Toute l’actualité de l’Union européenne (élections, lois, réglementations) et l’impact des décisions de la Commission européenne, du Parlement ou du Conseil sur l'économie, les marchés et l'écosystème financier.
Le Président du gouvernement espagnol a décidé de rester au pouvoir en invitant ses compatriotes à entamer une réflexion collective sur la polarisation de la vie politique.
Remis ce jeudi à Bercy, le rapport Noyer pour la relance de l'Union des marchés de capitaux en Europe mérite mieux que d'aller garnir l'armoire des occasions manquées. L'éditorial d'Alexandre Garabedian, directeur de la rédaction.
Les émissions pourraient cependant se tasser un peu, maintenant que les banques sont entrées dans une phase de refinancement, et non plus de construction, du ratio minimal de fonds propres MREL.
Le rapport Noyer sur la relance de l’Union des marchés de capitaux, présenté jeudi, devrait reprendre à son compte la création d'un produit d’épargne commun, voulue par Bruno Le Maire. Problème : la tentative précédente s’est soldée par un échec retentissant.
Notation ESG, Solvabilité 2, antiblanchiment… Un nombre record de réformes sera soumis au vote des eurodéputés de mardi à jeudi, lors de la dernière session du Parlement européen avant les élections de juin.
Pour les Vingt-Sept, réunis jeudi à Bruxelles, le besoin d’orienter l’épargne des Européens vers l’industrie verte et la défense fait consensus. Place à l'«Union de l'épargne et de l'investissement».
Selon Georges de Thieulloy, managing director FTI Consulting, il importe d'analyser les effets en cascade sur la trésorerie des entreprises avant de lancer la réforme.
La Fédération bancaire européenne veut revoir le mandat des autorités de supervision pour y introduire la notion de compétitivité. Elle compte aussi sur le tandem franco-allemand pour pousser la relance de la titrisation auprès de la future Commission.
Devoir de vigilance, protection de la biodiversité, produits agricoles ukrainiens… Voilà plusieurs mois que l’UE peine à faire aboutir des projets législatifs, remis en cause sur le fil par les Etats membres. De quoi inquiéter, à plus long terme, sur la viabilité de la machine à réformer de l’UE ? Tentative de réponse.
Le 8 avril, la restauration de la compétitivité des entreprises européennes sera au menu de la 3e édition des rencontres tripartites entre la France, l'Allemagne et l'Italie.
L’ampleur du déficit public français en 2023 (5,5% du PIB) promet de faire des remous jusqu’à Bruxelles, où le Pacte de stabilité européen est en passe d’être réactivé, dans une version réformée. A quel traitement doit s’attendre l’Hexagone, lui qui fait désormais partie du groupe restreint des très mauvais élèves en Europe ?
Le directeur général du constructeur français a publié une lettre dans laquelle il demande aux Européens de réagir face à la concurrence américaine et chinoise.
Malgré l’absence de budget cette année, Moody’s a amélioré la perspective de l’Espagne tandis que S&P évoque sa résistance économique face aux fragilités politiques.
Vendredi, les Etats membres de l’UE ont finalement approuvé la directive qui oblige les grandes entreprises à combattre les atteintes aux droits humains et à l’environnement sur toute leur chaîne d’activité. Un compromis arraché en évidant une partie du texte.
Le candidat républicain veut porter à 60% les tarifs douaniers pour les biens chinois et mettre en place des droits universels de 10%. Avec un impact non négligeable sur la croissance et l’inflation.
Les Etats membres multiplient les pistes pour le prochain mandat européen en vue de donner un second souffle à ce projet lancé en 2015, mais qui peine à se matérialiser depuis. Les observateurs restent néanmoins dubitatifs.
La Fédération bancaire française a préparé un cahier de doléances pour la future Commission européenne, rendu public le 5 mars. Elle appelle à préserver la compétitivité du secteur et à favoriser la libre circulation des capitaux.
L'UE est engagée dans une course contre-la-montre pour sceller un maximum de réformes avant les élections européennes. La crainte est de voir le prochain Parlement remettre en cause les projets qui n’auraient pas abouti à temps, comme le Green deal, le devoir de vigilance, ou la notation ESG. Le temps pourrait finir par manquer. Explications.