
CARNET ACTIFS 742
BANQUE
SOCIETE GENERALE
PATRICK FOLLEA, 60 ans, devient responsable de la business unit gestion d’actif et banque privée de Société Générale. Il entre à la BNP en 1984 comme économiste avant de rejoindre l’inspection générale en 1990. Il occupe ensuite les fonctions de responsable du private banking à Hong Kong puis de directeur général de BNP Asset Management Asie. De retour dans la banque privée en 2000 en qualité de responsable régional pur l’Asie en charge du développement, il prend en 2003 la direction de BNP Paribas Banque Privée en Italie. Il rejoint Société Générale Private Banking France en 2007 et devient directeur en août 2009. En parallèle à ses responsabilités en France, il est nommé en 2012 directeur adjoint de Société Générale Private Banking, directeur délégué en 2017 puis directeur.
JEAN-FRANCOIS MAZAUD, est nommé responsable de la transformation du groupe, rattaché à la direction générale du groupe Société Générale. Chargé d’affaires à la Banque Indosuez à Paris puis à Tokyo en 1991, il rejoint Société Générale en 1993 et conseille les clients de la banque sur leurs opérations de haut de bilan, notamment en matière de privatisations, d’introduction en bourse ou d’augmentation de capital. Nommé responsable de l’origination d’obligations convertible en 1998, fonction qu’il occupe jusqu’en 2004, il intègre la direction des marchés de capitaux de dette de Société Générale. Il devient, en 2006, directeur de l‘origination des produits de dette au plan mondial avant d’être nommé, en 2008, directeur adjoint de la division global finance de Société Générale CIB et directeur en 2012. Il est nommé en 2017, superviseur de Lyxor en qualité de responsable de la business unit gestion d’actifs et banque privée.
JEAN-FRANCOIS GREGOIRE est nommé responsable de la business unit activités de marché de Société Générale. Il entame sa carrière au sein de Société Générale Corporate & Investment Banking à Paris en 1996 comme trader sur dérivés actions puis exerce entre 2001 et 2009 en tant que responsable du trading sur dérivés actions pour la zone Asie Pacifique puis pour les Etats-Unis. Il est nommé en 2009, responsable du trading US, basé à New York et responsable mondial du trading, basé à Paris, en 2012. Il était depuis novembre 2015, directeur délégué des risques du groupe.
, SOCIETE DE GESTION
CATELLA ASSET MANAGEMENT
BERTRAND BOUCLY est nommé directeur new products & clients de Catella Asset Management. Il était précédemment directeur portfolio & asset management depuis fin 2014.
, YOËL CYTRON est nommé directeur asset management de Catella Asset Management. Il exerçait en tant que directeur adjoint asset management depuis 2017.
MARIA FERENCHAK est nommé asset manager senior de Catella Asset Management. Elle était précédemment asset manager.
OLIVIER BARDECHE est nommé asset manager de Catella Asset Management. Il débute sa carrière chez Catella Asset Management en 2016 en tant que financial analyst.
, DNCA
Emilie Brunet-Manardo, rejoint DNCA Finance en tant que gérante-analyste et interviendrasur les actions françaises et européennes des fonds de la gamme. Agée de 36ans, Emilie Brunet–Manardo est diplômée de l’ESCP et a 13ans d’expérience en analyse financière et en investissement (public ou privé). Elle a débuté sa carrière chez Oddo & Cie en 2006 en tant qu’analyste financier sell-sidesur les valeurs européennes du secteur Agroalimentaire et Boissons. En 2010 elle rejoint l’équipe d’investissement du FSI, devenu Bpifrance, où elle occupe à partir de 2013 le poste de directrice d’investissement dans l’équipe de capital développement.
, AVIVA INVESTORS
ADRIEN BEURIOT est nommé responsable de la gestion d’actifs immobiliers pour l’Europe Continentale chez Aviva Investors et directeur général d’Aviva Investors Real Estate France SA. Il bénéficie de quatorze années d’expérience à divers postes dans le secteur de l’immobilier, notamment dans la gestion d’actifs, l’investissement, le fund management et les fusions/acquisitions. Il exerce au sein de Standard Life Investments, AXA Real Estaate France, General Electric Real Estate, Société Générale et PwC. Il était depuis mars 2018, directeur des investissements pour la France de BNP Paribas Real Estate Investment Management.
, BANQUE PRIVEE
BANQUE HOTTINGUER
ADRIEN MASSON devient fondé de pouvoir chez Banque Hottinguer. Il commence sa carrière chez Hottinguer Corporate Finance en 2014 en tant qu’analyste puis est promu associate en 2017.
DANIEL RAHAL est nommé fondé de pouvoir de Banque Hottinguer. Analyste chez Clearwater International en 2014, il rejoint les équipes d’Hottinguer Corporate Finance en 2016 comme associate.
, GROUPEMENTS
CHAMBRE NATIONALE DES CONSEILS EXPERTS FINANCIERS
CHRISTELLE MOUCHON, 40 ans, est nommée déléguée générale adjointe de la CNCEF. Elle débute au sein d’une institution de prévoyance, Identités Mutuelle dans le domaine de la gestion/production et développement puis rejoint l’Orias début 2010 comme gestionnaire. Lors de la création du registre unique en 2013, elle prend en charge la responsabilité de l’équipe gestion.
, PROTECTION SOCIALE
LA MUTUELLE GENERALE
ISABELLE LEROY, 52 ans, devient directrice marketing, services de vente directe et membre du comité exécutif de La Mutuelle Générale. Elle effectue la première moitié de sa carrière dans le secteur bancaire et services financiers chez GE Capital dans des fonctions de marketing et de développement. Elle intègre en 2004, le groupe Audiens et occupe la fonction de directeur du développement. Elle développe, entre 2008 et 2016, de nouvelles activités à l’étranger (Singapour et Dubaï), et lance le premier assureur direct indépendant en ligne d’Asie. Elle est nommée, en 2017, directrice marketing et relation client de Klésia.
, CONSEIL
PROXINVEST
CHRISTOPHE NIJDAM, 62 ans, devient responsable de la recherche européenne d’ECGS (expert governance corporate service), Proxinvest. Banquier aux Etats-Unis, analyste financier pendant la crise des subprimes, dirigeant d’une ONG européenne spécialisée sur la régulation financière post-crise, il est membre des collèges consultatifs de l’Autorité européenne des marchés financiers et de l’Autorité bancaire européenne. Il est actuellement administrateur de l’Association de défense des actionnaires minoritaires. Il a enseigné à Sciences Po Paris et est administrateur de l’Institut pour l’éducation financière du public.
MARC SERAFINI, 50 ans, est nommé directeur du développement chez Proxinvest. Il dispose de vingt-cinq ans d’expérience dans des fonctions commerciales et de direction du développement dans des institutions de l’asset management et des marchés financiers en France et à l’international. Il était directeur commercial d’EGAMO (groupe VYV).
VINCENT HAREL, 40 ans, prend la direction de Mercer France. Il entre chez Gemini Consulting en 2000 comme consultant en ressources humaines et change management avant de rejoindre Mercer France où il pilote des services de gestion santé & prévoyance puis dirige pendant trois ans le centre de gestion de Levallois-Perret avant de devenir responsable du développement de l’offre pour le compte de tiers. Nommé responsable de l’expansion du département Mes solutions Mercer, il devient en janvier 2015 directeur marché grands comptes santé & prévoyance avant de prendre la tête de l’ensemble de l’activité health en 2017.
, ASSURANCES
CNP ASSURANCES
HERVE THOUMYRE, 54 ans, entre chez CNP Assurances en qualité de directeur de l’expérience client et des systèmes d’information. Après un début de carrière en 1987 au Centre européen de recherche nucléaire comme chef de projet, il intègre IBM en 1989 et y occupe diverses responsabilités au sein des divisions conseil et services dans les secteurs de l’industrie et de la distribution. Directeur des systèmes d’information de Carrefour en 2007, il rejoint, en 2015, l’opérateur de transport CMA CGM en tant que vice-président en charge de la transformation du groupe. Il était depuis 2017, senior vice president de Devoteam.
, GESTION DE FORTUNE
LOMBARD ODIER
ALEXANDRE ZELLER, 58 ans, est nommé associé-gérant du groupe Lombard Odier. Après avoir menée sa carrière au sein du Credit Suisse en tant que CEO de l’activité banque privée en Suisse, il devient CEO de la Banque Cantonale Vaudoise
, à Lausanne de 2002 à 2008 puis président de la direction générale de HSBC Private Bank Suisse, Europe et Moyen-Orient à Genève entre 2008 et 2012. Il assume entre 2013 et 2016 la présidence du conseil d’administration de SIX groupe. Il a été membre du conseil d’administration de la Banque Lombard Odier en Suisse de 2014 à 2016.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse