
CARNET ACTIFS 805
GESTION DE PATRIMOINE
STÉPHANE VAN HUFFEL, 44 ans, est nommé directeur général de Leemo au sein du groupe Primonial. Il entame sa carrière au sein de la branche d’investissement immobilier d’un grand promoteur français. Il évolue au sein du même groupe vers un poste d’encadrement puis de directeur régional en charge d’animer et d’encadrer cinq cabinets en France. Il crée en 2005, son propre cabinet puis fonde par la suite Netinvestissement dont il prend la direction générale, fonction qu’il conserve.
ASSOCIATIONS
STÉPHANIE HUBERT, 46 ans, nouvelle directrice général adjointe d’Amafi (Association française des marchés financiers). Elle a débuté chez Crédit Agricole Indosuez, puis a occupé des postes de direction chez JPMorgan à Londres et Paris, ainsi que chez Axa Investment Managers. Membre du comité exécutif de la Banque Neuflize OBC et group compliance head d’ABN Amro en France, elle s’est impliquée plus récemment dans des activités de conseil en gouvernance d’entreprise et finance durable. Elle a assuré entre 2008 et 2015 le développement du pôle conformité en tant que directrice de la conformité del’Amafi.
IMMOBILIER
KRISTELLE WAUTERS, 41 ans, accède au poste de directrice générale immobilier d’Edmond de Rothschild Reim. Elle commence sa carrière chez DTZ Asset Management, devient directrice des investissements chez Constructa Asset Management puis rejoint, en 2012, Aviva Investors Real Estate France où elle exerce en tant que directrice des investissements en Europe continentale et des développements tertiaires puis directrice générale déléguée. Elle était, depuis 2019, directrice des opérations immobilières chargée de la direction commerciale, de l’asset management et de la direction technique de la foncière Mercialys.
JERÔME VALADE, 37ans, devient responsable du pôle immobilier de santé, chez La Française Real Estate Managers. Il débute sa carrière chez Cushman & Wakefield (anciennement DTZ) à Paris en expertise immobilière sur des actifs d’immobiliers de santé avant d’être responsable de projets de développement en maîtrise d’ouvrage et en promotion immobilière chez Pitch Promotion. Il rejoint ensuite les équipes d’asset et property management de HSBC Reim puis les équipes d’investissement de Primonial REIM spécialisées en santé & éducation et participe au développement des allocations sur cette classe d’actif.
JEAN-BAPTISTE FROGER, 28 ans, nouveau responsable commercial Grand Sud, au sein de Fundimmo. Après avoir exercé des stages chez L’Oréal et Wavestone, il rejoint CBRE en 2017 comme consultant immobilier. Il retrouve, en 2019, Wavestone en qualité de responsable du développement.
ALEXIS BRIEND, 35 ans, est promu directeur du développement, au sein de Fundimmo. Il commence sa carrière en 2011 chez PwC où il exerce comme auditeur senior puis rejoint, en 2014, Ivanhoé Cambridge au poste d’analyste financier. Il intègre, en 2016, Anaxago et y occupe les fonctions d’analyste immobilier senior puis devient responsable commercial pour la région Ile de France chez Fundimmo en 2018.
FABRICE RIMLINGER, 46 ans, est nommé senior director debt & structured finance au sein de CBRE Capital Advisors. Analyste crédits en centre d’affaires grandes relations au Crédit Lyonnais puis au sein de Crédit Agricole CIB, en charge d’un portefeuille de clients spécialisés en promotion immobilière, il évolue ensuite dans les financements structurés chez ING Real Estate Finance en qualité de senior manager.
JULIEN MICHEL est nommé directeur des investissements et du business development d’Arkéa Real Estate. Il exerce entre 2007 et 2010 les fonctions de responsable de projet, chef de projet puis directeur de projet chez Bouygues Construction. Il rejoint, en 2010, les équipes de Linkcity Ile de France pour lesquelles il développe puis suit l’opération Quadrans. Directeur du développement chez AXA IM, il crée, en 2018, la filiale tertiaire française d’Immobel où il constitue et structure l’équipe.
ASSURANCE
GUILLAUME THIOLLIER, 52 ans, est nommé directeur du développement commercial courtage vie au sein du marché protection sociale des pro-PE de Generali France. Conseiller commercial chez UAP-Axa, il intègre en 1997 le cabinet de courtage Leguay comme conseiller clientèle entreprise assurances de personnes. Il rejoint en 2010, le groupe Allianz en tant qu’inspecteur puis responsable collectif France Ouest. Il devient, en 2014, directeur courtage régional pour le Sud-Est et surl’ensemble des marchés de l’assurance. Il entre en 2019 chez Alptis comme directeur commercial.
GAËLLE KUSTER, 38ans, nouvelle directrice des affaires financières au sein de la direction offre de soins mutualistes de groupe MGEN. Après avoir commencé sa carrière au centre hospitalier de Ploërmel comme directrice adjointe chargée des affaires financières et de la clientèle, elle est nommé directrice adjointe chargée des affaires financières et du système d’information au Cesame de Sainte-Gemmes-sur-Loire. Elle rejoint ensuite le bureau Efficience au sein de la direction générale de l’offre de soins du ministère des Solidarités et de la Santé fin 2016. Elle devient en septembre de l’année suivante adjointe à la cheffe de bureau puis en mars 2020, cheffe du bureau.
ANA BOATA est nommée directrice de la recherche économique, du Groupe Euler Hermes. Elle débute sa carrière dans le secteur bancaire. En 2019, elle devient directrice de la recherche macro-économique du groupe Euler Hermes et dirige la recherche thématique sur les PME. Elle est en 2021, économiste chargée de la zone chez Euler Hermes.
SOCIÉTÉ DEGESTION
MARIE-PIERRE GUERN, 56ans, devient directrice de la gestion chez Palatine Asset Management. Après avoir exercé dans le négoce international, elle intègre Palatine Asset Management en 2001 où elle assumait une double responsabilité comme gérante action du fonds Palatine Entreprises Familiales ISR et portait l’ISR chez Palatine Asset Management et supervisait, à ce titre, l’intégration de critères ESG dans les fonds labellisés et sa diffusion au sein de la société.
CLAUDE THOMAS est nommé responsable administratif et financier de Solaris Gestion. Issue de la filière expertise-comptable où il exerce pendant huit ans, il intègre le groupe Urbania/Adyal en qualité de responsable administratif et financier.
NICOLO FOSCARI est nommé responsable multi-actifs assurances et risk-solutions, outsourced CIO solutions d’Amundi. Il commence sa carrière en 2000 et exerce divers postes chez Credit Suisse Wealth Management en Europe et aux Etats-Unis. Il commence dans l’équipe stratégie de gestion actions puis à Milan dans l’équipe solutions multi-actifs. Il est nommé, en 2009, directeur dans l’équipe solutions et stratégies d’investissement à New York. Il entre, en 2016 chez Morgan Stanley Wealth Management à New York en tant que senior investment officer, outsourced CIO solutions.
BANQUE PRIVÉE
PHILIPPE DUVAL est nommé responsable du développement de l’offre aux entreprises familiales de Oddo BHF. Directeur marketing pour le marché des entreprises à la Banque de Savoie, il passe ensuite huit ans chez ABN Amro en tant que responsable d’un département dédié aux financements des entreprises. Il rejoint Edmond de Rothschild en 2002, où il exerce différentes responsabilités dans la banque privée en tant que directeur régional pour le Sud-Est puis en tant que directeur du développement où il pilote la mise en place des bureaux régionaux (à Lille, Strasbourg, Marseille, Bordeaux, Toulouse et Nantes). Il développe des synergies et des coopérations importante entre la banque privée, la gestion d’actifs et la banque d’affaires. Il prend ensuite la direction d’Edmond de Rothschild Corporate Finance et conseille des entreprises familiales small et midcap.
GROUPE BANCAIRE
CLOTILDE QUILICHINI est nommée directrice entreprise, membre du comité de direction générale de la banque de détail en France au sein de BNP Paribas. Elle intègre le groupe BNP Paris en 1999. Elle y occupe des fonctions commerciales au service des clients entreprises de la banque en qualité de chargée d’affaires puis responsable commerciale entreprises et responsable développement commercial PME. Elle est nommée, en 2014, directrice du centre d’affaires Sud-Ouest entreprises puis directrice de la clientèle entreprise Ile de France en 2017.
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Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse