Cette place de marché permet aux acheteurs de faire de bonnes affaires sur des actifs bien évalués et aux vendeurs de récupérer des fonds pour rembourser des dettes ou se relancer.
Dans sa plainte civile, la Commodity Futures Trading Commission a notamment accusé Changpeng Zhao de potentielles manipulations de marché en négociant sur la plateforme sans en avertir ses clients.
Dans une plainte civile, la Commodity Futures Trading Commission accuse la plateforme d’avoir orchestré un système lui permettant d’éviter d’enregistrer ses activités liées aux produits dérivés.
Ce prototype technique mené sous l’égide de la BRI a permis de réaliser des transactions en temps réel entre l’Eurosystème, la Malaisie et Singapour. Prochaine étape : l’élargissement.
L'éditeur américain de logiciels est plus que jamais le groupe possédant le plus d'unités de la cryptomonnaie. Il a également remboursé son prêt à Silvergate en bénéficiant d'une décote de 22%.
La fintech des fintechs s’attaque à une nouvelle cible : les grandes entreprises qui pourraient intégrer des services financiers à leur offre. Un livre blanc vient appuyer la démarche de ce «banking-as-a-service».
Une proposition de loi vise notamment à réglementer la promotion par les influenceurs des produits financiers et des cryptoactifs, réservée à ceux ayant obtenu un agrément PSAN de l’AMF.
La crypto a l'ambition de faciliter l'investissement dans l'immobilier, notamment locatif. Mais les barrières réglementaires et fiscales s'avèrent nombreuses pour permettre à cette pratique de se développer en France.
Engagée dans un programme stratégique de cloud avec son partenaire historique, la banque tire les premiers résultats positifs de ce choix. La transformation se poursuit.
Officiellement recherché depuis septembre, Do Kwon a été appréhendé au Monténégro, selon les autorités locales. Il dirigeait le stablecoin de Terra-Luna au moment de sa chute.
La plateforme considérée comme la plus régulée du marché pourrait prochainement faire l’objet d’une action en justice de la part de la SEC. Coinbase y voit une manœuvre pour atteindre la cryptosphère aux Etats-Unis.
Avec ce rachat, la fintech compte offrir à ses clients marketplaces une solution de gestion des paiements complexes enrichie et des coûts réduits, grâce notamment au routage intelligent.
Ce cadre réglementaire transitoire doit permettre de tester l’utilisation des technologies de registre distribué et de faire émerger des standards de tokenisation d’actifs classiques.
En s’affirmant émetteur et gérant de monnaie électronique, mais aussi candidat à l’obtention de l’enregistrement PSAN en France, le géant crypto assume sa volonté de proposer des services bancaires pour l’ensemble du marché européen.
Outre la révision de la directive sur les services de paiement DSP2 qui pourrait encadrer l’open finance au-delà des comptes de paiement, banques et fintechs sont toujours à la recherche de modèles économiques viables.
L’américain Circle a annoncé avoir déposé un dossier pour obtenir l’enregistrement comme prestataire de service sur actifs numériques (PSAN) ainsi qu’une demande d’agrément pour émettre de la monnaie électronique.
Ce projet français entend devenir la référence pour permettre aux entreprises de développer et gérer leur émission de crédits carbones via la blockchain.
Alors que commence la semaine de l’éducation financière sous l’égide de la Banque de France, un projet européen de «cybercitoyen» vient de présenter un rapport sur les pratiques des Etats-membres dans ce domaine.
La clientèle de commerçants du premier pourra ainsi bénéficier des innovations développées par le second et accepter des paiements open banking ou en cryptos.
La fintech de paiement, dont la valeur baisse continuellement depuis deux ans, veut utiliser ces fonds pour racheter les actions attribuées à ses salariés et régler la note fiscale correspondante.
L'une des trois banques régionales américaines a avoir fait faillite la semaine dernière serait visée par une enquête pour blanchiment d'argent. Les autorités demanderaient également aux potentiels repreneurs de couper les ponts avec la crypto.
Ce projet français lancé en 2021 subit les conséquences d'une attaque informatique dont a été victime une de ses principales contreparties. Son ancrage à l'euro a chuté de 40%.
Avec les faillites de Silicon Valley Bank, Silvergate et Signature Bank, les acteurs cryptos proposant des stablecoins ont vu leur accès à la finance traditionnelle diminuer.
Le service, qui sera intégré à la filiale Django de La Banque Postale, s’adresse directement aux consommateurs. Il ne nécessite pas d’intégration chez les commerçants et évite la surconsommation grâce à l’open banking.
En combinant open data et intelligence artificielle, cette start-up nordiste réduit considérablement la fraude et améliore le taux de transformation des enseignes.
Quasiment un tiers des réserves en cash de son stablecoin se trouvaient chez la Silicon Valley Bank. L'USDC a été la cible des spéculateurs ce week-end et a perdu son ancrage au dollar.