Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Les actions européennes ont prolongé mercredi le rebond de Wall Street, qui a atteint un nouveau record après l’annonce de l’inflation et les anticipations de baisses de taux de la Fed en septembre, certains pariant ou suggérant, comme Scott Bessent, une baisse de 50 points de base.
Les présidents américain et russe doivent se rencontrer vendredi 15 août sans la présence de Volodymyr Zelensky. La probabilité d’un accord de paix rapide reste faible. Les actifs les plus sensibles au conflit ont rebondi mais restent attentistes tandis que le pétrole a nettement reculé.
Les publications trimestrielles à fin juin sont dans l’ensemble supérieures aux attentes, surtout aux Etats-Unis, où le secteur technologique a encore dominé. En Europe, les entreprises ont été affectées par la hausse de la devise.
L’enthousiasme est de retour sur les marchés qui ne croient plus à la récession, selon la dernière enquête de Bank of America auprès des gérants. La tech revient en force mais les investisseurs restent sous-pondérés en valeurs américaines et tergiversent sur l’Europe.
Wall Street a rattrapé depuis début avril son retard historique par rapport aux places boursières européennes. L’indice S&P 500 a progressé deux fois plus vite que l’Euro Stoxx 50, grâce notamment aux grandes valeurs technologiques.
Les mauvaises nouvelles économiques sont de bonnes nouvelles pour les marchés, car elles suggèrent une baisse des taux de la Fed. Mais cela vaut tant que le ralentissement de la croissance n’est pas trop marqué.
Le géant minier a abandonné son projet de double cotation à New York tandis que le groupe grec a choisi la capitale britannique comme première place de cotation. Mais la tendance reste à l’attrition du marché londonien.
Les craintes sur l’emploi américain passées, les actions sont reparties à la hausse, soutenues par la perspective d’une prochaine baisse de taux de la Fed.
L’administration Trump menace de «tariffs» à hauteur de 39% à partir du 7 août. Les actions suisses ont sous-performé l’ensemble des marchés lundi. Les secteurs du luxe, de la chimie et de la pharmacie ont souffert.
Un rapport formule quatre recommandations. Il rappelle l’importance d’une information «exacte, claire et non trompeuse» sur ce produit promu par certaines fintechs d'épargne, qui ne donne pas droit à dividende, ni au vote en assemblée générale.
Chef économiste chez Carmignac, Raphaël Gallardo livre un diagnostic sans concession des politiques menées depuis six mois par l’administration Trump. Elles pourraient être la source de la prochaine crise financière.
Le «deal» noué entre les Etats-Unis et l'Union européenne sur des droits de douane à 15% donne de la visibilité aux entreprises mais risque de pénaliser leurs performances.
Comme en 2021 avec GameStop, les particuliers américains se ruent sur des actions délaissées, comme GoPro ou Krispy Kreme, et font flamber leurs cours. Les rachats de ventes à découvert et l'influence des réseaux sociaux, voire des recherches par IA, nourrissent le phénomène.
L’augmentation de capital se fait exclusivement sous forme d’ADS, cotés sur le Nasdaq à New York, avec une prime de 21% sur la moyenne pondérée des trois derniers cours. Après exercice intégral de l'option de surallocation, la biotech a réussi à lever 748 millions de dollars (638 millions d'euros).
Le responsable de la recherche au sein du fournisseur d'indices MSCI revient sur les grandes tendances mondiales pour l’investissement. Il suggère que la baisse simultanée des actions, des bons du Trésor et du dollar américains en avril, pour la première fois depuis 2002, peut être le signe d’un changement structurel.
Le reliquat des actions non encore détenues sera transféré au consortium mené par EQT, au même prix que l'offre de fermeture soit 17,20 euros par titre Believe. Présente en France depuis 2020, la société de gestion suédoise a récemment jeté son dévolu sur une autre entreprise d'Euronext Paris, Waga Energy.