
Coupoles 2025, des lauréats en nombre
Les Coupoles de l’Innovation ont fêté leurs 20 ans avec trois récompenses supplémentaires et les Coupoles de l’Audace comptent désormais un nouveau prix.
Rédacteur en chef L'Agefi Patrimoine/Gestion Privée

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RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Le graphique du mois - Ce biais qui nous amène à juger la probabilité d’un événement en fonction de sa similitude avec des stéréotypes est synonyme de risques.
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ETF à la Une

BlackRock lance le premier ETF adossé à la méthodologie MSCI World sur la neutralité géographique et sectorielle
Premier fonds listé à commercialiser cette méthodologie MSCI World, l'ETF iShares MSCI World Sector & Country Neutral Equal Weight Ucits vise, selon la société de gestion, un meilleur accès aux entreprises potentiellement sous-évaluées.
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Bourse de Paris : le CAC 40 recule avant la décision de la Fed sur les taux
Paris - La Bourse de Paris a terminé en recul de 0,40% mercredi, quelques heures avant une décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui devrait baisser ses taux directeurs pour la première fois de l’année. Le CAC 40 a perdu 31,24 points, à 7.786,98 points. La veille, il avait cédé 1% pour s'établir à 7.818,22 points. «Comme les autres marchés, la place parisienne est attentiste, avant la décision de la Réserve fédérale américaine», explique à l’AFP Nathalie Benatia, macroéconomiste chez BNP Paribas Asset Management. «La décision de la Fed et en particulier les commentaires de son président Jerome Powell sont attendus avec impatience», renchérit Andreas Lipkow, analyste indépendant. A 18H00 GMT (20H00 heure de Paris), l’institution devrait annoncer une baisse de ses taux d’intérêt à l’issue de sa réunion de politique monétaire, une première en 2025. Les taux de la Fed se situent actuellement dans une fourchette entre 4,25% et 4,50%. D’autant que la réunion se tient dans une configuration particulière, alors que Donald Trump pousse depuis plusieurs semaines pour que l’institution baisse ses taux, ce qu’elle a pour l’instant refusé. Stephen Miran, un conseiller de Donald Trump, est d’ailleurs devenu gouverneur in extremis après la démission surprise de la gouverneure Adriana Kugler, siégeant à la même table que Lisa Cook, une responsable que l’exécutif cherche à écarter. Cette «volonté politique de reprise en main de la Fed par l’administration Trump préoccupe les investisseurs», explique Nathalie Benatia. Ils «seront par conséquent attentifs à toute dissension exprimée au sein du conseil des gouverneurs» a-t-elle détaillé. Côté obligataire, le taux d’intérêt de l’emprunt français à dix ans a terminé à 3,48%, contre 3,49% la veille en clôture. Emissions vertes pour Valeo L'équipementier automobile Valeo a terminé en hausse de 7,26% à 11,31 euros. Le groupe a annoncé mardi soir l'émission de 500 millions d’euros d’obligations vertes à échéance 2032, afin de «financer les projets et investissements liés au portefeuille de technologies qui contribuent à la mobilité à faible émission de carbone, en particulier pour l'électrification du véhicule». Euronext CAC40 © Agence France-Presse -
Argentine : des milliers de manifestants contre les coupes budgétaires voulues par Javier Milei
Buenos Aires - Des milliers d’Argentins manifestaient mercredi à Buenos Aires, l’une des mobilisations les plus suivies des derniers mois, pour faire pression sur le Parlement, qui débat des vetos répétés du président ultralibéral Javier Milei à des financements pour l’université et la santé pédiatrique. Sur fond d’un imposant dispositif policier, universitaires, hospitaliers, et comme chaque mercredi retraités, se sont réunis aux abords du Parlement, derrière des banderoles «Non au veto !», leurs rangs gonflés par des syndicats et diverses organisations de gauche radicale, a constaté l’AFP. Les manifestants espèrent une nouvelle rébellion des députés pour annuler les vetos récemment apposés par le président ultralibéral Milei à deux textes: un sur une dotation accrue pour l’université publique, l’autre sur «l’urgence pédiatrique» -budgétaire, en fait- pour le plus grand hôpital pédiatrique du pays, le Garrahan (4.700 employés). Le Parlement peut techniquement annuler un veto présidentiel, en rassemblant une majorité des deux-tiers des deux chambres, comme il l’a fait en août sur une loi de financement du handicap, infligeant à Javier Milei un revers législatif marquant. Après les députés mercredi, il reviendra au Sénat de débattre des deux vetos dans les prochains jours. Indépendamment de ces textes, sur des financements à échéance 2025, Javier Milei a présenté dimanche son projet de budget 2026, sans dévier de son cap d’austérité, en vue d’un équilibre budgétaire «non négociable». Mais, secoué en début de mois par un cuisant revers électoral lors d’une importante élection régionale, il a adopté un ton plus modéré qu'à l’accoutumée, et promis pour 2026 des gestes --des hausses supérieures à l’inflation-- sur les retraites, l'éducation et la santé, sévèrement définancés en 21 mois de sa présidence. «Mais ça c’est pour l’année prochaine ! Cette année, on n’a rien eu !» protestait dans la manifestation Florencia Garcia, 39 ans, administrative de l’hôpital Garrahan, dénonçant à l’AFP «la fuite de professionnels à cause des bas salaires, et de tout ce qui nous manque». «La réalité c’est qu’on ne peut pas continuer comme ça !» Promesses budgétaires «très loin» du compte, ont réagi pour leur part les universités publiques, pour qui le budget annoncé ne fait que «consolider les pertes subies» sur les salaires ou le fonctionnement, et «creuser l’ajustement infligé au système universitaire et scientifique». Le conseil des universités du pays a estimé que près de 7.300 milliards de pesos (4,9 milliards de dollars) seraient nécessaires pour que l'éducation supérieure «fonctionne normalement», et non les 4.800 milliards de pesos (3,2 milliards USD) promis pour 2026 par Milei. © Agence France-Presse -
Jair Bolsonaro diagnostiqué d’un cancer de la peau après sa condamnation
Brasilia - Moins d’une semaine après sa condamnation à 27 ans de prison pour tentative de coup d’Etat, l’ex-président brésilien d’extrême droite Jair Bolsonaro a reçu mercredi une autre mauvaise nouvelle: un diagnostic de cancer de la peau. L’ancien dirigeant (2019-2022), 70 ans, souffre d’une série de problèmes de santé, dont certains dérivent d’un attentat à l’arme blanche subi en 2018 en pleine campagne électorale. Mardi, il avait été admis dans une clinique privée de Brasilia à la suite d’un malaise. Il a pu en sortir mercredi et regagner sous escorte policière le domicile où il est assigné à résidence depuis début août. Dimanche, il avait déjà été autorisé à se rendre à cette même clinique privée, DF Star, durant quelques heures pour subir une biopsie cutanée. Cette biopsie a permis de détecter un «carcinome à cellules squameuses», soit «un type de cancer de la peau qui peut avoir des conséquences plus sérieuses», a déclaré aux journalistes le docteur Claudio Birolini, peu après la sortie d’hôpital de son patient. Selon le bulletin médical de la clinique, la biopsie a détecté le carcinome dans «deux des huit lésions» retirées dimanche. Ce diagnostic demande un «suivi médical et des réévaluations périodiques», précise le bulletin. Mais le docteur Birolini a affirmé que l’ex-président ne devrait pas suivre pour le moment de «traitement actif» comme par exemple une chimiothérapie. «Mon père a déjà livré des batailles plus difficiles et en est sorti victorieux. Il en ira de même pour celle-là», a réagi sur le réseau social X son fils aîné, Flavio Bolsonaro. Procès historique Jair Bolsonaro a été admis à la clinique DF Star mardi après avoir souffert de vomissements, de vertiges et d’une baisse de la pression artérielle. Après avoir passé la nuit en observation, il a présenté une «amélioration des symptômes et de sa fonction rénale après un traitement médical par voie intraveineuse», selon ses médecins. Depuis le coup de couteau reçu dans l’abdomen lors d’un bain de foule en 2018, l’ex-président a été opéré à plusieurs reprises. En avril, il a subi une lourde intervention chirurgicale. La Cour suprême a condamné Jair Bolsonaro à 27 ans de réclusion à l’issue d’un procès historique qui l’a reconnu coupable d’avoir conspiré pour se maintenir au pouvoir après sa défaite électorale face au président actuel de gauche Luiz Inacio Lula da Silva en 2022. Mais il ne pourra être incarcéré qu’après l'épuisement de tous les recours possibles, et sa défense a déjà annoncé qu’elle ferait appel prochainement. L’ex-président est assigné à résidence depuis le 4 août pour des soupçons d’entrave à son procès. Ses partisans poussent pour une amnistie de l’ancien chef d’Etat et de centaines de sympathisants bolsonaristes condamnés pour tentative de coup d’Etat. © Agence France-Presse