
CARNET ACTIFS 798
BANQUE PRIVÉE
FRANCOIS PAULY, 57 ans, devient directeur général du groupe Edmond de Rothschild. Il exerce entre 1987 et 2004 divers postes de senior management dans le groupe bancaire Dexia au Luxembourg, en Italie et à Monaco. Il intègre, la même année, Bank Sal. Oppenheim jr. & Cie à Luxembourg en qualité de directeur général puis devient, à partir de 2007, general manager de Sal. Oppenheim jr. & Cie. S.C.A. où il est nommé membre des conseils d’administration des filiales suisse, autrichienne et allemande du groupe. Il entre, en 2011, à la Banque Internationale à Luxembourg (BIL) en tant que directeur général. Il occupe la fonction de président du conseil d’administration jusqu’en 2016. Au-delà de ces fonctions exécutives, il était vice-président du conseil d’administration de Edmond de Rothschild (Europe) à Luxembourg et président du comité d’audit et des risques de Edmond de Rothschild (Suisse) depuis 2016.
CONSEIL
DELPHINE BOURRILLY, 41 ans, est nommée présidente et associée-gérante de Kearney France. Elle démarre sa carrière en 2003 chez UBS où elle évolue jusqu’au grade de directrice, spécialisée dans la structuration de produits dérivés de taux d’intérêt et hybrides en 2008. Elle entre, en 2009 au sein du cabinet Kearney où elle devient associée puis en charge de la practice leadership, change, and organization pour l’Europe en 2019.
SOCIÉTÉ DE GESTION
PHILIPPE CHAUMEL, 55 ans, nouveau gérant actions Europe chez Groupama Asset Management. En poste au sein d’ABN Amro Securities entre 1988 et 1999 puis de 2000 à 2001, chez Schroders de 1999 à 2000, il évolue ensuite chez Goldman Sachs comme directeur exécutif France de 2002 à 2003, date à laquelle il est associé-gérant et co-directeur de la gestion de Rothschild & Cie Gestion où il contribue au développement du pôle de gestions actions, taux et diversifiés. Il intègre entre 2017 et 2020, une structure entrepreneuriale SPPI Finance dans laquelle il lance et gère deux fonds.
LAURA RAMIREZ, 32 ans, nouvelle responsable ESG au sein d’Axiom AI. Elle entame sa carrière en 2013 à Stuttgart chez Robert Bosh GmbH au contrôle interne R&D puis rejoint ensuite, en 2015, le ministère de la Transition Energétique et de la Solidarité en tant que chargé de mission finance durable. En poste chez 2 Degrès Investing Initiative, elle occupait, entre 2016 et 2021, les postes d’analyste, chef de projet, manager des programmes marchés émergents, puis responsable des marchés émergents.
GESTION DE PATRIMOINE
ADELINE PHILIPPE, 44 ans, est nommée directrice des ressources humaines chez Union Financière de France (UFF). Après avoir démarré sa carrière en 2000 comme chargée de ressources humaines chez NRC Corporation, elle intègre, en 2001, Simply Market France où elle exerce successivement les fonctions de responsable ressources formation puis directrice d’établissement. Elle intègre, en 2007, le groupe Krys en tant que responsable des ressources humaines réseau. Elle occupait depuis 2016, le poste de directrice des ressources humaines de la chaine de restauration Hippopotamus.
BANQUE
LAURENT PEYROT, 46 ans, est nommé directeur de la gestion de fortune de LCL. Après avoir passé sept ans à la Banque de France, il rejoint, en 2007, l’Inspection générale de Crédit Agricole SA et conduit des missions en France et à l’étranger. Il intègre LCL en 2012 et crée l’activité placements privés (Euro PP) avant de prendre en charge un centre d’affaires à la direction des grandes entreprises.
ANDRÉ JOFFRE, 67 ans, est réélu à la présidence de la Fédération Nationale des Banques Populaires (FNBP). Il exerce au sein de la Société Européenne de Propulsion (groupe Safran) puis crée ensuite TECSOL et exerce en parallèle de nombreux mandats tels que ceux de vice-président industrie de la CCI de Perpignan, président d’Enerplan, syndicat national de l’énergie solaire et président d’un pôle de compétitivité en Occitanie. Il est administrateur Banque Populaire depuis plus de vingt ans, président du conseil d’administration de la Banque Populaire du Sud depuis douze ans. Au sein du groupe BPCE, il a exercé les mandats de membre du bureau de la FNBP, président de la Fondation Banque Populaire et membre du conseil de surveillance de BPCE.
DOMINIQUE GARNIER, 59 ans, est nommé administrateur de Natixis. Il débute sa carrière en 1983 au sein de la Banque Populaire d’Anjou Vendée puis rejoint entre 1992 et 1994, le comité de direction. Il participe en 2001, à la création de la Banque Populaire Atlantique et en est nommé directeur général adjoint en 2002. En 2008, il prend les fonctions de directeur adjoint de la stratégie de la Banque Fédérale des Banques Populaires puis, en 2009, à la création du groupe BPCE, il est nommé directeur de la coordination banque commerciale et devient membre du comité exécutif de BPCE. Directeur général de la Banque Populaire du Sud-Ouest en 2010 puis de la Banque Populaire Aquitaine Centre Atlantique en novembre 2011, il devient en décembre 2018, membre du comité de direction générale de BPCE en charge du pilotage du projet d’intégration des métiers affacturage, cautions et garanties, crédit-bail, crédit à la consommation et activités de titres puis en avril 2019, en charge des solutions et expertises financières. Il est nommé en mai 2021, directeur général de la Banque Populaire Alsace Lorraine Champagne.
MARIA CAROLINA GRISERI, 43 ans, est nommée présidente du directoire chez Arkéa Banking Services. Elle entre au sein du groupe Crédit Mutuel Arkéa en 2003 chez Fortuneo où elle occupe diverses fonctions dans les domaines du marketing et du développement commercial puis en tant que chef de produit chez Federal Finance en 2008 puis devient deux ans plus tard responsable marketing et produits. Elle rejoint, en 2014, le pôle innovation & opérations du Crédit Mutuel Arkéa en tant que responsable offre & back-office produits bancaires. Elle est nommée en 2019, directrice du pilotage, des achats et de la relation clients au sein de ce même pôle.
JULIEN CARMONA, 50 ans, est nommé président du Crédit Mutuel Arkéa. Il entre à l’Inspection des finances en 1997 puis rejoint, en 2001, BNP Paribas avant d’être nommé, en 2004, conseiller économique du président de la République. Il devient, en 2007, membre du directoire et directeur financier du groupe Caisse d’Epargne (devenu BPCE). En 2009, il est recruté par SCOR SE en qualité de directeur général délégué et chief operating officer. Il entre en janvier 2014 chez Nexity en tant que directeur général adjoint chargé des finances, de la stratégie et du digital. Il était depuis 2017, directeur général délégué et mandataire social depuis 2018.
ANNE ARTHAUD, 54 ans, devient directrice stratégie, transformation, innovation et satisfaction clients chez LCL. Elle débute sa carrière en 1991 au Crédit Agricole Centre Est puis rejoint Predica, en 1995 et occupe jusqu’en 2009 les fonctions de responsable de région puis des marchés professionnels, responsable du marketing offre puis du multicanal. Elle évolue chez LCL en 2009 en qualité de responsable du département épargne jusqu’en 2012. Directrice de la relation client de Crédit Agricole SA à partir de 2013, elle intègre en 2015, les équipes de Crédit Agricole Assurances en tant que directrice développement et marketing en charge de la prévoyance et de l’assurance emprunteur.
ASSURANCE
VIRGINIE MAISONNEUVE, 56 ans, est nommée global CIO equity, membre du comité exécutif des investissements (basée à Londres) au sein d’AllianzGI. Après avoir débuté sa carrière au ministère des Affaires Etrangères en Chine, elle exerce, en 1987, comme gérante chez Martin Currie puis chez Batterymarch FM et chez State Street Research & Management. Entre 1998 et 2004, elle travaille chez Clay Finlay à New York avant de prendre la fonction de directeur de Schroders Investment Management North America en 2004 puis responsable gestion actions monde chez Schroders à Londres. Elle devient, en 2014, directeur adjoint des investissements et responsable mondiale de la gestion actions chez Pimco. Elle est, en 2016, directeur des investissements chez Eastspring puis fonde, en 2020, MGA Consulting.
MARIETTE BORMANN, 60 ans, nouvelle directrice juridique du groupe Covéa. Elle débute sa carrière au sein de cabinets de conseil notamment EY. Elle intègre la direction juridique d’Axa puis occupe les fonctions de secrétaire générale de Generali France, directrice juridique d’Astorg Partners (groupe Engie) puis de Malakoff Médéric avant de devenir directrice du pôle fonctions juridiques et supports de La France Mutualiste. Elle était, depuis 2016, directrice du pôle juridique, fiscal, distribution et conformité de la Fédération français de l’assurance
, (FFA).
Plus d'articles du même thème
-
Les actions restent plébiscitées dans les portefeuilles des gérants
Les actifs risqués pèsent toujours 51% des allocations du Panel, même si un tiers des gestions ont renforcé leur poids, pour un quart d'entre elles qui l’ont allégé. -
PARTENARIAT
Boom de l’IA, turbulence dans les semi-conducteurs et crise chez Apple : comment les géants de la tech se battent pour l’avenir
Des milliards de dollars sont injectés dans le développement et l'entraînement des modèles de langage, et les grands acteurs du cloud – Microsoft, Amazon, Google et Meta – ont relevé leurs budgets d'investissement à un niveau historique, entre 400 et 450 milliards de dollars par an. Mais que signifie cette course à l’innovation pour les investisseurs ? -
Boeing essaie de contourner la grève en cours dans ses activités de défense
Un mois après le début de ce conflit, l’avionneur a lancé le recrutement de salariés permanents pour assurer la continuité de sa production.
Sujets d'actualité

ETF à la Une

L'ETF d'Ark Invest, le casse estival de l'IPO de «Bullish»
- Le logement en France : une crise durable
- L’outil fiscal a un effet marginal sur l'expatriation des hauts patrimoines
- Andera officialise la cession de Patrimmofi à Vyv
- Le Médiateur de l’assurance alerte sur les «trous de garanties» lors des substitutions des couvertures emprunteurs
- Les ménages face au nouveau paradigme immobilier
Contenu de nos partenaires
-
Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
Wall Street clôture en baisse après des chiffres décevants de l'emploi américain
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). Nasdaq © Agence France-Presse -
Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse