
L’Agefi se renforce et se transforme… pour vous

L’ambition de L’Agefi a toujours été de proposer à ses abonnés le service d’information professionnel le plus efficace, au plus près de leurs modes de consommation. En 2005, nous avions été précurseurs en choisissant d’abandonner le papier pour notre quotidien au profit de l’électronique, et de lancer un magazine hebdomadaire. Parce que vos usages ont changé, parce le rythme de consommation de l’information s’est accéléré et déplacé vers le temps réel, aujourd’hui L’Agefi transforme et renforce ses offres.
Le site agefi.fr fait peau neuve. Plus clair, plus lisible sur mobile, mis à jour en continu tout au long de la journée, il constitue désormais votre point d’entrée unique vers nos différentes publications. Chaque matin, vous y retrouverez directement votre quotidien électronique, «Le 7h». A 14 heures, une newsletter vous donnera un aperçu de l’essentiel de l’actualité à la mi-journée et de l’évolution des marchés financiers. A 18 heures, un nouveau rendez-vous, le Décryptage, vous permettra de prendre du recul sur le fait marquant du jour.
Chaque vendredi, la rédaction vous présentera aussi son «Grand angle», un dossier digital donnant une vision 360 d’une thématique économique et financière. Cette semaine, nous vous expliquerons pourquoi, de TotalEnergies à BNP Paribas, la loi sur le devoir de vigilance place les grandes entreprises dans une situation si inconfortable.
Nous lançons enfin, dès ce 6 mars, deux nouvelles offres éditoriales sur abonnement. La première, L’Agefi Private Equity s’adresse à l’écosystème du capital investissement et du non-coté. La deuxième, L’Agefi Cash & Risk, est destinée aux trésoriers d’entreprise, aux directions financières et aux professionnels du cash management. Vous les retrouverez sur agefi.fr aux côtés de deux autres publications spécialisées bien connues des professionnels de la gestion d’actifs, L’Agefi Asset Management et L’Agefi Investisseurs Institutionnels, les nouveaux noms de nos offres Newsmanagers et Instit Invest.
D’autres surprises se nichent dans notre site. Comme ETF Live, un espace dédié aux produits indiciels cotés qui associera nos articles à la richesse de l’outil technologique de notre partenaire Trackinsight sur la performance des ETF européens. A vous de les découvrir et de nous faire part de vos réactions, afin que L’Agefi, plus que jamais, se montre à la hauteur de la confiance que vous lui accordez.
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La Havane - Une nouvelle panne générale d'électricité touche Cuba mercredi, la cinquième en moins d’un an sur l'île, qui fragilise l’activité économique du pays et met à rude épreuve la vie quotidienne des habitants. «Il y a eu une déconnexion totale du système électrique qui pourrait être liée à une panne inattendue» de la centrale électrique Antonio Guiteras, située au centre de l'île, a indiqué le ministère de l'Énergie et des Mines sur son compte X. Les autorités ont précisé par la suite que la panne, qui s’est produite aux alentours de 09H15 locales (13H15 GMT), était due à un signal erroné de surchauffe dans la chaudière de la centrale électrique, la plus importante du pays, ce qui a provoqué son arrêt et l’effondrement de l’ensemble du réseau. Le Premier ministre, Manuel Marrero Cruz, a assuré sur X que le pays avait «une stratégie bien définie» pour rétablir l'électricité «dans les plus brefs délais». Depuis octobre 2024, l'île communiste de 9,7 millions d’habitants a déjà subi quatre pannes généralisées, dont certaines ont duré plusieurs jours. Dans les rues de la capitale, de rares feux de signalisation fonctionnent, récemment équipés de panneaux solaires, tandis que de nombreuses personnes ont regagné leur domicile pour tenter de se préparer à l'éventualité d’une panne prolongée. «A nouveau, une journée de perdue ! Agonie et tristesse et pour certains désespoir», déplore auprès de l’AFP Alina Gutiérrez, 62 ans, qui a appris la nouvelle de la panne alors qu’elle faisait des achats sur un marché de fruits et légumes dans un quartier central de La Havane. Elle se hâte maintenant de rentrer chez elle, pour «prendre toute l’eau possible» de réserve et «attendre pour voir combien de temps cela va durer», alors que de nombreux immeubles dans la capitale sont alimentés en eau grâce à des pompes électriques. Dimanche, cinq des quinze provinces de l'île avaient déjà été plongées plusieurs heures dans l’obscurité en raison d’une panne sur une ligne du réseau électrique. «Dépense importante» Outre les grands hôtels et certains hôpitaux, dotés de groupes électrogènes, de plus en plus de familles et de propriétaires de petits commerces privés ont acquis de petits générateurs électriques pour pallier les pannes et délestages toujours plus fréquents. Mercredi, dans les quartiers les plus aisés de La Havane, le ronronnement de générateurs est continu, mais les coupures fragilisent notamment les petits commerces privés, qui ont fleuri depuis leur autorisation en 2021. «Cela nous affecte beaucoup», explique à l’AFP Odette Leon, 34 ans, propriétaire d’une pâtisserie dans l’ouest de la capitale. «Nous avons un générateur, mais cela entraîne une dépense plus importante parce qu’il faut du carburant, qui en ce moment n’est pas très facile à trouver», explique-t-elle, en demandant à ses employés d’annuler les commandes jusqu'à nouvel ordre. Cuba est en proie depuis cinq ans à une profonde crise économique, avec un manque cruel de devises, et le système électrique vétuste souffre d’avaries fréquentes et de pénuries de combustible. Les huit centrales électriques du pays ont presque toutes été inaugurées dans les années 1980 et 1990. Elles tombent régulièrement en panne ou doivent être arrêtées pour de longues semaines de maintenance. Deux centrales flottantes louées à une entreprise turque et des générateurs, qui complètent le réseau énergétique, sont alimentés par des combustibles que Cuba importe difficilement. L’installation récente de trente parcs photovoltaïques, soutenue par la Chine, sur les 52 prévus pour cette année, n’a pas permis pour l’heure de faire diminuer les coupures. Pendant l'été, alors que la consommation atteint des pics en raison des températures élevées, les délestages se sont multipliés. Selon les autorités, ces coupures programmées ont duré en moyenne près de quinze heures par jour en août et seize heures en juillet, dans tout le pays. Cuba traverse sa pire crise économique depuis trois décennies. Outre les coupures d'électricité, les habitants souffrent de pénuries en tous genres et d’une forte inflation. Aux faiblesses structurelles de son économie planifiée et centralisée s’ajoutent l'échec d’une réforme monétaire récente et un renforcement de l’embargo américain, en vigueur depuis 1962. Jordane BERTRAND © Agence France-Presse -
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