Le PIB est resté inchangé en avril par rapport à mars en raison de la météo défavorable. Les économistes continuent d’anticiper une poursuite de la reprise. Mais ces chiffres ne sont pas bons pour le gouvernement avant les élections.
Après deux séances compliquées pour les marchés européens et français en raison de l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale, les rendements souverains reculent et la Bourse de Paris rebondit alors que les valeurs bancaires profitent d’un coup de pouce de Jefferies.
Après la publication des rapports Noyer et Letta au cours du premier semestre 2024, la relance de l'UMC était l'une des thématiques phares du Paris Finance Forum ce mardi.
Les assureurs et réassureurs ont des besoins toujours plus grands de réassurance via les «cat bonds», au-delà même d’un risque élevé attendu en lien avec une saison des ouragans qui pourrait être inhabituellement active.
Cette révision à la baisse de la croissance française pour 2025 et 2026 est notamment due à la prise en compte d’une hausse des prix de l’énergie et aux mesures supplémentaires de consolidation budgétaire de la part du gouvernement.
Devant l’absence de problèmes opérationnels majeurs, l’industrie a salué la transition des marchés d’actions et d’obligations américains vers un processus de règlement-livraison des titres à un jour, soit «T+1», au lieu de deux. Les coûts et conséquences à plus long terme restent sous surveillance.
Le spread a atteint 63 point de base, son plus haut niveau de l'année. Les élections législatives anticipées représentent un risque pour l'assainissement budgétaire du pays et sa note de crédit, estime de son côté Moody's.
La résilience de l’économie a permis de contenir les défaillances d’entreprises mais le mur de dette qui se profile risque de changer la donne avec des taux durablement plus élevés.
La réunion du Comité de politique monétaire n’en sera pas moins suivie, car les gouverneurs mettront à jour leurs projections d’inflation et de taux, qui devraient donner la direction sur de possibles baisses de taux en 2024.
Les actions, les taux et l’euro ont vivement réagi à la dissolution de l’Assemblée nationale en France. Une victoire du RN ou un blocage politique risqueraient de peser sur la trajectoire budgétaire. La volatilité devrait certes rester élevée pendant la campagne électorale, mais la crainte d’un dérapage demeure limitée à ce stade.
Le budget 2025 s'annonce extrêmement compliqué pour la nouvelle majorité qui sortira des urnes. Avec le risque de se retrouver avec une charge d'intérêt insoutenable.
La décision du président de la République, Emmanuel Macron, de dissoudre l’Assemblée nationale inquiète les marchés. Le spread OAT-Bund se tend et les valeurs bancaires sont à la peine.
Le président de la République Emmanuel Macron a annoncé la dissolution de l’Assemblée nationale après la large victoire du RN aux élections européennes, avec un scrutin le 30 juin et le 7 juillet. Les marchés financiers, qui n’aiment pas l’incertitude, ne vont pas manquer de réagir.
L’un des critères clés de la bonne tenue de ce segment du marché, historiquement décoté, est la baisse des taux, alors que la reprise économique se confirme en Europe.
Contrairement à la BCE, qui vient d'annoncer une baisse de ses taux directeurs, la banque centrale américaine devrait maintenir les siens inchangés mercredi.
Jusqu’à présent, la reprise du marché s’est concentrée sur les actions d’entreprises de grande capitalisation, à forte croissance et liées à la technologie. Mais les investisseurs pourraient envisager d’autres opportunités d’exposition aux actions américaines afin de participer à un probable élargissement de la reprise, dans un contexte d’atterrissage en douceur.
L’économie américaine a créé 272.000 emplois en mai, largement plus que prévu, avec des hausses de salaires toujours élevées. La progression du chômage n’y change rien. La Fed restera patiente et focalisée sur l’inflation. Les rendements américains se tendent.
Notre approche d’investissement climat 2.0 vise donc à générer impact concret pour la décarbonation de notre planète tout en cherchant à délivrer des rendements positifs pour les investisseurs.
Le ralentissement de l’activité dans la construction a pesé sur la production industrielle. La banque centrale a légèrement réduit ses prévisions de croissance et haussé celles d’inflation.
La croissance des exportations a dépassé les attentes le mois dernier en Chine avec néanmoins un ralentissement du rythme des importations suggérant une faiblesse de la demande intérieure.