de deux collaborateurs. Il s’agirait de Christophe Tardy, jusqu’alors directeur de la stratégie de Morningstar France et de Cécile Astier, qui occupait le poste de Head of Fixed Income and Volatility Strategies chez Lyxor AM.
Diplômée d’un DESS en actuariat, obtenu à l’EURIA, Isabelle Devine, 35 ans, rejoint Optimind pour intervenir sur des missions d’actuariat conseil, et participer activement à la croissance de la société. Après avoir commencé sa carrière chez Auria Vie, Isabelle rejoint en 2004 le service des travaux prospectifs d’AGF Partenariats Vie et Services Financiers, pendant 4 ans, avant de prendre un poste en Risk management, mesure du risque au sein de la direction du Pilotage Financier. Diplômée d’un Master 2, Gestion des Instruments Financiers, option Marché et Gestion de Capitaux, obtenu à l’Université de Cergy Pontoise, Anne-Florence Destombes rejoint Optimind pour renforcer le métier du Risk Management, branche de gestion qualitative des risques. En 2007, Anne-Florence débute sa carrière, au sein de la Société Générale Securities Services département Custody & Trustee Activites, en tant qu’analyste risques opérationnels pendant 4 ans où elle a pu mettre en oeuvre, sur le terrain, l’ensemble du dispositif.
Vianney Dubois, associé de Seeds Finance et directeur du conseil en investissements de Morningstar France, a décidé de prendre un congés de 6 mois, à partir de janvier 2012. Une nouvelle organisation va être prochainement mise en place, avec l’arrivée de 2 personnes sénior et la promotion de Tanguy de Lauzon qui devient responsable de l’activité de conseil proprement dite.
L’industrie de la gestion subit aussi les conséquences de la régulation censée y faire face. Elle est confrontée à « une double peine réglementaire » avec, d’une part, Solvabilité II qui rend difficile l’investissement en action, le private equity ou la gestion alternative et, d’autre part, les nouvelles exigences de liquidité de Bâle III qui conduisent les réseaux bancaires à ré-intermédier l'épargne au détriment de l’assurance-vie et des OPCVM monétaires. Un rapprochement entre la banque d’investissement et la gestion d’actifs pour le développement de nouvelles offres de benchmark qui peuvent constituer une réelle réponse aux questionnements sur la pérennité et le coût de la génération d’alpha. Par ses compétences en gestion quantitative et par son organisation, l’industrie financière française a de réels atouts et peut tenir une place privilégiée dans le développement de nouveaux produits indiciels. Enfin, il faut reconnaître que le financement des retraites va devenir un enjeu essentiel pour de nombreux pays européens. Dans cette perspective, la mise en place de solutions individuelles et collectives de retraite par capitalisation va s’imposer en France. Pour lire l’article complet: cliquez ici
A propos de l’AACIF L’AACIF regroupe les conseillers en Investissements Financiers ??uvrant notamment dans le domaine du haut de bilan des entreprises. Agréée par l’AMF le 18 octobre 2005, l’AACIF est forte de 116 sociétés et 10 indépendants représentant 128 membres. Elle fédère ainsi les spécialistes en fusions-acquisitions, analyse et expertise indépendantes, conseil en gestion de patrimoine et family office. Pour accompagner les évolutions de la place financière de Paris, l’association s’ouvre aujourd’hui à de nouveaux métiers, tels que le conseil auprès d’institutionnels, le conseil aux employeurs pour leurs dispositifs d'épargne salariale, d’actionnariat des salariés et de retraite d’entreprise, le financement de projets .... Formation, réflexions de Place avec les Autorités de tutelle autour des projets d’enregistrement unique auprès de l’ORIAS, statut de l’IOBSP, lutte contre le blanchiment, application des directives MIFID et Abus de Marché et contrôles ont constitué les thèmes majeurs de l’Assemblée réunie ce 7 novembre 2011. A propos de Sylvie MALECOT Sylvie Malécot est membre de l’AACIF depuis 2010. Elle dirige Millenium - Actuariat & Conseil, société qu’elle a fondée en juin 2009, spécialisée dans le conseil aux investisseurs institutionnels, sur les thématiques de l’allocation d’actifs, de la construction et la sélection de fonds ou de produits, la gestion actif-passif et les enjeux de la Directive Solvabilité II. Elle était auparavant Directeur de Stratégie, ALM et Crédit, au sein d’AGICAM, société de gestion du Groupe AG2R-La Mondiale. Elle a été préalablement en charge des investissements ou de la gestion d’actifs dans différents groupes d’assurance. Elle est diplômée de l’ESSEC (1985), titulaire d’une Maîtrise de Droit des Affaires de Paris II-Assas (1987), et actuaire de l’IAF (1993). Elle est en outre correspondant SFAF (2010). A propos de Manuèle PENNERA Membre de l’AACIF depuis décembre 2009, Manuèle Pennera dirige Karente, une société de conseil en ingénierie sociale et financière dans les domaines de l'épargne salariale et des retraites d’entreprise. Elle a fondé Karente en 2000, après avoir exercé pendant une quinzaine d’années des responsabilités techniques et commerciales dans diverses banques et compagnies d’assurance. Elle est diplômée de l’Institut d'Études Politiques de Paris (1984), du Centre de Formation à l’Analyse Financière de la SFAF (1986) et de l’Université de Northumbria (1996). A propos de Arnaud SANTOIRE Arnaud Santoire, membre de l’AACIF depuis 2007, est directeur à la direction générale de BPCE. Il est expert en opérations de haut de bilan et management stratégique. A l’origine ingénieur dans les systèmes d’information après avoir fait l’X et HEC, il est passé par IBM aux Etats-Unis puis au ministère de la Défense. Il a ensuite été appelé à la direction du Trésor et à la commission de privatisation dont il est devenu secrétaire général. Banquier d’affaires à partir de 2000, c’est en 2008 qu’il a pris en charge l'équipe de développement corporate de la CNCE, devenue BPCE à l’issue de la fusion menée avec la BFBP.
Créée en 1996, la société de conseil aux institutionnels, Intersélection est dirigée par Daniel et Emmanuelle Gérino. Le 4 mai 2011, les deux associés d’Intersélection ont reçu l’agrément AMF pour le lancement d’une nouvelle société de gestion: Carlton Sélection. Société de gestion indépendante et spécialisée dans la gestion de taux et dans la Multigestion pour les Institutionnels, Corporate et Family office, les encours sous gestion de Carlton sélection s'élèvent déjà à 100 millions d’euros exclusivement investis dans des fonds dédiés (avec une vingtaine de porteurs différents au maximum). Carlton Sélection compte actuellement deux fonds de gestion active, Carlton Trésorerie Dynamique avec un objectif de performance égal à Eonia + 100 points de base et Carlton Obligation Dynamique qui vise à surperformer l’Euro MTS 3-5 ans. Les deux fonds sont composés de 90% de gestion en direct sur les taux et 10% de sélection de fonds externes, ETF et gestion des couvertures (futures). Un projet de lancement d’un troisième fonds est actuellement à l'étude pour les prochaines semaines.
Cabinet de conseil spécialisé dans les évolutions réglementaires, organisationnelles et technologiques des acteurs de l’Assurance et de la Protection Sociale, EVEHO Conseil annonce les nominations au sein de son pôle EVEHO services d’Hervé Dusart au poste de Directeur Général et d’Olivier Milon au poste de Directeur Associé. Diplômé de l’Ecole d’Ingénieur SUP AERO, Hervé Dusart, 41 ans, débute sa carrière en 1994 en tant qu’Ingénieur d’Etudes au sein d’Onera. En 1996, il entre chez IMRglobal, en 2001 il intègre la filiale française de CGI. Olivier Milon, 42 ans, entre en 1999 chez LM Informatique, puis chez APSIDE en 2000. Il occupait, depuis 2010, un poste de consultant dans un cabinet spécialisé AMO/MOA dans l’Assurance.
Oxéa Conseil, société de conseil spécialisée dans la gestion des risques, en France et à l’International, nomme Sylvie Lépicier en qualité de Directeur général. Après une solide expérience dans le secteur bancaire, d’abord en tant qu’Auditrice spécialisée banque chez Deloitte puis en charge de la Direction des Opérations de la Banque Impériale Canadienne (CIBC), Sylvie Lépicier crée LGB Finance, Cabinet de Conseil en Organisation bancaire et financière qu’elle dirige de 1993 à 2006 puis devient Directrice générale Adjointe du Groupe Informatique Viveo de 2004 à 2006. Fortement impliquée dans les évolutions réglementaires impactant la Place financière européenne, elle co-fonde et dirige ensuite Hégoa-Solutions, éditeur d’une solution de valorisation des produits dérivés OTC. Sylvie Lépicier remplace aujourd’hui Cyril Vegni, co-fondateur d’Oxéa Conseil, à la Direction générale de l’entreprise. Désireux de donner un nouveau sens a sa carrière en s’orientant sur des missions de coaching, de management de transition et une activité de talent up management, Cyril Lépicier quitte l’entreprise après 5 années durant lesquelles il a su développer, animer et positionner son entreprise comme l’une des sociétés de conseil leaders sur son marché en matière de gestion des risques.
« Si la mise en pratique de Solvabilité II ne devrait avoir de fort impact sur les plus grands groupes, certaines procédures vont sensiblement évoluer dans les années à venir » a déclaré Julien Chartier, actuaire senior au sein d’Optimind à Instit Invest. La nouvelle réglementation Solvabilité II va nécessiter une conception différente des stratégies d’allocation. Les investisseurs ont tendance à regrouper dans de grandes classes d’actifs des fonds qui n’ont pas de corrélation forte entre eux, ce qui rend difficile une vision claire de la situation de chaque catégorie. « L’exigence accrue de transparence qui est attendue implique d’améliorer la gestion du risque » explique Julien Chartier qui propose une réorganisation de ces classes d’actifs. « En ce qui concerne par exemple l’allocation en action, elle devra être a minima scindée en deux catégories : côtée et non côtée, de même avec l’immobilier pour lequel nous devrons isoler les fonds d’investissement avec levier ». Mais Solvabilité II n’implique pas seulement une meilleure répartition du risque. Le coût du capital n’est pour l’instant calculé que dans l’optique de déterminer le risque de marché. Une méthode qui ne correspond pas, selon l’actuaire, à la réalité économique : « Il faut optimiser le coût du capital pour prendre en compte le coût marginal des décisions de gestion, à partir duquel les décideurs pourront déterminer quelle est leur véritable capacité d’investissement. » Julien Chartier prévoit aussi un changement lors de la souscription à de nouveaux fonds d’investissement. Pour plus de transparence, certaines BFI et sociétés de gestion commencent dès à présent à proposer des indicateurs de coût en capital destinés à anticiper l’impact de certaines décisions, comme par exemple le changement de gestionnaire. Julien Chartier l’affirme : « d’ici quelques années, les directions ALM et des placements financiers vont avoir recours à de nouveaux outils qui leur serviront ensuite pour les reportings annuels. » Cette approche, pour le moment émergente, devrait bouleverser les besoins en terme de reporting et imposer une documentation plus importante à propos des fonds sur les places européennes.
Towers Watson annonce la nomination de Nicolas Moinier en tant que courtier senior au sein de sa branche d’activité dans la réassurance, afin de renforcer sa présence sur le marché européen du courtage en réassurance. Nicolas Moinier, préalablement Responsable de la réassurance du groupe d’assurance mutuelle français MAIF, sera basé à Paris afin de développer l’activité de courtage en Europe continentale. Nicolas Moinier est expert comptable de formation. Jean-François Delon, Directeur du département réassurance de Towers Watson France a déclaré : « Je suis ravi que Nicolas ait pris la décision de rejoindre Towers Watson. Avec 15 ans d’expérience à son actif, il apporte de solides compétences, alliées à un savoir-faire qui constituerontautant d’atouts pour notre équipe en Europe. Nicolas possède une excellente connaissance du marché IARD français et de solides capacités d’analyse. Il est donc bien placé pour renforcer notre activité sur le marché, ainsi que notre offre de conseil auprès des clients à mesure que nous continuerons de poursuivre des opportunités de croissance dans toute l’Europe. »
Diplômé de l’EM-Lyon et anciennement directeur de la multigestion chez Barclays Wealth Managers France, Alain Zeitouni prend la direction de la branche Solutions d’Investissements à destination des investisseurs institutionnels. Agé de 36 ans, Alain Zeitouni a passé dix ans chez Barclays. Tour à tour en charge des OPCVM (conception, développement et promotion) au sein du Groupe Barclays en France, responsable des offres de gestion et de conseil puis directeur général délégué de Barclays Wealth Managers France, il a créé et développé l’activité de multigestion de Barclays en France.
Lancée lors de la Convention Patrimonia, la pétition visant à protester contre la possibilité de suppression par Bruxelles des rétrocessions de commissions perçues par les conseils en investissements a recueilli plus d’un millier de signatures. Stéphane Fantuz, Président de la CNCIF encourage les CIF à amplifier le mouvement. Plus d’un millier. C’est le nombre de signatures recueillies face au projet de la Commission européenne qui voudrait interdire les rétrocessions de commissions, soit la quasi-totalité des rémunérations des CIF. En effet Bruxelles, interdirait la perception par les professionnels d’autres éléments de rémunération que leurs honoraires. Ce qui aurait pour conséquence de remettre brutalement en question la viabilité économique de l’activité de CIF et de CGPI. Aussi, l’initiative lancée lors de la Convention Patrimonia a largement mobilisé. Stéphane Fantuz, Président de la CNCIF, s’il se réjouit bien sûr de cette réaction positive, appelle désormais la profession à poursuivre la mobilisation et encourage à signer la pétition en ligne sur le site internet de l’association à l’adresse suivante : http://www.cncef.org/files/file/Petitionpatrimonia2.pdf « Toute réforme non concertée de la distribution des produits financiers serait dangereuse à la fois pour l’avenir de la profession mais aussi pour la protection du consommateur épargnant ; il faut donc poursuivre notre action » conclut Stéphane Fantuz. La pétition continue.