
CARNET ACTIFS 815
ASSURANCE
DENIS BOURGEOIS, 57 ans, devient directeur général délégué en charge de l’assurance vie, de l’actuariat, des investissements et de la gestion du capital chez Abeille Assurances. Il rejoint Arcalis et le périmètre AGF Partenaires dont il devient directeur technique et informatique. Directeur général d’Allianz Partenariats Vie en 2008, il intègre, en 2010, le groupe Périclès pour créer Périclès Actuarial qu’il dirige en tant que directeur associé.
PAUL-ANTOINE CRISTOFARI, nouveau directeur général d’AXA Partners France. Il démarre sa carrière chez Ernst & Young puis Price Waterhouse Coopers. Il entre chez AXA en 2004 à la direction de la stratégie et des finances du groupe comme vice-président sur les activités de réassurances et Amériques. Il est, en 2007, directeur adjoint aux relations investisseurs. Il rejoint AXA en France en 2010 en qualité de vice-président de la distribution et pilote de nombreux projets de transformation des réseaux propriétaires puis est nommé directeur commercial des régions Nord et Est. Il est en 2017, directeur corporate finance d’AXA France avant de rejoindre en 2018, le comité exécutif du groupe AXA Partners comme directeur mondial des activités commerciales, marketing et distribution.
HÉLÈNE DENIS, 44 ans, est nommée directrice générale déléguée en charge des finances, des affaires juridiques et des risques d’Abeille Assurance. Après avoir exercé au sein de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution et à la Cour des comptes, elle intègre, en 2016, AG2R La Mondial en tant que directrice du pilotage financier et des risques. Elle devient, en 2020, directrice adjointe de l’Agence française anticorruption.
RENAUD CÉLIÉ, 54 ans, est nommé directeur général délégué en charge du développement, de la transformation digitale & IT et des services aux clients d’Abeille Assurances. En poste à la direction internationale des AGF de 1994 à 2000 puis en Amérique du Sud chez Allianz South America, il exerce entre 2003 et 2011 chez Allianz France les fonctions de directeur des opérations & systèmes d’information du pôle partenariats vie puis celles de directeur général de la filiale d’assurance COPARC et de directeur général délégué de W Finance. Il rejoint, en 2012, le groupe Apicil en tant que directeur général délégué, en charge du pôle finances & performance puis du pôle épargne & services financiers en janvier 2019.
ARNAUD BUNETEL, est nommé responsable de la souscription risques environnementaux Europe Continentale, Liberty Specialty Markets France. Il débute sa carrière en bureau d’études en environnement et risques industriels puis au sein d’un groupe spécialisé dans la gestion des déchets. Conseiller spécialisé risques environnementaux chez un courtier en assurance, il occupe ensuite un poste de souscripteur senior risques environnementaux puis de responsable souscription risques environnementaux chez AIG France.
GHISLAIN PERISSE nouveau responsable des solutions assurantielles pour l’Europe, Fidelity International. Il occupe des fonctions au sein d’AXA Investment Manager et Morgan Stanley. Il devient responsable de la stratégie d’assurance pour la région EMEA chez Schroders.
AHLEM CADHI est nommée souscriptrice senior responsabilité civile et Profin chez RSA France. Elle commence sa carrière en cabinets d’avocats avant d’exercer au sein de diverses compagnies d’assurance et y occupe différents postes de souscriptrice ainsi que de gestionnaire sinistres responsabilité civile. Elle exerce également comme chargée de clientèle au sein de l’équipe commerciale grands comptes et de conseillère spécialisée en lignes financières chez Marsh France. Elle était depuis 2018, manager of special risks au département assurances corporate de SANOFI.
GESTION D’ACTIFS
ESTELLE CASTRES 52 ans, est nommée directrice générale France, Belgique, Luxembourg au sein de BlackRock. Après avoir débuté sa carrière en 1993 chez Dresdner Kleinwort en qualité de trader, elle rejoint Crédit Agricole Asset Management (devenu Amundi) en tant que gestionnaire de portefeuille senior pour les marchés crédit. Responsable commerciale senior pour les clients institutionnels clés chez Axa Investment Managers, elle intègre en 23014, Natixis Investment Managers comme directrice de la France, du Belux, de Genève, de Monaco et d’Israël ainsi que responsable mondiale des clients institutionnels et des clients clés du secteur de l’assurance.
NINA LAGRON nouvelle gérante au sein de La Financière de l’Echiquier. Elle entame sa carrière chez UBS à Londres comme associate director, fusions/acquisitions globales en 1998 puis rejoint Amundi comme senior portfolio manager, responsable des investissements de la zone Europe et Moyen-Orient. Elle rejoint en 2014, Gemway Assets, responsable du développement de la politique ESG et contribue à la création de la démarche d’impact de l’entreprise. Elle intègre, en 2017, La Française AM à la tête de quatre fonds à impact avant de devenir head of large cap equities. Elle était membre du Comex.
BÉNÉDICTE DUMANT, 35 ans, est nommé portfolio manager – dette immobilier d’Acofi Gestion. Après une première expérience en conformité chez GE Capital Factofrance, elle entame sa carrière dans des fonctions commerciales chez Société Générale Equipment Finance avant de prendre les fonctions d’analyste de risques sectoriels au sein de la banque de financement et d’investissement. Elle s’oriente en 2019, vers la gestion opérationnelle des financements structurés dans l’aéronautique et le maritime avant de se spécialiser dans les financements immobiliers.
HUGO THOMAS, 30 ans, nouveau responsable analyse crédit chez Acofi Gestion. Analyste crédit pour des clients américains de BNP Paribas à New York, il rejoint Acofi en 2016en tant qu’analyste-crédit avant d’intégrer en 2019le cabinet Redbridge DTA comme conseil financier des émetteurs corporate de tous secteurs dans la négociation et la mise en place de financements.
IMMOBILIER
VINCENT THILLAUD nouvel associé-gérant de Lazard Frères et co-managing director de Lazard Immobilier. Expert en fusion/acquisitions chez Lazard, il y développe au sein du bureau de Paris, la couverture des acteurs de l’immobilier et accompagne de nombreuses opérations de fusions/acquisitions et de financement dans ce secteur.
GILLES BETTHAEUSER devient senior advisor chez Lazard Frères et co-managing director de Lazard Immobilier. Il fonde en 1997, AOS (devenue AOS Studley), société spécialisée dans le conseil stratégique en immobilier. A la suite de l’entrée d’AOS au sein du groupe Colliers International, il est nommé président directeur général puis chairman de Colliers International France.
JÉRÉMIE DAGONET, 42 ans, est nommé directeur régional Occitanie au sein de la promotion résidentielle de Crédit Agricole Immobilier. Il construit sa carrière dans la construction et la promotion immobilière en exerçant chez SRC où il occupe dès 2004, la fonction d’ingénieur travaux avant de rejoindre, en 2007, Bouygues Immobilier comme responsable puis directeur de programmes immobilier d’entreprise Ile-de-France et de directeur des opérations puis directeur régional immobilier d’entreprise Sud-Ouest. Il rejoint, en 2019, ADIM en qualité de directeur Occitanie.
JÉRÔME FARCOT rejoint CDC Habitat en tant que directeur interrégional Sud-Ouest. Ingénieur travaux chez Norpac , il a été nommé en 2012, directeur de la maîtrise d’ouvrage du groupe des Chalets et du GIE Garonne Développement. Il était depuis février 2016, directeur général de 3F Occitanie.
BANQUE
VINCENT ARRACHART, 34 ans, nouveau directeur de l’espace patrimonial de Biarritz chez Milleis Banque. Après une première expérience au sein du réseau de la Société Générale où il occupe la fonction de directeur d’agence pour une clientèle banque privée et professionnelle, il intègre Milleis Banque en tant que banquier privé au sein de l’espace patrimonial de Biarritz en novembre 2019puis devient, en juillet 2021, directeur adjoint.
AUDIT/CONSEIL
JUDICAËL LEFEBVRE, 45 ans, entre chez BDO France en qualité de chief impact officer. Directeur de missions autour du développement durable au sein de l’AACC (Association des agences conseils en communication), il devient responsable RSE chez groupe PMU.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse