
CARNET ACTIFS 758
LEAD
ASSURANCE
GENERALI Luxembourg
PAUL LECOUBLET, 36 ans, est nommé directeur général de Generali Luxembourg. Il débute sa carrière en 2006 chez Aforge Finance en tant que chargé d’affaires puis de manager fusions/acquisitions, principalement sur les opérations de leverage buy out (LBO). Il intègre Generali France en 2010, comme responsable de mission corporate finance, puis de responsable corporate finance où il supervise les aspects financiers et juridiques des opérations d’acquisition, fusion et de cession. Il est promu, en 2014, secrétaire général et membre du comité exécutif de GFA Caraïbes. Il est nommé en avril 2018, directeur du modèle économique et de la stratégie de distribution de Generali France.
INSTITUTIONS
AUTORITE DE CONTROLE PRUDENTIEL
, ET DE RESOLUTION
DOMINIQUE LABOUREIX, nommé secrétaire général de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution. Il rejoint la Banque de France en 1988. Il travaille dans un premier temps au sein de l’institution en tant qu’adjoint à la direction en charge des systèmes de paiements et des infrastructures de marchés avant d’intégrer, en 1993, la Commission bancaire pour devenir directeur adjoint du contrôle sur pièce de 2004 à 2007. Nommé directeur du département des politiques et de la recherche, en 2007, fonction qu’il conserve au sein de l’Autorité de contrôle prudentiel (ACP) à sa création en mars 2010. Il est entre 2011 et 2013, directeur de la direction financière et du contrôle de gestion de la Banque de France puis chargé de créer, en 2013, la direction de la résolution au sein de l’ACPR. Il est nommé en décembre 2014, membre du conseil de la résolution unique, nouvellement créé à Bruxelles, où il est en charge de la planification de la résolution.
CARNET
INSTITUTIONS
FONDS DE GARANTIE DES DEPOTS ET DE RESOLUTION
MICHEL CADELANO devient membre du directoire du Fonds de garantie des dépôts et de résolution (FGDR). Il effectue toute sa carrière au sein du secteur bancaire français. Anciennement inspecteur général chez Bpifrance, il était l’interlocuteur privilégié de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) et de la Banque centrale européenne (BCE). Responsable de l’audit interne pour l’Europe de l’ouest au sein de la Société Générale, il a également fait partie de l’Inspection générale de BNP Paribas et a accompagné le déploiement informatique de la nouvelle stratégie de gestion de trésorerie des clients de la banque.
CONSEIL SUPERIEUR
, DU NOTARIAT (CSN)
CHRISTIAN REVELLI,
, 60 ans, nouveau directeur du numérique et des systèmes d’information du Conseil supérieur du notariat (CSN). Il réalise l’essentiel de sa carrière au sein du groupe Alcatel-Lucent. Il démarre dans la division faisceaux hertziens en 1985 puis rejoint en 1992, une filiale d’Alcatel Espace comme directeur des opérations avant de se tourner vers les systèmes d’information qu’il rejoindra en 2000. A la suite du rapprochement avec Lucent en 2003, il exerce comme directeur du service client puis directeur de l’infrastructure et des applications pour la région EMEA en 2009. En 2010, il intègre le groupe Stéria en tant que directeur des systèmes d’information avec pour mission principale de définir et déployer le système d’information du groupe puis devient en 2015, DSI de KPMG France où il mène des projets de digitalisation et de transformation du système d’information.
GESTION D’ACTIFS
AMUNDI
MONICA DEFEND,
, 47 ans, nommée responsable de la recherche groupe, chez Amundi. Après avoir été assistante universitaire au département d’économétrie avancée à l’université de Bocconi à Milan, elle entame sa carrière dans l’industrie de l‘investissement en 1997. Elle occupe des postes au sein du département recherche de Pioneer Investments dont celui de responsable de la recherche quantitative et plus récemment de responsable de la recherche en allocation d’actifs. Elle devient en 2017, directrice adjointe de la recherche et membre du comité global d’investissement d’Amundi.
AMUNDI PRIVATE
, EQUITY FUNDS
ALEXANDRE DENBY WILKES,
, 40 ans, devient directeur associé chez Amundi Private Equity Funds. Il débute sa carrière en tant qu’administrateur judiciaire collaborateur puis rejoint, en 2005, l’investissement non coté en intégrant les fonds UFG Private Equity. En 2009, il participe à la création du fonds d’investissement HLD en tant que directeur associé et y réalise pendant huit ans des opérations majoritaires et minoritaires dans les entreprises valorisées. Il devient fin 2016, associé de la holding d’investissement Enthéos.
MATHIEU DE LA ROCHEFOUCAULT,
, 43 ans, est nommé directeur associé chez Amundi private equity funds. Il entame sa carrière en fusions/acquisitions chez SG Hambros à Londres puis rejoint l’équipe de capital investissement en nouvelles technologies chez SG Asset Management à Paris en 2000 et devient directeur associé en 2008. En charge des dossiers digitaux comme Sarenza, KDS, Netas et To Do Today au sein de l’équipe d’Amundi Private Equity Funds à partir de 2011, il participe, en 2017, au lancement de Supernova Invest, joint-venture entre Amundi et le DCEA. Membre du directoire, il s’occupe plus particulièrement de la mise en place du fonds Crédit Agricole Innovations et Territoires et réalise les premiers investissements du fonds dans des sociétés technologiques comme Robocath ou Afyren.
ABN AMRO INVESTMENT SOLUTIONS
STEPHANE CORSALETTI
, est nommé vice-président du conseil de surveillance d’ABN AMRO Investment Solutions. Il fonde la société de gestion en 1999 et la dirige continûment depuis. Il est président du directoire d’ABN amro investment solutions (AAIS).
FRANÇOIS-XAVIER GENNETAIS,
, 49 ans, est nommé président du directoire d’ABN AMRO Investment Solutions. Il entre, en 1995, chez Havas Euro RSCG comme consultant en nouvelles technologies puis deux ans plus tard, il exerce dans le conseil en réseau et télécommunication chez Electronic Data System sur le secteur banque et assurance, et rejoint les équipes de conseil en services financiers de PricewaterhouseCoopers Consulting. Il intègre la Banque Neuflize OBC en 2005, et occupe des postes de direction pour les activités de gestion privée et de gestion d’actifs. Il était depuis avril 2015, membre du directoire d’ABN Amro Investment Solutions, en charge de la stratégie et des opérations.
GROUPE BANCAIRE
HSBC FRANCE
FRANCK LACOUR, 50 ans, est nommé directeur des activités de marchés, membre du comité exécutif d’HSBC France. Il débute sa carrière en 1991, à la Société Générale sur le desk de trading d’indices et warrants japonais. Il exerce à Tokyo, de 1992 à 1998, pour Société Générale Securities puis pour la First National Bank of Chicago et devient senior trader dérivés actions japonaises puis directeur du trading dérivés actions japonaises. Après avoir développés les activités de dérivés actions à Hong Kong pour Dresdner Kleinwort Benson, il est transféré à Francfort en 1998 pour y prendre la direction des activités de dérivés actions sur le marché allemand. Il rallie, en 2000 les bureaux londoniens de la société et y occupe différents postes au sein du trading dérivés actions en tant que managing director. Il intègre, en 2003, Barclays, en charge du trading flux pour le groupe et exerce comme directeur dérivés actions EMEA en 2009. Il entre chez HSBC à Londres en 2010 en qualité de directeur des activités de dérivés actions sur le marché britannique avant d’être nommé directeur global trading actions en 2012, puis directeur des marchés actions EMEA en 2016.
IMMOBILIER
ARKEA BANQUE ENTREPRISES ET INSTITUTIONNELS
AURELIEN DELEU,
, 39 ans, nommé directeur du marché immobilier chez Arkéa banque entreprises et institutionnels. Il entame sa carrière en 2003 chez Dexia Crédit Local à Lille sur le financement des collectivités locales puis devient entre 2008 et 2009, directeur de clientèle logement social Ile-de-France. Il entre chez groupe Arkéa en 2009 et participe à la création du marché des institutionnels d’Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels et y occupe divers postes dont celui de directeur du marché immobilier social et entreprises publiques locales à partir de 2014.
AUDIT/CONSEIL
KPMG France
PIERRE PLANCHON,
, 53 ans, est nommé au comité exécutif de KPMG France, en charge de l’audit. Il passe vingt-huit ans au sein d’EY dont seize comme associé audit où il assume les fonctions de responsable du secteur assurance tous métiers pour la France et audit pour la zone EMEIA. Il entre chez KPMG France en 2017 comme associé.
MUTUALITE
GROUPE MNCAP
PAUL LE BIHAN est élu nouveau président du groupe MNCAP. Après un parcours dans la banque de détail notamment à la présidence du directoire de deux Caisse d’Epargne régionales où il dirige le pôle assurance du groupe Caisse d’Epargne, avant de prendre la direction générale de SFEREN. Il était depuis 2014, directeur général de l’Union Mutualiste Retraite, fonction qu’il conserve.
EDMOND DE ROTHSCHILD
RALF KIND,
, 48 ans, rejoint Edmond de Rothschild en qualité de responsable dette privée immobilière. Il commence sa carrière chez PwC à Tokyo en 1998. Il passe ensuite douze ans chez Barclays Capital, à Francfort et à Londres et travaille au sein de l’équipe des financements structurés puis à la direction de la banque d’investissement en immobilier pour la région Allemagne, Autriche et Suisse. Il fonde en 2013, Arbireo Capital AG puis devient directeur général et directeur financier de Demire Deutsche Mittelstand Real Estate AG et directeur général de Fair Value REIT AG.
AVOCAT
HARLAY AVOCATS
FRÉDÉRIQUE DAVID,
, est nommée associée chez Harlay Avocats. Elle travaille pendant quelques années au sein de cabinets internationaux français et anglo-saxons, August & Debouzy et Archibald Andersen. Elle fonde, en 1996, le département droit social du cabinet Kahn & associés qu’elle anime pendant plus de dix ans. Elle participe ensuite à la création et au développement de plusieurs cabinets d’avocats. Elle est depuis 2016, présidente de la Commission droit du travail et de l’immigration de l’Inter-pacific bar association (IPBA).
ASSURANCE
LA MONDIALE EUROPARTNER
SEBASTIEN VEYNAND,
, 46 ans, est nommé directeur du développement et directeur général adjoint de La Mondiale Europartner. En poste au sein de la Société Générale Bank & Trust Luxembourg en 1996, il rejoint successivement la Banque Populaire du Luxembourg en 1998 puis Euresa-life en 2000, avant de prendre la responsabilité des partenariats de la division des solutions d’investissement de Lombard International Assurances en 2005. Il était depuis 2012, directeur général de Generali Luxembourg.
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Jérôme Durain, le "M. Narcotrafic" du Sénat, est élu président de la région Bourgogne-Franche-Comté
Dijon - Le sénateur socialiste Jérôme Durain, élu vendredi à la tête de la région Bourgogne-Franche-Comté, a acquis une notoriété nationale en cosignant la proposition de loi contre le narcotrafic, ce qui lui a valu d'être élu «sénateur de l’année» en 2024. Jérôme Durain, élu à la tête de la région en remplacement de Marie-Guite Dufay, démissionnaire, est né le 2 juin 1969 à Nancy. Diplômé en 1993 de l’Institut d'Études Politiques de Paris, il épouse une carrière dans la fonction publique territoriale. Ce n’est qu'à 33 ans qu’il prend sa carte du PS, suite au choc qu’a représenté pour la gauche le 21 avril 2002 et la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle. Le combat contre le RN reste depuis son cheval de bataille, qu’il devra encore enfourner lors des prochaines élections régionales, en 2028, l’extrême droite étant en nette progression dans la région. En 2004, il fait la connaissance d’Arnaud Montebourg, alors député de Saône-et-Loire. Le futur ministre de l'Économie (2012-14) offre à Jérôme Durain de prendre sa succession à la tête de la fédération PS du département en 2005, ce qui vaudra à M. Durain l'étiquette de «bébé Montebourg». Il tient la «fédé» pendant dix ans, lui valant une réputation d’apparatchik, et gravit les échelons. Il est fait adjoint à la mairie PS de Chalon-sur-Saône en 2008, jusqu'à ce que la ville soit reprise par la droite en 2014, puis est élu en 2010 à la région, dont il prend en 2012 la vice-présidence à l’aménagement du territoire. En 2015, il est élu à la nouvelle région fusionnée Bourgogne-Franche-Comté, sur la liste de gauche de Marie-Guite Dufay, et prend la présidence du groupe majoritaire. Peu avant, en 2014, il devient le premier sénateur de gauche élu en Saône-et-Loire depuis 1986. Il n’a alors que 45 ans, et un pédigrée loin des barons du Sénat, mais, réélu en 2020, il s’impose comme le «M. Sécurité» du groupe socialiste, lui valant des critiques de ses pairs, notamment quand il apporte son soutien aux très contestées Brigades de répression de l’action violente (BRAV), en 2023, en s’immergeant avec ces policiers lors de la manifestation du 1er Mai à Paris. En 2024, il corédige, avec le sénateur LR Étienne Blanc, la proposition de loi «visant à sortir la France du piège du narcotrafic». La loi, promulguée le 13 juin 2025, est adoptée très largement par le Parlement, offrant à Jérôme Durain une grande visibilité médiatique. Élu «sénateur de l’année 2024", il était pressenti pour succéder à Patrick Kanner à la tête du groupe des sénateurs PS, mais la loi sur le cumul des mandats lui impose de démissionner du Sénat. © Agence France-Presse -
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Venise - «Je n’ai pas fait ce film pour que les gens restent confortables dans leur siège» : Kaouther Ben Hania assume de bouleverser le spectateur avec son film «The voice of Hind Rajab», choc de la 82e Mostra de Venise. Le film, sur la mort d’une petite fille de 5 ans à Gaza, a suscité une immense émotion sur le Lido. Il raconte l’histoire de Hind Rajab, retrouvée morte à l’intérieur d’une voiture criblée de balles dans la ville de Gaza, plusieurs jours après avoir passé trois heures au téléphone, le 29 janvier 2024, avec le Croissant-Rouge palestinien, alors que le véhicule dans lequel elle voyageait avec six membres de sa famille avait été visé par des soldats israéliens. Kaouther Ben Hania a utilisé les vrais enregistrements des appels à l’aide de la petite fille dans son film, qui se passe intégralement dans le centre d’appel des secours. Cette voix avait ému l’opinion publique internationale, lors de la diffusion des enregistrements dans la presse. A l'époque, la réalisatrice franco-tunisienne dit avoir ressenti «beaucoup de colère, beaucoup de désespoir, mais aussi un sens de qu’est-ce que je peux faire ? ". «Les Gazaouis, les Palestiniens en général, sont considérés toujours comme des suspects avant d'être victimes», a poursuivi auprès de l’AFP la réalisatrice des «Filles d’Olfa», César du documentaire en 2024 qui mêlait déjà fiction et réalité. Producteurs menacés La projection du film mercredi, à laquelle a assisté le couple hollywoodien Joaquin Phoenix et Rooney Mara, tous deux producteurs exécutifs, a laissé la salle en larmes et été accueillie par 23 minutes d’applaudissements. Du jamais vu. Brad Pitt, qui a vu le film, a lui aussi décidé d’apporter son soutien, comme Jonathan Glazer, réalisateur oscarisé de «La zone d’intérêt». Ils ont aussitôt fait l’objet de menaces, selon la réalisatrice. «Entre hier et avant-hier, mes producteurs, y compris les noms très connus américains, Brad Pitt, Joaquin Phoenix, leurs boites mail ont été inondées par des milliers et des milliers» de courriels, a rapporté vendredi Kaouther Ben Hania. Avec un «très long texte qui est super intimidant», a-t-elle poursuivi, avançant que ce n'était probablement qu’un «début». Le film a déjà été choisi pour représenter la Tunisie aux Oscars 2026. L’avant-première à Venise, le potentiel parcours aux Oscars, «c’est très important (...) parce que, pour un film comme celui-là, ça permet une visibilité énorme. Et moi, j’ai envie que le film soit vu un petit peu partout dans le monde», affirme Kaouther Ben Hania. Donner un visage Le long-métrage doit sortir le 17 septembre en Tunisie mais aucune date n’est encore prévue en Europe. Aux Etats-Unis, il n’a pas encore de distributeur. En le diffusant le plus massivement possible, Kaouther Ben Hania veut «mettre un visage sur cette petite fille et aussi sur les travailleurs du Croissant-rouge». «A travers cette histoire, on peut percevoir l'énormité et la monstruosité de ce qu’il se passe» à Gaza. Elle a notamment tenu à montrer la plage de Gaza, car la mère de Hind Rajab (qui apparait à la fin du film) «m’a dit qu’elle adorait» y aller. «Et quand je vois quelqu’un comme (Donald) Trump qui parle de Riviera, je me dis: mais dans quel monde on vit ?», s’indigne-t-elle. La mère de Hind Rajab a donné sa «bénédiction» à la réalisation du film, souhaitant «que la voix de sa fille ne soit pas oubliée». Les employés du Croissant-rouge, incarnés à l'écran par des acteurs palestiniens (le film a été tourné à Tunis), ont échangé longuement avec les acteurs jouant leur rôle à l'écran. Le film doit poursuivre sa route et être projeté au festival de Toronto, puis Londres, Saint-Sébastien et Busan. Antoine GUY © Agence France-Presse