Inflation
Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
L’indice harmonisé, qui permet une comparaison européenne, est lui confirmé à +2,5%. L’inflation connaît en revanche un léger recul en Espagne, malgré les hausses de prix liées à la saison touristique.
L’indice CPI a reculé en juin pour la première fois depuis mai 2020. En rythme mensuel, l’inflation sous-jacente a touché un plus bas depuis janvier 2021. La Fed pourrait réagir en septembre, et peut-être une autre fois avant la fin 2024.
Le taux de l'obligation souveraine des Etats-Unis à dix ans a touché un plus bas depuis mars dernier après la publication de cet indicateur très suivi.
L’inflation harmonisée HICP a été confirmée jeudi à 2,5% sur un an en juin. En revanche, à 3,9%, l’inflation des services reste à un niveau élevé.
Cet indice symbole des blocages liés à la pandémie de Covid avait gagné 88% en 2020-2021, mais a reperdu 24% depuis.
Entre débat sur l’indépendance de la banque centrale américaine et réforme bancaire, les auditions semestrielles du président de la Fed devant le Congrès ont pris une tournure très politique.
La publication de l’indice ISM des services allait déjà dans ce sens depuis mercredi. Le marché de l’emploi semble continuer à se détendre.
Pour infléchir les trajectoires monétaires, BCE et Fed doivent trouver un bon équilibre entre les données, dont une grande partie est rétrospective, et les perspectives, estime Michala Marcussen, chef économiste du groupe et directrice des études économiques et sectorielles à la Société Générale.
Les économistes réunis au Forum de Sintra s’interrogent sur l’idée de tirer un trait sur la période post-Covid, quitte à imaginer les banques centrales accepter une inflation un peu plus élevée à l’avenir.
Une table ronde mettait en scène Jerome Powell et Christine Lagarde, aux côtés du banquier central brésilien Roberto Campos Neto, pendant laquelle ils ont réitéré leurs positions récentes.
L’inflation de base est de son côté ressortie inchangée, à 2,9%, alors que les économistes prévoyaient un léger tassement à 2,8%.
L’inflation PCE a ralenti à 2,6% en rythme annuel en mai. Les dépenses de consommation ont augmenté de 0,2% en rythme mensuel, après +0,1% en avril, tandis que les revenus des Américains ont à nouveau progressé.
La hausse des prix dans l'Hexagone ressort à 2,1%. L'indice harmonisé, qui permet une comparaison européenne, atteint 2,5%, également en repli de 0,1 point. En mai, la consommation a par ailleurs rebondi.
La masse monétaire est revenue à un niveau positif pour ses principales composantes, mais la dynamique du crédit reste globalement très limitée malgré trois mois de très légère amélioration.
Les cours de l’or noir viennent de connaître trois semaines de progression, soutenus à la fois par les espoirs sur les taux, la saison estivale et les tensions géopolitiques.
A l’approche du premier débat Trump-Biden ce 27 juin, les analyses se recentrent sur les programmes économiques. La perspective d’une majorité relative pourrait limiter la marge de manœuvre du prochain hôte de la Maison-Blanche.
L’expansion reste encore une fois uniquement portée par les services, tandis que le secteur manufacturier recule à nouveau.
La banque centrale britannique ne modifie pas sa politique monétaire malgré le ralentissement de l'inflation dans le pays.
Les livraisons de GNL américain ont chuté en mai. Les approvisionnements en gaz russe risquent de déclencher des effets directs ou indirects liés aux sanctions passées et à venir.
L’inflation au Royaume-Uni est retournée à la cible de la banque centrale pour la première fois depuis trois ans mais les prix dans les services continuent d’être dynamiques.