Nos articles d’actualité et d’analyse sur l'économie britannique (croissance, politique monétaire, marchés financiers, variation du yen…), son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières dans un contexte encore marqué par le brexit.
La société de gestion immobilière a annoncé cet été le lancement de Remake UK. Il s'agit du premier véhicule de sa gamme de fonds millésimés thématiques à durée déterminée. Le co-fondateur de Remake AM, David Seksig, a été interrogé dans Patrimoine Online.
Le gouvernement a moins emprunté que prévu en juillet pour financer le déficit public. Cette bouffée d’air sera de courte durée pour la ministre des finances britannique Rachel Reeves qui doit trouver plus de 20 milliards de livres d’économies d’ici à octobre.
Les prix à la consommation ont augmenté en juillet au rythme le plus élevé depuis un an et demi au Royaume-Uni. Cette inflation persistante, notamment dans les services, devrait se poursuivre, réduisant la marge de la Banque d’Angleterre pour baisser ses taux.
La croissance économique s’est établie à 0,3% au Royaume-Uni, après 0,7% au premier trimestre, grâce en grande partie aux dépenses publiques. De quoi compliquer la tâche de la banque centrale.
Le marché du travail britannique semble se stabiliser après six mois de recul. La progression des salaires reste soutenue. De quoi compliquer la tâche d’une banque centrale très partagée.
La réduction du bilan de la Banque d’Angleterre a un impact modeste sur la prime de terme des gilts mais, combinée à une baisse de la demande de titres long terme et à une hausse des émissions, cela peut peser sur la liquidité. Un ajustement du «Quantitative Tightening» aura lieu en septembre.
La décision, attendue, de baisser le taux directeur à 4%, a été plus débattue que prévu, nécessitant un deuxième vote pour départager le comité de politique monétaire. Après cette réunion «hawkish», marquée par les craintes sur l’inflation, le marché a fortement revu ses prévisions sur les taux.
Des indicateurs économiques plus faibles, notamment sur le marché du travail, permettront à la BoE de réduire à nouveau ses taux ce jeudi, malgré une inflation élevée et persistante.
Deux jours après que la Cour suprême britannique a rendu des jugements divergents sur des dossiers individuels, mais globalement favorables aux banques, le régulateur britannique lance une consultation destinée à trouver un dispositif d’indemnisation de place.
La banque publie un résultat d’exploitation de 3,6 milliards de livres sterling en progression de 18% sur un an, et confirme des rachats d’actions alors que son cours de Bourse est déjà en très forte hausse sur un an.
Entre une croissance faible et les pressions du parti travailliste pour ne pas réduire les dépenses sociales, la chancelière de l’Echiquier Rachel Reeves peine à faire respecter outre-Manche les règles budgétaires importantes pour les marchés financiers.
Le remplacement de l’Ofwat par un nouveau régulateur aux pouvoirs plus étendus sera néanmoins insuffisant pour permettre à Thames Water de sortir de l’ornière.
La croissance annuelle des salaires a ralenti à 5% en moyenne sur les trois mois à fin mai outre-Manche. Les pertes d’emplois sont moins alarmantes que prévu malgré une remontée du chômage de 4,6% à 4,7%. Une bonne nouvelle pour la Banque d'Angleterre.
L'opérateur satellitaire compte désormais collecter 1,5 milliard d'euros après que le gouvernement britannique, déjà présent au capital, a dévoilé son intention de participer à hauteur de 163 millions d'euros.
Les risques n’ont pas disparu, notamment sur les marchés de dettes souveraines, malgré l’apaisement relatif des tensions sur les tarifs douaniers américains.
Si aucun accord n’était trouvé, les «tariffs» annoncés lors du «Liberation Day» pourraient ne s’appliquer qu'à partir du 1er août, et non plus le 9 juillet. Mais l’incertitude prolongée finira par coûter aux Etats-Unis et au commerce mondial.
Les sociétés de gestion et les banques interrogées par L’Agefi ont fortement remonté leurs anticipations sur l’euro-dollar. Elles ont en revanche peu touché à leurs prévisions de taux au cours du mois de juin.