La clarification sur le plan civil peut, à certaines conditions, avoir des conséquences intéressantes sur le plan fiscal La protection du survivant peut parfois être assurée en transmettant le patrimoine commun logé dans l'assurance vie en exonération fiscale
Chargé de prendre le pouls des conseillers en gestion de patrimoine indépendants, le Baromètre de BNP Paribas Cardif/Kantar TNS diffusé il y a quelques jours n’a guère fait mystère, dans sa 12e édition, sur ce qui préoccupe le plus les professionnels du patrimoine. La réglementation. Et cela se comprend. Après Mif2 en début d’année, la profession va désormais se frotter à la Directive sur la distribution d’assurance (DDA). Cela dit, parce que ce métier est indissociable des problématiques financières, juridiques, et fiscales des Français, les CGP vont devoir aussi accompagner leurs clients. Or, qu’il s’agisse de la flat tax, de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) ou encore, des grandes mesures annoncées dans le projet de loi Pacte, il est difficile de reconnaître que la simplification est au rendez-vous. Pis, à l’instar du jeu du Mikado, il paraît quasi impossible désormais de bouger un dispositif sans interagir sur d’autres, enchevêtrés... Certains de nos élus conviennent volontiers des méfaits de cette hyper fiscalisation, coupable selon eux d’être un frein à la mobilité des capitaux. Mais ils se heurtent aussi à d’autres imbrications. Dans ce sens, un amendement déposé dans le cadre du projet de loi Pacte par deux députés de la majorité prévoyait la transférabilité d’un contrat d’assurance vie vers une nouvelle entreprise d’assurance sans conséquences fiscales liées à un dénouement.
Pendant l’été, la divergence entre les États-Unis et le reste du monde s’est accentuée sur les marchés financiers. L’écart de performance entre États-Unis et les autres régions a atteint récemment des points extrêmes. Cette divergence se fonde sur la vigueur de l’économie américaine cette année et sur les conséquences d’une politique extérieure dominée par le « America First ». Comment investir dans ce contexte ? Notre allocation continue à surpondérer les actions, mais nous avons choisi également de diversifier notre allocation géographique en réduisant un peu notre exposition aux actions américaines pour augmenter notre exposition aux actions de la zone Euro et du Japon.
Les CGP ont cette année fait des choix. Notamment en se montrant critiques vis-à-vis des fonds patrimoniaux , En matière d’actions, ils ont réduit la voilure à partir de février, mais leur poids n’a jamais été aussi élevé
Le groupe DLPK entend racheter la structure tournée vers les courtiers et les CGP. Il complète ainsi son expertise en prévoyance patrimoniale à destination de ces derniers.
Une année record pour les family offices. L’an dernier, les family offices, qui gèrent le patrimoine de grandes familles ou d’entreprises familiales, ont enregistré au niveau mondial une performance moyenne de 15,5%, selon une étude réalisée par UBS et la société de recherche Campden Wealth Research (*). Un résultat exceptionnel qui fait suite à des gains de 7% en 2016 et de seulement 0,3% en 2015. Une nette augmentation de la prise de risque est à l’origine de cette multiplication par plus de deux de la performance de 2017 par rapport à celle de l’année précédente. La part des actions dans les portefeuilles se situe en moyenne autour de 28% et les investissements dans le private equity ressortent à 22%, avec des rendements moyens de 18% en 2017. D’une façon générale, les investissements alternatifs représentent en moyenne 46% des portefeuilles. Et 50% des family offices se disent bien décidés à encore augmenter leur exposition aux investissements directs, à savoir le private equity, dans les douze prochains mois."Ces bons résultats reflètent d’une part les marchés haussiers, d’autre part, la capacité des family offices à investir sur le long terme et dans des stratégies illiquides», commente Sara Ferrari, responsable de l’entité family-office chez UBS, citée dans un communiqué. L’enquête fait aussi ressortir les très bons résultats enregistrés par les family offices en Asie, surtout en raison de leur exposition aux pays émergents.L’enquête montre aussi que les deux cinquièmes environ (38%) des family offices sont engagés dans l’investissement durable. Emblématique de cette tendance, l’investissement d’impact a fortement augmenté, le nombre de family offices réalisant de tels investissements passant de 25% en 2016 à 33% en 2017. Plus généralement, 45% des family offices envisagent d’accroître leurs investissements durables au cours des douze prochains mois.(*) Le groupe suisse et la société de conseil ont interrogé 311 family offices dans le monde. Le patrimoine moyen géré par les family offices s'élève à 808 millions de dollars.
Le spécialiste de la gestion d’épargne en ligne Yomoni vient de lancer Yomoni Monde et Yomoni Allocation, deux fonds de fonds composés exclusivement d’ETF sélectionnés de manière indépendante. Ces produits mèlent un modèle quantitatif et une gestion discrétionnaire en proposant aux souscripteurs une gestion indicielle réalisée à partir d’ETF ainsi qu’une allocation d’actifs.
De sources proches du dossier, la Commission européenne a décidé de reporter la révision du règlement Priips, qui encadre l’information des produits financiers vendus à des investisseurs non professionnels. Elle était initialement prévue d’ici la fin de cette année (article 33 du règlement). L’entrée en vigueur du texte ayant eu lieu en janvier dernier, avec un an de retard, l’exécutif juge prématuré de considérer des changements dès décembre 2018. «Nous avons besoin de plus de temps pour récolter des données sur le fonctionnement de ce cadre», résume une source de la Commission interrogée par L’Agefi.
Avec près de 360 millions d’euros d'actifs, ce fonds éligible au PEA-PME est désormais en capacité d'accueillir environ 75 millions d’euros d’encours supplémentaires
À l’approche du salon Patrimonia, qui se tient les 27 et 28 septembre à Lyon, le groupe Perl publie les résultats d’une étude Ipsos menée auprès des Français dits « patrimoniaux ». Profils, placements, projets d’investissements... cette clientèle est scrutée à la loupe.
DNCA Finance (DNCA) passe en mode ISR. La société de gestion française, affiliée à Natixis Investment Managers (Natixis IM), a en effet dévoilé hier son nouveau dispositif dédié à l’investissement socialement responsable (ISR). « Cela fait deux ans que nous avons des appels du pied de plusieurs de nos clients pour développer une offre et une expertise en matière d’ISR », a expliqué Eric Franc, directeur général de DNCA, lors d’une rencontre avec la presse. De la parole aux actes, il n’y a qu’un pas que le gestionnaire d’actifs s’est enfin décidé à franchir. La société de gestion a ainsi recruté deux analystes dédiés. Après l’arrivée de Léa Dunand-Chatellet en juin 2018 en qualité d’analyste-gérante et directrice du pôle « Investissement Responsable » (IR), DNCA a accueilli au mois d’août Alix Chosson en tant qu’analyste au sein de ce même pôle. Toutes deux ont la lourde tâche de développer l’approche ISR de DNCA ainsi qu’une gamme de fonds dédié. « C’est une première étape pour notre société », a indiqué Eric Franc.Alix Chosson, 31 ans, a débuté sa carrière en 2010 chez Amundi en tant qu’analyste gouvernance et ISR avant de rejoindre Generali Investments, puis Standard Life Investments en 2013 où elle a participé notamment à la mise en place de la nouvelle stratégie d’intégration ESG ainsi qu’à la création de la démarche « d’impact investing ». En 2016, elle intègre l’équipe ISR d’Axa Investment Managers à Londres où elle a participé activement au développement de l’expertise climat. Elle rentre ensuite en France chez Natixis CIB en tant qu’analyste « sell-side » senior spécialisée sur les thèmes environnementaux et les secteurs intensifs en carbone. « A nous deux, nous constituons l’équipes IR, qui est totalement intégrée à l’équipe de gestion de la société », a précisé Léa Dunand-Chatellet. Une équipe qui devrait, à terme « se renforcer avec une personne supplémentaire pour faire de l’analyse », a dévoilé Léa Dunand-Chatellet. La constitution de cette équipe s’accompagne de la création d’une nouvelle gamme de fonds ISR, nommé DNCA Invest Beyond. « Cette gamme est composée de trois fonds qui ont été convertis en ISR car leurs gérants avaient déjà pris conscience de la nécessité de prendre en compte les enjeux du développement durable et de la responsabilité d’entreprise, a précisé la responsable. Ces trois fonds représentent environ 500 millions d’euros d’encours. » Dans le détail, la gamme est composée de deux fonds actions généralistes : le DNCA Invest Beyond Global Leaders (349 millions d’euros d’actifs) qui vise les leaders mondiaux de la transition économique durable et le DNCA Beyond European Leaders (26 millions d’euros d’actifs) qui se concentre sur la même thématique en ciblant les actions européennes. Le troisième véhicule, baptisé DNCA Invest Beyond Infrastructure & Transition (146 millions d’euros d’encours), cible les actions européennes et a vocation à investir dans les infrastructures qui contribuent à la transition économique durable. Ces trois fonds sont abrités dans la sicav DNCA Invest, a précisé la société de gestion. Et DNCA n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. « En janvier 2019, nous allons lancer de nouveaux fonds ISR pour étoffer la gamme, probablement au nombre de trois, a annoncé Léa Dunand-Chatellet. Ces fonds ISR seront gérés sur la base d’une approche combinant deux piliers majeurs : la responsabilité d’entreprise d’une part qui permet d’évaluer les risques auxquels les entreprises font face ; et, de l’autre, la transition économique durable considérée comme une source d’opportunités d’investissement. « Notre travail est d’identifier les thématiques pertinentes pour la transition économique durable et par déclinaison de sélectionner les entreprises qui y contribuent, a expliqué Léa Dunand-Chatellet. La combinaison de ces deux enjeux est très importante car l’un ne va pas sans l’autre. »Dans le cadre de cette approche, DNCA a décidé d’internaliser la recherche ISR et de développer un modèle d’analyse propriétaire, baptisé ABA (« Above et Beyond Analysis »). « Ce modèle propriétaire nous permet de couvrir toutes les valeurs, y compris celles qui sont mal couvertes par les agences de notations traditionnelles, a évoqué Léa Dunand-Chatellet. Il nous permet d’être plus flexible et de mieux cartographié les entreprises selon une approche risque/opportunité qui constitue le socle de notre démarche. » A l’occasion de cette présentation, Eric Franc, en a profité pour dresser un premier bilan de l’activité de la société. « Nos actifs sous gestion s’établissent désormais à 25,6 milliards d’euros au 31 août 2018 », a-t-il indiqué. Depuis le début de l’année, sa collecte nette ressort à 1,2 milliard d’euros. A elle seule, sa nouvelle équipe obligataire pilotée par Pascal Gilbert et François Collet, « a collecté 1,5 milliard d’euros », a indiqué Eric Franc. Le directeur général a également rappelé que Natixis IM avait porté sa part au capital de la société à 80%, rappelant que Natixis IM a pour objectif « d’avoir 100% de la société à horizon 2020 ».
Les sociétés de gestion françaises, qui ont répondu à l'étude de l'Association française de la gestion financière, gèrent pour le compte de leurs clients près d’un tiers de leurs actifs en prenant en compte des critères ESG.
Laurent Henrio a été recruté en tant que gérant de portefeuille pour accompagner la société dans son développement et sa diversification dans l’univers du crédit.
A l'occasion de la présentation du budget 2019, Bruno Le Maire a évoqué brièvement la réforme de la fiscalité des entreprises, Des aménagement développés aux articles 12 et 13 du projet de loi de Finances pour 2019
Le projet de loi de finances pour 2019 prévoit la modernisation et l'assouplissement du pacte Dutreil pour consolider les schémas de transmission d'entreprises
Les encours gérés par les sociétés de gestion de portefeuille en France se sont établis fin 2017 à 3.838 milliards d’euros, soit une nouvelle progression (4,5%) par rapport à 2016, selon des chiffres publiés ce matin sur le site de l’Autorité des marchés financiers (AMF). « Portée par des marchés boursiers favorables, un indice de volatilité et des taux directeurs historiquement bas, l’industrie de la gestion d’actifs française enregistre une hausse des actifs sous gestion poussée par la croissance des encours en gestion collective », note l’autorité de régulation.Avec un taux de croissance annuel moyen de 7,7% depuis 2013, le niveau d’encours gérés par les sociétés de gestion de portefeuille françaises a enregistré sur les quatre dernières années une progression totale de 34,6%. Ainsi, « après six années de période de trouble entre 2007 et 2013, marquées par un repli en 2008, suivi d’une période de stagnation du niveau des encours (taux de croissante totale sur six ans de 1,5% et annuel moyen de 0,24%), la phase actuelle de croissance du marché de la gestion d’actifs se rapproche de l’envolée de 2004-2007 avec une croissance totale de 38,6% sur les trois dernières années et une hausse annuelle moyenne de 11,5% », ajoute l’AMF. Cette croissance du volume d’encours gérés se justifie notamment par la hausse des encours de la gestion collective, qui progresse de 8,6% par rapport à 2016. « La proportion des encours de gestion collective ne cesse d’augmenter depuis ces quatre dernières années avec un taux de croissance annuel moyen de 3,7%. A fin 2017, la gestion collective représente ainsi 58,2% des encours totaux sous gestion. Les organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) ont vu leurs encours croître de 9,1% depuis l’exercice 2016 pour atteindre 1.138 milliards d’euros en 2017. Quant aux encours des fonds d’investissement alternatifs (FIA), eux aussi connaissent une hausse de 8,1% et s’établissent à 1. 094 milliards d’euros. « Notons que les encours des OPC de droit européen, gérés par les sociétés de gestion françaises, sont passés de 316 milliards d’euros en 2016 à 368 milliards d’euros en 2017, soit une hausse de 16,9% en 2017, souligne l’AMF. Cela témoigne ainsi d’une augmentation de l’utilisation des passeports européens. »Quant à la gestion sous mandat, elle représente 41,8% des encours totaux sous gestion. Cette proportion connaît une baisse depuis 2013 (-4,2% en moyenne par an). « Pour la première fois, depuis 2011, les encours en gestion sous mandat ont quant à eux légèrement reculé », observe le régulateur.Par ailleurs, l’AMF note une stabilisation du nombre de sociétés de gestion de portefeuilles agréées en France avec un stock de 630 à fin 2017. « Cette parfaite stabilité du nombre de sociétés de gestion de portefeuille s’explique à la fois par un maintien à un niveau très important du nombre de créations de sociétés (35, comme en 2016) et par un niveau historiquement élevé de retraits d’agréments (35 contre 32 en 2016, seule l’année 2015 ayant connu un nombre de retraits plus important avec 38 unités), confirmant le mouvement de consolidation de l’industrie amorcé en 2016 », explique l’AMF.Dans le détail, les créations de sociétés de gestion sont, une nouvelle fois, portées par le capital-investissement et l’immobilier qui représentent 66% des projets (23 sur 35) avec cependant un retour marqué des gestions sophistiquées (20%) portant sur des stratégies à fort prisme quantitatif notamment. Restent les gestions traditionnelles (gestion privée ou gestion collective classique) pour le complément (14%). « Les projets entrepreneuriaux demeurent cette année majoritaires (51% contre 60% en 2016), mais dans une moindre mesure compte tenu du nombre croissant de dossiers portés par des groupes, principalement financiers et immobiliers », évoque l’AMF. Enfin, « la tendance sur le 1er semestre 2018 semble confirmer le retour des gestions alternatives portées notamment par les évolutions technologiques et financières (ex : monnaies virtuelles) et par les relocalisations en France d’entités implantées au Royaume-Uni », poursuit le régulateur.En outre, « confirmant la tendance observée en 2016 », la consolidation du secteur s’est poursuivie et accélérée en 2017. Ainsi, « les retraits consécutifs à des rapprochements industriels ou des réorganisations de groupe représentent une part supérieure à 63% alors que ceux liés à un défaut d’activité ne concernent désormais plus que 7 dossiers (20% en 2017 contre 28% en 2016) », note l’AMF. L’impact législatif issu du changement de statut des sociétés de gestion a été significatif. Il a été à l’origine de 9 des 35 retraits d’agrément (par fusion, arrêt ou encore transformation en Entreprise d’Investissement pour l’une d’entre elles).Enfin, l’industrie française de la gestion d’actifs reste particulièrement dynamique en termes d’emploi et « continue d’offrir des opportunités professionnelles dans une conjoncture européenne un peu plus favorable malgré de nombreux prétextes aux incertitudes géopolitiques au cours de l’année 2017 », souligne le régulateur. Ainsi, avec un taux de croissance moyen annuel de 3,5% depuis 2013, les effectifs déclarés par les sociétés de gestion de portefeuille se sont établis à 17.214 personnes à fin 2017 contre 16.478 personnes à fin 2016 (+4,5% sur un an). « Cette croissance s’explique par l’augmentation marquée de personnels non gérants financiers (5,3% contre 2,1% pour les gérants financiers) », observe l’AMF. Ainsi, s’ils ne diminuent pas ou peu en nombre, la part des gérants financiers dans les effectifs totaux continue de baisser graduellement depuis 2013 (-6,6% sur les quatre dernières années) pour s’établir à 26% à fin 2017. « En effet, pour répondre aux exigences réglementaires plus nombreuses, on observe ces dernières années un accroissement des moyens humains dédiés aux métiers supports au sein des sociétés de gestion et principalement de ceux alloués à la fonction de contrôle interne et de conformité, notamment au sein des groupes de tailles significatives », précise le régulateur. Ce dernier note, par ailleurs, que la moitié (49,5%) des salariés du secteur et 40,3% des gérants sont concentrés au sein des 30 sociétés de gestion les plus importantes en termes d’effectifs alors que ces dernières représentent seulement 5% du nombre total des sociétés de gestion de portefeuille. « L’industrie de la gestion d’actifs tend ainsi vers une concentration de ses effectifs », précise l’AMF. Toutefois, un grand nombre (71,9%) de sociétés de gestion de portefeuille a un effectif inférieur à 20 personnes. « Ce sont pour la majorité des structures entrepreneuriales dont la plupart externalisent une part importante de leurs fonctions supports et se concentrent principalement sur leur cœur de métier (la gestion financière), ce qui explique une part plus élevée des gérants dans leurs effectifs (36% en moyenne) », indique l’AMF.
Le ministère de l’Économie et des Finances a présenté ce matin à la presse le projet de loi finances pour 2019. Cet après-midi les ministres s'exprimeront devant les médias audiovisuels à l’Assemblée nationale.,
Un rapport sur le thème de la protection juridique des personnes vulnérables a été remis aux ministres de la Justice et de la Santé. , Il souhaite que soit supprimé le régime de la tutelle, au profit de la création d'une mesure unique de protection.
Spécialiste du private equity et des infrastructures, la société Omnes annonce le lancement avec LCL Banque Privée d’une troisième génération de fonds ouverte aux particuliers qui souhaitent investir dans les sociétés françaises non cotées. Il s’agit de deux fonds, un FCPR LCL PME Expansion 3, et un FPCI, LCL Expansion 3. Ces fonds investiront au capital de PME françaises non cotées lors d’opérations de capital développement et transmission. Par ailleurs, ils conservent la stratégie des millésimes précédents - ayant conduit à 14 cessions réalisées avec un multiple de 2.4x et un TRI brut de 15 % - dans le cadre d’opérations de capital développement et transmission majoritaires ou minoritaires sur des PME françaises leaders sur leur marché, affichant des perspectives de croissance. D’une durée de 10 ans, ces fonds, ouverts aux clients de LCL Banque Privée et de LCL Gestion de Fortune, visent à délivrer une performance équivalente à celle des fonds traditionnellement dédiés aux investisseurs professionnels, indique un communiqué.