Nos articles d’actualité et d’analyse sur l'économie britannique (croissance, politique monétaire, marchés financiers, variation du yen…), son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières dans un contexte encore marqué par le brexit.
Keir Starmer a finalement soutenu publiquement sa ministre des finances Rachel Reeves, ce qui réduit la pression sur les taux britanniques et permet à la livre sterling et aux actions de se reprendre. Mais la situation budgétaire reste difficile.
L’écart de rendement de la dette italienne avec la référence allemande a basculé sous 100 points de base sur le thème de la convergence des fondamentaux et des ratings. La prime de risque avec la France pourrait encore se resserrer dans les prochains mois.
Les rendements des emprunts d'Etat britanniques ont bondi mercredi, rappelant l’épisode du krach d’octobre 2022. L’absence de soutien du premier ministre Keir Starmer à sa ministre des finances Rachel Reeves a provoqué une correction, les marchés craignant une politique budgétaire moins orthodoxe.
Le géant pharmaceutique, première capitalisation britannique, envisage de transférer son lieu de cotation aux Etats-Unis. Un déplacement du siège social serait également à l’étude.
Invité au Forum des banquiers centraux de Sintra, le président de la Fed Jerome Powell a appelé à attendre de voir les effets des droits de douane avant de prendre des décisions, repoussant potentiellement un peu plus loin la première baisse de taux américains. Ses homologues des grandes banques centrales ont également mis en exergue la gestion des risques inhérente à leur fonction.
L’énergéticien britannique s’apprête à prendre une participation de 15% dans ce projet d’EPR pour lequel Londres s’est engagé à investir 17,8 milliards de livres.
Les prix à la consommation ont augmenté de 3,4% en rythme annuel en mai au Royaume-Uni, confirmant que la hausse supérieure aux attentes de 3,5% constatée en avril n'était que passagère.
Les droits de douane et les mesures fiscales ont affecté l’activité en avril au Royaume-Uni, avec une contraction nettement plus forte que prévu et la pire depuis octobre 2023.
L’institution va augmenter de 40% le montant de ses apports de liquidité hebdomadaires à long terme. Une décision dans le cadre de l’ajustement de son bilan.
La hausse des prix au Royaume-Uni atteint 3,5% en avril après 2,6% en mars. C’est davantage que ce que prévoyait le consensus et cela pourrait contrarier la politique de baisse de taux de la Banque d’Angleterre.
L’accord américain avec le Royaume-Uni jeudi, le premier depuis le Liberation Day du 2 avril, a ravivé l’espoir des marchés autour des droits de douane imposés par les Etats-Unis. A Genève, Washington rencontrait Pékin ce week-end. La Maison-Blanche annonce un «accord», mais n'en donne pas les détails.
L’inflation a diminué au Royaume-Uni, contre toute attente, en mars, à 2,6% sur un an, au plus bas depuis trois mois. Même si elle devrait rebondir, la banque d'Angleterre devrait baisser ses taux lors de sa prochaine réunion en mai.
Le marché du travail britannique accuse le coup avant la hausse des cotisations sociales en avril. Et même si les salaires continuent de progresser en rythme annuel, la Banque d’Angleterre devrait baisser ses taux en mai.
Londres s’apprête à nationaliser British Steel, repris en 2020 par le chinois Jingye, en vue de préserver 3.500 emplois et la souveraineté industrielle du pays.