
CARNET AGEFI ACTIFS 804
INSTITUTIONS
THOMAS BEHAR, est nommé président de la Commission économique et financière de la Fédération française de l’assurance (FFA). Il commence sa carrière à la Commission de contrôle des assurances. Il entre, en 1999 à la Caisse des dépôts et consignations en qualité de responsable du suivi stratégique assurance et retraite puis rejoint en 2002, CNP Assurances où il exerce différentes fonctions. Nommé membre du comité exécutif en septembre 2013, il est promu en décembre 2017, directeur de la performance groupe puis directeur financier en 2019 et membre du comité exécutif. Il est par ailleurs président de l’Institut des actuaires et de l’Association actuarielle européenne ainsi que membre du comité exécutif de l’Association actuarielle internationale et du comité consultatif de l’Insurance and reinsurance stakeholder group de l’European insurance and occupation pensions authority.
ASSURANCE
ERIC CHENUT, 48 ans, est élu président de la Mutualité Française. Attaché d’administration de l’Etat depuis 2002. Il rejoint en 2003 le groupe MGEN comme administrateur et sera président de la section Meurthe-et-Moselle pendant huit ans puis devient délégué national aux établissements de 2011 à 2013, vice-président aux questions de santé, sanitaires et sociales de 2013 à 2017 et vice-président délégué en charge du budget des finances, des risques et des partenariats jusqu’en 2021. Il est actuellement administrateur délégué au sein du groupe MGEN, administrateur du groupe VYV et vid (président de VYV 3 depuis 2017, membre du conseil de surveillance de la Fondation de l’avenir et préside désormais la Fédération nationale de la Mutualité Française.
EDOUARD DUBERN, 43 ans, est nommé managing director – co-head of debt advisory de Kepler Cheuvreux. Il exerce chez PwC en transaction services et chez EY en audit puis intègre Natixis où il évolue dans les équipes acquisition & strategic finance de Paris, Hong Kong et Singapour.
GREGOIRE DE BLIGNIERES, 36 ans, est nommé executive director – deb advisory chez Kepler Cheuvreux. Il travaille au sein de Redbridge DTA en debt advisory puis rejoint Mazard où il dirige depuis 2018 l’équipe debt advisory, conseillant sur le financement des PME, ETI et grandes entreprises.
AVOCAT
ALEXIS ORLANDO, 30ans, nouveau collaborateur au sein du département M&A, private equity de Sekri Valentin Zerrouk (SVZ). Il a exercé au sein du département corporate/M&A/private equity chez DLA Piper à Paris.
SOCIÉTÉ DE GESTION
PASCAL LE COZ est nommé directeur général de Crédit Mutuel Investment Managers. Il occupe diverses fonctions à l’inspection et en banque privée au sein de CIC Lyonnaise de Banque qu’il intègre en 1991. Il était depuis 2009, directeur général de la filiale de la Banque Transatlantique à New York (Transatlantique Private Wealth) qu’il a développée.
DELPHINE ARNAUD, 40 ans, est nommée gérante/analyste au sein de l’équipe multi-asset & overlay chez Edmond de Rothschild AM. Elle débute sa carrière comme gérante/analyste de fonds de hedge funds entre 2007 et 2012 puis en tant que gérante/analyste obligations convertibles jusqu’en 2015 chez Lazard Frères Gestion. Elle exerce la fonction de gérante de fonds diversifiés à la Banque Postale Asset Management pendant trois ans puis analyste Quant attachée à la gestion diversifiée de 2016 et 2018 et exerce comme responsable de la gestion diversifiée, crédit et convertibles chez Métropole Gestion.
DANIELA SAVOIA, 31ans, devient gérante/analyste sur le segment de la dette souveraine émergente au sein de l’équipe de gestion obligataire (basée à Genève) d’Edmond de Rothschild AM. Elle exerce les fonctions d’associé, restructurations et situations spéciales chez PJT Partners, d’analyse de recherche associée dédiée aux entreprises latino-américaines chez JP Morgan Securities à New York et de directrice des opérations et des affaires académiques chez Arukay à Bogota. Elle était dernièrement, analyste crédit marchés émergents chez Fisch Asset Management à Zurich.
ALEXANDER EVENTON, 40 ans, responsable investment grade & dette corporate hybride chez Edmond de Rothschild AM. Co-responsable crédit/responsable fixed income et gérant principal chez Oddo Meriten Asset Management, Lombard Odier et FFTW/BNP Paribas en Suisse, en France et au Royaume-Uni, où il gérait d’importants capitaux institutionnels, de family offices et privés, il est fondateur et Co-CIO de son propre fonds.
MAYA BHANDARI devient responsable de l’activité multi-actifs (à compter du 01/11, basée à Londres) de BNP Paribas Asset Management. Directrice et stratégiste au sein de l’équipe global macro & asset allocation chez Citigroup, elle devient directrice exécutive de l’activité multi-asset portfolio chez Columbia threadneedle investments (CTI).
THIERRY SCHEUR rejoint Euryale Asset Management en tant que directeur général opérationnel en charge de la distribution des produits d’Euryale Services. Il était précédemment directeur commercial et marketing d’Ageas Patrimoine, responsable du développement du marché des Conseillers en gestion de patrimoine indépendants (CGPI) et de la Gestion Privée en BtoB.
YOANN MALYS, 42 ans, est nommé associé capital développement chez Epopée Gestion. Il débute sa carrière comme consultant en stratégie et organisation, au sein de WDHB à San Francisco puis de BearingPoint à Paris. Il intègre ensuite Ernst & Young où il accompagne diverses opérations de private equity en Europe, Afrique et Etats-Unis. En 2008, il rejoint NBGI Private Equity, basée à Londres et y conduit le développement de trois plateformes françaises en small cap dans les secteurs de l’agroalimentaire, de la santé et de l’industrie. Il cofonde et développe Inspiring Sport Capital puis rejoint en 2017, Omnes comme responsables de l’activité mid cap.
BENOÎT PICART, 46ans, nouvel associé capital développement (basé à Nantes) d’Epopée Gestion.Après avoir démarré sa carrière en 1998 chez BNP Paribas dans le coverage corporate auprès d’une clientèle variée de PME-ETI de l’Ouest de la France, il entre chez BNP Paribas Développement et participe, depuis Nantes au déploiement d’opérations de capital investissement.
JÉRÔME GUITTET nouveau directeur du développement et de la clientèle institutionnelle pour l’Europe francophone et associé chez Lonvia Capital. Il intègre Groupama AM en 2002 et se consacre à la distribution de fonds auprès d’investisseurs institutionnels puis exerce des fonctions similaires chez Edmond de Rothschild AM où il devient directeur des ventes institutionnelles pour la France, la Belgique et le Luxembourg.
GROUPE BANCAIRE
SIMONE DE OLIVEIRA, 45 ans, est nommée directrice générale adjointe du groupe BRED. Elle intègre la BRED en 1998 en tant que développeur et y occupe différents postes à responsabilité avant de devenir en 2014 directrice du développement informatique puis directrice des systèmes d’information groupe en 2016, fonction qu’elle conserve.
DAMIEN CLERIS nouveau directeur du programme ETI chez groupe BPCE. Après un début de carrière en 1999 chez Crédit Agricole CIB au Vietnam, il rejoint, au 2004, l’inspection générale du groupe Caisse d’Epargne. Il intègre le département stratégie de Natixis en 2009 avant d’être nommé successivement responsable de la stratégie de la banque de grande clientèle en 2010 puis responsable de la stratégie et du business development de la banque de grande clientèle. Responsable du coverage corporate et conseil de la plateforme Asie-Pacifique à Hong Kong en 2013, responsable du coverage et co-responsable d’investment banking en 2016, il est en 2019, co-responsable mondial du coverage au sein de la banque de grande clientèle de Natixis et responsable du développement corporates et des réseaux du groupe BPCE en janvier 2021.
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Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse