
CARNET AGEFI ACTIFS 728
BANQUE
, QUILVEST BANQUE PRIVEE
, ÉRIC LIBAULT, 55 ans, est nommé président du directoire de Quilvest Banque Privée. Secrétaire général, membre du comité de direction de Chevreux de Virieu Gestion, fonction qu’il occupe pendant huit ans, il devient administrateur de Difag (devenu Caceis Fastnet). Président, co-fondateur de FI Select Multigestion qu’il crée en 2000, il rejoint groupe Quilvest en intégrant le fonds de commerce de sa société et exerce comme directeur général de Quilvest Banque Privée où il mène de nombreux projets de réorganisation stratégique tout en assurant la responsabilité des fonctions « support ».
, INSTITUTIONS
, PARIS EUROPLACE
, AUGUSTIN DE ROMANET, 57 ans, est élu président de Paris Europlace.
, Il exerce entre 1986 et 1998 au sein de divers ministères. Il entre en 1999 chez Oddo & Cie puis devient associé gérant d’Oddo Pinatton Corporate de 2000 à 2002. Directeur de cabinet au ministère délégué au Budget et à la réforme budgétaire, il devient directeur adjoint du cabinet du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie en 2002 et directeur de cabinet du ministre de l’Emploi, du Travail et de la Cohésion Sociale en 2004. Directeur adjoint du Premier ministre la même année, il exerce entre 2005 et 2006 comme secrétaire général adjont de la présidence de la République. Il entre au sein du Groupe Crédit Agricole en 2006 en tant que directeur adjoint finances et stratégie et membre du comité excutif du Groupe, puis en qualité de directeur général de la Caisse des Dépôts de 2007 à 2012. Il est président du conseil d’administration du Fonds Stratégique d’Investissement de 2009 à 2012, président du conseil d’administration d’Egis en 2011, directeur de la Régie Autonome des Transports Parisiens. Il est depuis 2012, président-directeur général d’Aéroports de Paris.
, SOCIETE DE GESTION
, TALENCE GESTION
, HERVÉ PICARD, est nommé gérant privé de Talence Gestion. Fort de vingt ans d’expérience dans la gestion de fortune, il exerce chez BNP Paribas comme gérant de portefeuilles puis rejoint l’équipe de Tocqueville Finance au poste de directeur de la gestion privée.
, SOFIDY
, FABRICE DOITEAUX 43 ans, devient directeur immobilier du patrimoine bureaux de Sofidy. En poste chez SOPREC en 2000 comme consultant puis responsable de secteur, il rejoint ensuite Gemofis comme consultant senior en 2004 avant d’être recruté la même année par Sofidy en tant que chargé de relocation bureaux, co-responsable du service gestion puis responsable du pôle bureaux
, en 2017.
, MICHAEL RICCIARELLI, 37 ans, est nommé directeur immobilier du patrimoine commerces de Sofidy. Juriste au sein de la direction juridique de Groupama Nord-Est en 2005, directeur juridique immobilier chez CEGIS en 2007, Michael Ricciarelli intègre Sofidy en 2011 en qualité de directeur adjoint du département immobilier.
, ASSURANCE
, ONELIFE
, ANNE-AURORE CUZOL, est nommée France country directorde OneLife. Elle possède quinze années d’expérience acquises au sein de différents acteurs majeurs du secteur de l’asurance en France tels que Generali, le Groupe Crédit Agricole et CNP.
, CAISSE CENTRALE MSA
NICOLAS BONDONNEAU, est nommé directeur délégué aux politiques sociales de la CCMSA. Inspecteur des affaires sociales en 2013 puis de 2016 à 2018, il y mène des missions d’inspection, d’audit et de conseil en stratégie, en particulier auprès d’organismes de protection sociale tels qu’Acoss, Agirc-Arrco, CNAV, RSI...) puis exerce entre 2013 et 2016 comme directeur général délégué stratégie, risques, relations extérieures et membre du comité exécutif de l’Établissement Français du Sang.
, GENERALI FRANCE
, FRANCOIS FEQUANT, 39 ans, est nommé directeur marketing et digital de Generali France.Ildébute sa carrière en 2002 comme consultant CRM et marketing chez Unilog Management puis chez Line Up Consulting entre 2007 et 2009. Il intègre Generali France en 2009 et conduit les projets IT sur le périmètre marketing et vente directe puis assume de 2013 à 2016 les responsabilités de directeur de programme digital puis e manager de l’équipe marketing relationnel et de responsable de l’expérience clients et du business multicanal. Il est nommé en 2017 directeur des solutions d’assurances des clients particuliers.
, CAROLINE BRUZAC, 38 ans, est nommée directrice des solutions d’assurance particuliers de Generali France.En poste chez Ernst & Young en 2004 au sein de la practice risk management où elle intervient comme manager spécialisée en risques opérationnels et contrôle interne tant en banque qu’en assurance jusqu’en 2011, ellerejoint la même année Generali France où elle exerce les fonctions de contrôleur interne puis de responsable du dispositif de gestion des risques opérationnels. Elle est nommée en 2017, responsable du contrôle interne sur le périmètre ProPE, entreprises dommages et indemnisation.
BEATRIX BLIN DE SAINT ANGEL, 52 ans, devient directrice des affaires fiscales de Generali France.Elle entame sa carrière comme juriste à la BNP en 1989 puis occupe dès 1990 des fonctions de fiscaliste chez Barclays Bank puis chez Paribas en 1992. Elle intègre en 2000 l’équipe fiscale en charge du corporate & investment banking de BNP Paribas puis celle «fiscalité corporate» en 2008 où elle devient adjointe puis responsable d’équipe en 2012. Elle était, parallèlement depuis 2012, co-présidente de la Coopération fiscale des grandes entreprises).
, PHILIPPE LE RAY, 56 ans, est nommé directeur des études informatiques souscription et indemnisation de Generali France. Ilentre en 1986 chez UCB/Union Crédit pour le Bâtiment (BNP Paris) et occupe divers postes au sein de la DSI puis la fonction de directeur des études informatiques. Il rejoint en 2004 BNP Paribas Personal Finance et assure les fonctions de responsable de programme, responsable méthode et architecture au sein de la DSI en France et à l’International.
, SOPHIE LETANG, 39 ans, est nommée directrice des ressources humaines groupe de Filiassur.Avocate, elleexerce des fonctions de directrice des ressources humaines dans des secteurs variés comme le prêt-à-porter, Xanaka et la distribution de véhicules automobiles, groupe Mary automobiles.
, BANQUE
, LA BANQUE POSTALE
MAUD VIMEUX, 48 ans, est nommée directrice des ressources humaines adjointe, La Banque Postale. Elle débute sa carrière chez Danone en 1993 et exerce des responsabilités RH au sein des branches emballage et biscuits. Elle occupe à partir de 1998 plusieurs postes en développement de talents au siège corporate du Groupe avant de devenir directrice du développement RH pour la division eaux au plan mondial. Nommée en 2005, directrice des ressources humaines de Font Vella en Espagne et directrice des ressources humaines de Blédina en 2011, elle conduit, en 2016, le projet d’évolution de la fonction RH pour les huit entités de Danone en France avant d’être promue directrice ressources humaines France.
, SOCIETE DE GESTION
, NEWALPHA
, ADRIEN AURIC, 47 ans, devient chief operating officer de Newalpha. Il passe trois ans chez Olympia Capital Management en charge des équipes de due diligence investissement, de middle et back-office et huit ans chez Ernst & Young où il occupe diverses fonctions managériales au sein des départements audit bancaire, assurance et immobilier et transactions services. Il exerce ensuite chez JPMorgan en tant que responsable des due diligences investissements de JPMorgan Mansart Investissement puis est nommé directeur général et directeur des opérations.
, CREDIT
, IN&FI CREDITS
BRUNO ROULEAU,54 ans, nouveau directeur des partenariats chez In&Fi Crédits. Il exerce au sein de la Banque Populaire, du Crédit Agricole, du groupe HSBC ou encore la Banque Privée Européenne. Il est entre 2005 et 2010 responsable des partenariats banque et assurances, puis directeur associé et exerce de 2010 à 2015 comme responsable grands comptes et économie sociale chez CAFPI.
, GROUPAMA AM
, OLIVIERLE BRAZ, 51 ans, est nommé directeur du développement de l’offre de gestion assurantielle et des partenariats, Groupama AM. Il débute sa carrière en 1990 chez Groupe Caisse des Dépôts en Espagne avant de rejoindre entre 1993 et 2001 la Banque d’Orsay pour y développer la clientèle grandes entreprises. Il intègre Robeco Gestion au poste de directeur du développement de la clientèle institutionnelle en France puis poursuit sa carrière en 2002 chez Orsay AM. Il est nommé en 2010, à la suite du rachat d’Orsay par Oddo & Cie, responsable du pôle distribution externe chez Oddo AM et rejoint Rothschild AM en 2012 en qualité de directeur au sein du département institutionnels.
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Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse