Le Conseil des gouverneurs n’a pas pu avoir un vote unanime sur sa première baisse de taux. L'Autrichien Robert Holzmann s’y est opposé à cause de la hausse des projections d’inflation.
Cette composante de la performance des actions sur le long terme pourrait retrouver ses lettres de noblesse à la faveur du changement de paradigme sur les taux.
La situation pourrait finir par peser sur la consommation aux Etats-Unis si elle se généralisait à toutes les catégories d’emprunteurs. Le risque des banques semble encore très circonscrit.
Le prix du blé a atteint des sommets, certains pays ayant baissé leur production à cause de conditions météorologiques défavorables. Ces difficultés devraient cependant n'être que temporaires.
La Banque centrale européenne commence à assouplir sa politique monétaire, en abaissant son taux de dépôts à 3,75%. Mais elle refuse de s'engager sur une trajectoire de baisse, alors qu'elle vient de relever sa prévision d'inflation pour 2024 et 2025.
Une tribune de Koen De Leus & Philippe Gijsels, chef économiste et chef stratégiste de BNP Paribas Fortis et auteurs de l'ouvrage «Les Cinq Tendances de la Nouvelle Economie Mondiale».
L’indice PMI composite s’est encore amélioré, grâce au secteur des services qui compense le ralentissement dans l’industrie, pour le troisième mois consécutif au-dessus de 50.
Actions et pétrole américains ont connu quatre séances chaotiques depuis la révision du PIB jeudi 30 mai. Ces publications auraient été accueillies positivement il y a quelques semaines.
Alors que les places boursières marquent le pas, du fait de valorisations tendues et d’indicateurs économiques décevants, les dividendes et les rachats d’actions pourraient servir de soutien sur la deuxième partie de l’année. Le rendement joue également un rôle important dans le crédit.
La fuite en avant guette la dette publique des Etats-Unis. Le déficit moyen au cours des 30 années à venir serait presque deux fois plus élevé que celui des 50 dernières années, relève Julien Marcilly, chef économiste chez Global Sovereign Advisory.
Promis à une victoire écrasante par les sondages, le camp du Premier ministre Narendra Modi enregistre des résultats moins bons que prévu selon les premiers décomptes.
Le consensus estime que l'institution de Francfort fera une pause dès juillet, et procédera ensuite à des baisses trimestrielles, à l’occasion de ses projections économiques.
Les investisseurs semblent confiants quant à une victoire massive du camp nationaliste, mené par le Premier ministre sortant, lors des élections législatives.
Le marché du haut rendement européen bat les obligations en dollar, avec un univers d’émetteurs de meilleure qualité et malgré une augmentation des dossiers en restructuration.
Les places boursières ont effacé la correction d’avril, enregistrant de nouveaux records des deux côtés de l’Atlantique. Mais le rallye a calé en fin de mois avec la crainte d’une inflation encore persistante et des taux élevés plus longtemps.
La représentante de la coalition Morena, de l’actuel président Andres Manuel Lopez Obrador, a gagné largement l’élection et pourrait bénéficier d’une majorité des deux tiers lui permettant de passer des réformes constitutionnelles.
Les stocks européens restent très confortables, mais le marché s’est inquiété lundi matin de pannes en Norvège en même temps que de prévisions météorologiques qui font craindre d’importants besoins simultanés en Europe et en Asie.
Les gérants interrogés par L'Agefi anticipent une progression de 5,3% de l’Euro Stoxx 50 et de 4,9% du CAC 40 dans un an, contre une hausse attendue de 3,5% du S&P 500 et du Nikkei.
Le Panel Allocation consacre la moitié de son portefeuille aux actions pour le deuxième mois consécutif. Cash et actifs alternatifs restent délaissés par les gestions.