
CARNET ACTIFS 806
BANQUE
PATRICK ROUVILLOIS est nommé responsable du tech hub chez Natixis Corporate & Investment. Il débute sa carrière à San Francisco comme ingénieur chercheur sur le changement climatique et le cloud computing. Après un passage dans le conseil où il participe à la création de Cegetel, il entre chez Vivendi Universal en 2000 et y développe et restructure des start-ups tech. En 2005, il dirige à Londres le marketing produit puis le marketing grand public d’Orange. Il devient, en 2008, directeur exécutif de Carrefour, en charge du marketing, de l’e-commerce et des services marchands. Il lance en 2012, à l’international l’activité tech de Barnes & Noble, Nook. Il intègre en 2015, le Boston Consulting group en qualité de directeur associé de BCG Digital Ventures puis le groupe Edenred, en 2020, en tant que directeur général innovation en Asie-Pacifique, membre du comité exécutif.
VANESSA GUYOT-SIONNEST, 50 ans, renforce l’équipe corporate finance immobilier/services financiers de Edmond de Rothschild en tant que directrice associée. Après un début de carrière au sein du cabinet Vogel & Vogel en 1996, Vanessa Guyot-Sionnest entre chez Auguste Thouard & Associés au sein du pôle bureau. Elle participe début 2001, à la création de Catella Property Consultants dont elle était associée et head of investment depuis janvier 2020.
SOCIÉTÉ GÉNÉRALE
CLAIRE DUMAS, est nommée directrice financière du groupe chez Société Générale. Elle débute sa carrière en 1992 comme manager dans le département banques et institutions financières du cabinet Deloitte. Elle rejoint, en 1998, le groupe Société Générale au sein des fonctions support de la banque de financement et d’investissement. En 2009, elle intègre la direction des risques sur le poste d’adjointe puis, en octobre 2011, en qualité de directrice des risques opérationnels du groupe. Elle prend en charge également le programme entreprise risk management à son lancement en janvier de la même année. Elle est nommée, en octobre 2014, directrice financière de la banque de détail en France puis directrice financière déléguée du groupe, en charge de la supervision de l’ensemble des activités de banque de détail et de services financiers en septembre 2017. Elle est membre du comité de direction du groupe depuis juin 2013.
SOCIÉTÉ DE GESTION
PETER DE COENSEL est nommé CEO de DPAM. Gestionnaire chevronné, il rejoint DPAM en 2009 en tant que gestionnaire avant de devenir CIO et membre du comité de direction et du conseil d’administration.
AVOCAT
DEBORAH ITTAH, estnommée directrice associée au sein de la direction régionale de Paris de Fidal. Elle entre chez Fidal en 2001 et crée le département règlement des contentieux du bureau de Créteil et y développe les activités de baux commerciaux.
PAULINE TREDANIEL, est nommée directrice associée au sein de la direction régionale de Paris de Fidal. Elle exerce chez Fidal depuis 2007 et développe une forte expertise en matière de fiscalité immobilière tant en France qu’à l’étranger.
JULIETTE ROBIN-VERNAY est nommée directrice associée au sein de la direction régionale de Paris de Fidal. Elle intègre Fidal en septembre 2017 au sein du pôle propriété intellectuelle.
ALEXANDRE BAUX est nommé directeur associé au sein de la direction régionale de Paris de Fidal. Entré chez Fidal en février 2011, il intervient en tant que conseil auprès des entreprises et de leurs dirigeants. Il a également développé une expertise particulière dans le conseil aux dirigeants et aux particuliers. Il est membre du Conseil de l’Ordre du barreau de Versailles et vice-président du MEDEF Yvelines.
CHARLES DE CREVOISIER est nommé directeur associé au sein de la direction régionale de Paris de Fidal. Il intègre Fidal en 2017.
LOUIS EMMANUEL RUGGIU est nommé directeur associé au sein de la direction régionale de Paris de Fidal. Il entre chez Fidal en 2004 au sein de la direction internationale.
BORIANA GUIMBERTEAU, nouvelle associée au sein du département propriété intellectuelle chez Stephenson Harwood. Elle débute sa carrière comme juriste au sein de la division parfums et cosmétiques du groupe LVMH puis exerce au sein du cabinet FTPA où elle coanime depuis 2014, le département propriété intellectuelle et participe au développement de la plateforme blockchain avocats du cabinet.
BENJAMIN BOHBOT, nouvel associé en droit pénal des affaires de Consigny Monclin Bellour. Ancien secrétaire de la Conférence, il exerce au sein de la section JIRS criminalité organisée du Parquet de Paris. Il exerce également au sein du Cabinet Temime.
CAPITAL DEVELOPPEMENT
AGATHE ANQUETIL, 27 ans, devient chargée d’affaires pour les investissements non cotés de NextStage AM. Elle réalise ses premières expériences en capital investissement chez Essling Capital et en corporate development/M&A chez Cargill. Elle rejoint NextStage AM en janvier 2020.
MARC MEHANNA, 29 ans, est nommé responsable relations investisseurs, DEV chez NextStage AM. En poste au sein de LCL et UBS France en charge de la relation avec la clientèle, Il intègre NextStage AM en 2017.
BASTIEN AVERSA, 28 ans, est nommé chargé d’affaires investissements cotés de NextStage AM. Analyste en financement de projets pour le groupe Henkel puis analyste d’investissement pour le fonds suisse Franck Muller Luxury, il rejoint l’équipe d’investissement de NextStage AM en 2017.
ENZO CARDILLO, 30 ans, chargé d’affaires senior investissements cotés de NextStage AM. Assistant trader forex & interest rates chez Crédit Agricole Corporate & Investment Bank (CACIB), il intègre l’équipe d’investissement de NextStage AM en 2016 comme analyste.
PIERRE-ALEXANDRE PRIGENT, 29 ans, devient chargé d’affaires senior investissements cotés chez NextStage AM. Après avoir exercé en M&A chez Carmin Finance, il rejoint NextStage AM en 2016 en tant qu’analyste.
ADRIEN BERENGER, 34 ans, est nommé senior asset manager – stratégies value added chez La Française REM. Après douze ans dans l’immobilier, il démarre sa carrière chez Union Investment Real Estate à Paris comme asset manager junior. Nommé directeur de l’asset management pour le bureau belge en 2016, il revient en France en tant que senior asset manager avant de devenir en 2020, directeur de l’asset management, en charge notamment des projets de redéveloppement.
CEDRICK BECKER, 37 ans, est nommé senior asset manager – investisseurs institutionnels internationaux de la Française REM. Après avoir entamé sa carrière en 2009 chez GE Real Estate comme analyste, il rejoint le groupe Aerium au Luxembourg en 2010 en tant qu’asset manager pour superviser le portefeuille d’actifs au Benelux. En 2012, il s’installe à Paris et devient investment manager, travaillant sur les acquisitions et cessions du portefeuille français. Il rejoint, en 2015, Allianz Real Estate en qualité de senior asset manager et devient responsable d’équipe. Il gère pendant quelques années un portefeuille diversifié composé d’actifs situés en France et aux Pays-Bas.
BANQUE
VANESSA GUYOT-SIONNEST, 50 ans, renforce l’équipe corporate finance immobilier/services financiers de Edmond de Rothschild en tant que directrice associée. Après un début de carrière au sein du cabinet Vogel & Vogel en 1996, Vanessa Guyot-Sionnest entre chez Auguste Thouard & Associés au sein du pôle bureau. Elle participe début 2001, à la création de Catella Property Consultants dont elle était associée et head of investment depuis janvier 2020.
ASSURANCE
ALEXANDER VOLLERT est nommé directeur des opérations d’AXA. Il exerce chez McKinsey & Company, Inc. pendant neuf ans sur différents marchés et sujets liés à l’assurance puis rejoint Allianz Deutschland AG où il assume divers rôles dont ceux de responsable de l’organisation des activités, COO pour la vie, la santé et l’assurance dommages ainsi que président-directeur général de l’activité allemande d’assurance dommages. Il intègre AXA en septembre 2016 et exerce comme directeur général d’AXA Allemagne. Il est également président du conseil de surveillance de Roland Rechtsschutz-Versicherungs-AG et membre du conseil consultatif du Fonds AXA pour la recherche.
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Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse