
«Il y a une vraie inconnue sur les millésimes à venir de private equity»
Présent le 21 septembre aux Cercles de L’Agefi à Aix-en-Provence, Henri Grellois, associé chez Octave Family et administrateur de l’Affo juge évident l’attrait du private equity pour ses clients chefs d’entreprises. A condition de se montrer sélectif compte tenu, notamment, du niveau atteint par les valorisations.
Rédacteur en chef L'Agefi Patrimoine/Gestion Privée
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Strasbourg - Le Rassemblement national ne veut pas censurer immédiatement le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, mais attend une «rupture» avec la politique menée jusqu’ici, a expliqué son président Jordan Bardella mercredi à Strasbourg. Le parti d’extrême droite ne compte pas censurer «a priori» mais d’abord «écouter le discours de politique générale» de M. Lecornu, a déclaré M. Bardella lors d’un point presse en marge d’une session plénière du Parlement européen. «Soit il y a rupture, soit il y aura censure», a-t-il résumé. Le Rassemblement national réclame notamment un durcissement de la politique migratoire et s’oppose à toute hausse de la fiscalité pour la «France qui travaille», a-t-il souligné. Jordan Bardella a aussi réclamé que parmi les premières mesures de Sébastien Lecornu soit actée l’opposition de la France au traité de libre-échange avec les pays latino-américains du Mercosur. Après la chute de François Bayrou lundi lors d’un vote de confiance des députés, puis son remplacement à Matignon au bout de 24 heures par M. Lecornu, le chef du RN n’a toutefois «aucune illusion» et juge le bail du nouveau chef du gouvernement «très précaire». © Agence France-Presse