Nos articles d’actualité et d’analyse sur les principaux programmes de rachats d’actions mis en œuvre par les entreprises cotées ainsi que sur les grandes dynamiques de cette pratique qui permet de rémunérer les actionnaires en réduisant le nombre de titres composant le capital d’une société.
Le groupe de luxe a annoncé hier le lancement d’un programme de rachat d’actions sur 12 mois portant sur un maximum de 1% de son capital social. Kering précise avoir confié à un prestataire un contrat d’achat d’actions portant sur une première tranche d’un montant maximum de 300 millions d’euros à un cours n’excédant pas 480 euros. Les rachats de cette première tranche, dont le volume représentera au maximum 0,5% du capital social du groupe, dureront au plus quatre mois et les actions ainsi rachetées sont destinées à être annulées.
Le groupe de luxe a annoncé ce matin le lancement d’un programme de rachat d’actions sur 12 mois portant sur un maximum de 1% de son capital social. Kering précise avoir confié à un prestataire un contrat d’achat d’actions portant sur une première tranche d’un montant maximum de 300 millions d’euros à un cours n’excédant pas 480 euros. Les rachats de cette première tranche, dont le volume représentera au maximum 0,5% du capital social du groupe, dureront au plus quatre mois et les actions ainsi rachetées sont destinées à être annulées.
Le groupe de matières premières Glencore a annoncé hier l’augmentation de son programme de rachat d’actions annoncé en juillet. Le rachat supplémentaire atteindra jusqu'à un milliard de dollars, en plus du milliard déjà annoncé. Le programme s'étendra jusqu’au 20 février prochain. Cette date coïncide avec le jour précédant la présentation des résultats annuels 2018, précise le communiqué. Au 24 septembre, un peu plus de 230 millions d’actions pour une valeur totale de 939,13 millions de dollars ont déjà été rachetés.
Le groupe de matières premières Glencore a annoncé aujourd’hui l’augmentation et l’extension de son vaste programme de rachat d’actions annoncé en juillet. Le rachat supplémentaire atteindra jusqu'à un milliard de dollars, en plus du milliard déjà annoncé. Le programme s'étendra jusqu’au 20 février prochain. Cette date coïncide avec le jour précédant la présentation des résultats annuels 2018, précise le communiqué. En date du 24 septembre, un peu plus de 230 millions d’actions pour une valeur totale de 939,13 millions de dollars ont déjà été rachetés.
Rocket Internet, la société d’investissement allemande spécialisée dans les services par internet, a annoncé ce jeudi son intention de racheter jusqu'à 150 millions d’euros de ses propres actions, soit 3,6% de son capital, cédant ainsi en partie aux injonctions des investisseurs lui demandant de faire usage de sa trésorerie de 2,1 milliards. L’entreprise a également annoncé une hausse de 41% de son chiffre d’affaires semestriel, à 615 millions d’euros, et un bénéfice de 297 millions sur la période.
Via une tribune dans le Wall Street Journal, les universitaires Thomas Gilbert et Christopher Hrdlicka (Université de Washington) rappellent que « quand vous achetez une action Apple, vous n’achetez pas simplement une société technologique (...), vous achetez également une des plus grandes sociétés de gestion : Braeburn Capital, entièrement détenue par Apple », et dont ce dernier soutient le hedge fund à hauteur de 115 milliards de dollars sur 244 milliards d’actifs. Mais les autres entreprises du S&P 500 ont croqué dans la pomme et géraient 1.600 milliards de dollars d’actifs financiers non liés à leur exploitation en 2012, dont 40% d’actifs à risque, et la plupart du temps sans valeur ajoutée par rapport aux indices.
L’allégement de cette réglementation devrait entraîner un rebond des fusions-acquisitions dans le secteur, ainsi qu’une hausse des dividendes et des rachats d’actions.
Les entreprises américaines ont annoncé 183,4 milliards de dollars (155,7 milliards d ’euros) de rachats d ’actions à l ’occasion de la publication des résultats du premier trimestre 2018, a annoncé hier TrimTabs Investment Research. Il s ’agit du deuxième montant le plus important jamais annoncé, précise le consultant. Lors de la précédente saison de résultats, les rachats d ’actions avaient totalisé 191,4 milliards de dollars. Ce gonflement des programmes de rachats d ’actions s ’explique par la réforme de l ’impôt sur les sociétés, adoptée en décembre. Plusieurs entreprises ont décidé de consacrer les économies d ’impôts ainsi réalisées pour mettre en place ce type de plan. Bien que la montant total de ces rachats soit plus important que d ’habitude, le nombre de plans annoncés est en ligne avec la moyenne des huit précédentes saisons de résultats.
En publiant hier soir des résultats trimestriels supérieurs aux attentes, le groupe américain a annoncé le lancement d’un nouveau programme de rachat d’actions, d’un montant de 100 milliards de dollars (83,3 milliards d’euros), et une hausse de 16% de son dividende trimestriel, à 73 cents par action. Le précédent programme de rachat d’actions, d’un montant de 210 milliards de dollars, sera finalisé au troisième trimestre de l’exercice en cours.
Le groupe de cosmétiques a indiqué hier que son conseil d’administration, réuni à l’issue de l’assemblée générale annuelle le même jour, avait décidé de procéder à des rachats d’actions pour 500 millions d’euros au maximum au deuxième trimestre 2018, en vue de les annuler. Au cours de clôture de mardi, ce montant permettrait d’acquérir environ 0,46% du capital. Lors de la publication des résultats 2017, son PDG Jean-Paul Agon avait rappelé que le groupe disposait d’une trésorerie nette de 1,8 milliard d’euros et qu’il pouvait aussi monétiser sa part dans Sanofi afin de racheter ses propres actions à Nestlé si le groupe suisse décidait de les vendre.
La banque basée en Virginie a fait savoir hier que la réforme de la fiscalité aux Etats-Unis entraînerait une dépréciation d’environ 1,9 milliard de dollars (1,6 milliard d’euros) liée notamment à la reconnaissance d’impôts différés actifs et à la taxe exceptionnelle prélevée sur sa trésorerie détenue à l’étranger. Elle a en conséquence réduit le montant de son programme de rachats d’actions à 1 milliard de dollars, contre 1,85 milliard annoncé précédemment. Capital One compte en revanche maintenir son dividende trimestriel à 0,40 dollar par action.
La première chaîne mondiale de magasins de bricolage a annoncé hier un programme de rachat d’actions de 15 milliards de dollars (12,7 milliards d’euros) et fixé un objectif de chiffre d’affaires compris entre 114,7 et 119,8 milliards de dollars pour son exercice clos en janvier 2021. Le groupe d’Atlanta, qui tenait une journée investisseurs, a précisé que le nouveau programme de rachat d’actions remplaçait une précédente autorisation donnée pour un programme de même montant en février.
Home Depot, la première chaîne mondiale de magasins de bricolage, a annoncé un programme de rachat d’actions de 15 milliards de dollars (12,7 milliards d’euros) et fixé un objectif de chiffre d’affaires compris entre 114,7 et 119,8 milliards de dollars pour l’exercice clos en janvier 2021. Le groupe d’Atlanta, qui tient ce mercredi une journée investisseurs, a précisé que le nouveau programme de rachat d’actions remplaçait une précédente autorisation donnée pour un programme de même montant en février.
L’opérateur de paiement américain a annoncé hier une hausse de 14% de son dividende et un nouveau programme de rachat d’actions de 4 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros). Le dividende trimestriel va passer de 22 à 25 cents par action, a indiqué Mastercard dans le communiqué. Le nouveau programme de rachats d’actions de 4 milliards de dollars sera effectif à l’issue du programme actuel qui autorise le groupe à acquérir encore 1,5 milliard de dollars de titres.
Deutsche Börse a annoncé hier un nouveau programme de rachat d’actions d’environ 200 millions d’euros, qui devrait être achevé d’ici à fin juin 2018. Ce programme sera financé par des ressources disponibles de quelque 800 millions d’euros, dont une partie servira aussi à financer des acquisitions, a précisé l’opérateur boursier. Après l'échec en mars d’une nouvelle tentative de rapprochement avec la Bourse londonienne LSE, l’ex-président du directoire de Deutsche Börse, Carsten Kengeter, avait affirmé que des fusions majeures dans ce secteur n'étaient plus d’actualité.