Le PIB a progressé de 0,1% au troisième trimestre en France après +0,6% lors des trois mois précédents. Les prix ont de leur côté augmenté de 4% en octobre selon des données provisoires.
A la suite de l’avis rendu par le Haut Conseil aux finances publiques le 27 septembre dernier, la Commission des Finances du Sénat a souhaité entendre trois experts sur la question des hypothèses macroéconomiques retenues par Bercy.
L’Agence des participations de l’Etat détient un portefeuille de 153 milliards d’euros au 30 juin 2023, alimenté par la hausse de la valeur des parts dans les sociétés cotées.
Avec une baisse de 78% en montant, le marché francilien subit l’attentisme des intervenants. Et quand les transactions se réalisent, les prix commencent à baisser de 15%. Heureusement, la demande des utilisateurs résiste.
L’indice PMI du secteur manufacturier reste nettement inférieur à 50 en septembre. Il ressort à 39,6 en Allemagne. En France, à 44,2, il est au plus bas depuis mai 2020.
La hausse des prix ressort à 4,9% dans l'Hexagone selon la première estimation de l'Insee. L'indice harmonisé ralentit de son côté à 5,6% après 5,7% en août.
L'impôt sur le revenu et les retraites seront indexés sur la hausse des prix. Le gouvernement prévoit aussi 16 milliards d'euros d'économies, largement liées à la fin du bouclier tarifaire sur l'énergie.
Selon le Haut Conseil des finances publiques, les hypothèses retenues par le gouvernement dans cette seconde mouture de la loi de programmation des finances publiques 2023 à 2027 fragilisent l'exécution du budget.
Le sport représente aujourd'hui 2,6% du PIB, soit autant que l'hôtellerie-restauration, indique Alain Tourdjman, directeur de la recherche économique du groupe BPCE.
Les enquêtes de l’Insee en France et de l’institut GfK en Allemagne vont dans le même sens de perspectives très limitées pour la consommation au deuxième semestre.