Attirée depuis toujours par les voyages et l’étranger, Stéphanie a passé plus de vingt ans à Londres où elle a pu couvrir les affres de la crise financière et les interminables soubresauts du Brexit. Loin des gratte-ciels de Canary Wharf et de la City, elle suit désormais l’actualité économique et financière de l’Espagne et plus largement du sud de l’Europe depuis Madrid.
La troisième banque italienne a relevé son offre sur le gérant Anima et revu à la hausse les objectifs de son plan triennal tout en se montrant très généreuse envers ses actionnaires.
Engagé dans des opérations de croissance externe avec Commerzbank et Banco BPM, le numéro deux bancaire italien a annoncé avoir dépassé le seuil de 5% dans Generali.
Lors de la présentation des résultats annuels de Monte dei Paschi, son directeur général a répondu aux critiques sur la pertinence de l’offre sur la banque d’affaires milanaise.
L’impact de la géopolitique sur certaines classes d’actifs et sur la construction de portefeuille conduit les gérants à multiplier les sources d’information. En interne comme en externe.
La banque d’affaires milanaise estime que l’offre de sa concurrente ne repose sur aucune justification financière, ni industrielle. Elle s’inquiète du poids disproportionné de Delfin et de l’entrepreneur Francesco Gaetano Caltagirone au détriment des autres actionnaires.
Monte dei Paschi propose un mariage à Mediobanca via une offre publique d’échange. L’opération, destinée à créer un troisième champion national derrière Intesa Sanpaolo et Unicredit, ne parvient pas à convaincre.
Le numéro un domestique bancaire espagnol décompte 250.000 opérations depuis le lancement commercial de ses activités de Request to Pay (RTP). Carrefour est l’un de ses clients.