Toute l’actualité économique de la zone euro (PMI, inflation, croissance, chômage, confiance des ménages, dépenses) et de ses principaux membres (Allemagne, Espagne, France, Italie).
Les autorités européennes et la Banque Centrale Européenne (BCE) souhaitent introduire de nouvelles obligations de publication d’information liées au changement climatique pour les produits structurés.
Une enquête de la Banque centrale européenne montre que les consommateurs anticipent une inflation à 12 mois de 4,9% et des salaires en hausse de 1,3%.
L’indice des prix à la consommation a reculé moins que prévu en février dans le bloc monétaire. Les investisseurs s’attendent à plus de hausses de taux de la banque centrale.
L’indicateur du climat économique dans la zone euro a légèrement baissé à 99,7 en février, contre 99,8 en janvier, son niveau le plus élevé en sept mois. Le sentiment s’est affaibli chez les fabricants (0,5 contre 1,2 en janvier) et les prestataires de services (9,5 contre 10,4) mais s’est amélioré chez les commerçants (-0,1 contre -0,7), les consommateurs (-19 contre -20,7) et les constructeurs (1,8 contre 1,4). Sur le front des prix, l’indice des anticipations d’inflation chez les consommateurs a légèrement reculé, passant de 17,8 à 17,7, son plus bas niveau depuis près de deux ans, tandis que l’indicateur des anticipations de prix de vente chez les constructeurs a diminué à 23,8, au plus bas depuis le premier semestre 2021.
L’indicateur du climat économique dans la zone euro a légèrement baissé à 99,7 en février, contre 99,8 en janvier, son niveau le plus élevé en sept mois. Le sentiment s’est affaibli chez les fabricants (0,5 contre 1,2 en janvier) et les prestataires de services (9,5 contre 10,4) mais s’est amélioré chez les commerçants (-0,1 contre -0,7), les consommateurs (-19 contre -20,7) et les constructeurs (1,8 contre 1,4). Sur le front des prix, l’indice des anticipations d’inflation chez les consommateurs a légèrement reculé, passant de 17,8 à 17,7, son plus bas niveau depuis près de deux ans, tandis que l’indicateur des anticipations de prix de vente chez les constructeurs a diminué à 23,8, également son plus bas niveau depuis le premier semestre 2021.
L’économie allemande s’est contractée plus que prévu au cours des trois derniers mois de 2022, montrent les statistiques détaillées publiées vendredi par Destatis, sous l’effet de l’inflation et de la crise de l’énergie sur la consommation des ménages et les investissements. Le PIB a reculé de 0,4% au quatrième trimestre, alors que les données préliminaires indiquaient fin janvier une contraction de 0,2%. Au troisième trimestre, l’Allemagne avait enregistré une croissance de 0,5%. Tout indique que «l’économie allemande va se contracter à nouveau au premier trimestre», a déclaré Carsten Brzeski, responsable mondial de la macroéconomie chez ING. En glissement annuel, l’économie a progressé de 0,9%, moins que le 1,1% annoncé en première estimation. Mais cela ne change pas la croissance moyenne du PIB, à 1,9% sur l’année 2022.
L’économie allemande s’est finalement contractée plus que prévu au cours des trois derniers mois de 2022, montrent les statistiques détaillées publiées vendredi par Destatis, sous l’effet de l’inflation et de la crise de l’énergie sur la consommation des ménages et les investissements. Le PIB a reculé de 0,4% au quatrième trimestre alors que les données préliminaires de l’institut statistique indiquaient fin janvier une contraction de 0,2%. Au troisième trimestre, l’Allemagne avait enregistré une croissance de 0,5%.
L’inflation a été légèrement plus forte qu’estimé initialement en janvier en zone euro, selon les chiffres définitifs publiés jeudi par Eurostat. Mais l’inflation sous-jacente continue à monter.
Le climat des affaires s’est amélioré en février en Allemagne, montre l’enquête mensuelle de l’institut d’études économiques Ifo publiée mercredi. L’indice du climat des affaires est cependant ressorti légèrement au-dessous des attentes, à 91,1, les économistes interrogés par Reuters prévoyant un chiffre de 91,2. Le chiffre du mois précédent a été révisé de 90,2 à 90,1. C’est un nouveau signe – léger – de résistance de la première économie d’Europe malgré la crise de l’énergie et une inflation élevée. Concernant les prévisions de PIB de l’Allemagne, Klaus Wohlrabe, économiste à l’Ifo, a estimé que le pays n’échapperait quand même pas à une récession cette année, mais que celle-ci serait modérée. Le PIB allemand s’est contracté de 0,2% au quatrième trimestre.
La hausse des prix à la consommation en Allemagne, calculée aux normes européennes (HICP), a bien atteint 9,2% sur un an en janvier, après une augmentation de 9,6% en décembre, a annoncé mercredi Destatis, confirmant sa première estimation. Les économistes tablaient plutôt sur 10% en rythme annuel. Le 1er février, l’office de statistiques allemand n’avait pu publier ces données à temps à cause d’un problème technique pour qu’Eurostat puisse fournir une estimation fiable pour la zone euro : l’institut européen avait pris une hypothèse d’inflation allemande autour de 8,5% sur un an, et devrait donc réviser son chiffre définitif assez nettement en hausse jeudi.
L’inflation annuelle des prix à la consommation est tombée à 10% en janvier en Italie, après 11,6% en décembre, une baisse par rapport à l’estimation préliminaire (10,1%) et surtout par rapport au sommet de 37 ans de 11,8% en octobre. L’indice CPI italien a quand même progressé de 0,1% en rythme mensuel en janvier (après 0,3% en décembre). L’Istat attribue la réduction à l’effet de base sur les prix de l’énergie régulés, dont l’évolution annuelle est passée de +70,9% à -12% en un mois, et dans une moindre mesure sur les prix de l’énergie non régulés (+59,3% en janvier après +63,3% en décembre). L’inflation a également ralenti pour les aliments non transformés (+8% après +9,5%) et les services récréatifs (+5,5% après +6,2%).
L’inflation annuelle des prix à la consommation est tombée à 10% en janvier en Italie, après 11,6% en décembre, une baisse par rapport à l’estimation préliminaire (10,1%) et surtout par rapport au sommet de 37 ans de 11,8% en octobre. L’indice CPI italien a quand même progressé de 0,1% en rythme mensuel en janvier (après 0,3% en décembre).