Automobile, mines, semi-conducteurs, luxe : le marché a la main lourde et sanctionne durement les nombreuses annonces d'alerte ou les publications décevantes de plusieurs ténors de la cote.
Seuls les rachats d'actions suivis d’une annulation de ces titres sont dans le viseur. Les entreprises réalisant plus d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires hors taxes et ayant leur siège social dans l’Hexagone sont concernées.
Surcharge de l’impôt sur les sociétés, taxe sur les rachats d’actions, rabotage du crédit impôt recherche, fiscalité spécifique : pour les grandes entreprises françaises, la potion fiscale concoctée par Bercy s’annonce amère.
La foncière a annoncé la vente de ses parts dans un centre commercial en Allemagne. Elle a désormais sécurisé pour près de 600 millions d'euros de cessions d'actifs pour l'année 2024.