
CARNET ACTIFS 796
BANQUE
VALÉRE BAUDSON, est nommée directrice générale adjointe de Crédit Agricole SA et membre du comité exécutif. Elle commence sacarrière en 1995 au sein de l’Inspection générale de la banque Indosuez puis intègre ensuite Crédit Agricole Cheuvreux en qualité de secrétaire générale puis directrice marketing Europe. Elle entre, en 2007, chez Amundi et supervise le métier ETF, Indiciel & Smart Beta qu’elle crée et développe depuis 2008. Membre du comité exécutif d’Amundi depuis 2013 et membre du comité de direction depuis 2016 en tant que directrice générale de CPR AM, elle était en charge, du pôle dédié aux clients distribution tiers et banques privées du groupe Amundi et supervisait les filiales d’Amundi en Allemagne et en Espagne. Elle est membre du conseil d’administration de CA Indosuez Wealth, membre du comité stratégique de l’Association française de la gestion financière (AFG) et président du collège investisseurs de Paris Europlace. Elle est directrice général d’Amundi.
JEAN GHEDIRA, 58 ans, est nommé directeur de la communication, du sponsoring et du secrétariat général de LCL. Il débute sa carrière en 1988 et occupe jusqu’en 1998, divers postes de directeur de cabinet au sein de collectivités territoriales, et auprès du ministre du Logement. Entre 1999 et 2008, il est directeur de la communication et des relations institutionnelles du groupe Keolis puis rejoint, la même année, le groupe SNCF où il exerce successivement les fonctions de directeur écomobilité et innovation SNCF Proximités, directeur régional SNCF Languedoc Roussillon, directeur Intercités SNCF Voyageur puis jusqu’en 2010celle de directeur général adjoint clients et services SNCF. En 2020, il retrouve le groupe Keolis en tant que directeur exécutif marketing et nouvelles mobilités.
MAYLIS COUPET, 39ans, devient directrice de la banque de grande clientèle, membre du comité exécutif de la BRED. Economiste à la direction générale du Trésor à partir de 2009, elle prend ensuite la responsabilité de la négociation européenne Solvabilité II puis rejoint l’Inspection des finances. Elle dirige entre 2010 et 2014 le bureau des marchés financiers de la direction générale du Trésor puis intègre, la même année, la Société Générale en qualité d’inspectrice principale. Elle devient, banquier conseil en charge d’un portefeuille de grandes entreprises et d’ETI en 2017.
ALBAN SARTORI, 45 ans, entre à la BRED en qualité de directeur des ressources humaines, membre du comité exécutif. Après diverses fonctions au sein de L’Oréal et Saint-Gobain en 2016, il exerce comme responsable de la formation chez BNP Paribas Personal Finance. Il y dirige, en 2009, le pôle compétences puis devient responsable du pôle staffing & carrières de 2010 à 2012. Il est en 2013, directeur ressources humaines pour la fonction informatique.
ANDRÉA JOSS est nommée membre du directoire en charge du pôle finances de la Caisse d’Epargne Rhône-Alpes. Elle rejoint l’Inspection générale du groupe BPCE en 2004 puis devient, en 2010, directrice finances et juridique à la Banque Populaire Atlantique puis directrice des risques et de la conformité en 2016. Elle exerçait en dernier lieu comme directrice des ingénieries au sein de la Banque Populaire Grand Ouest.
PHILIPPE CHUPIN, 40ans, nouveau président du conseil de surveillance d’Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels. Il exerce diverses fonctions au sein de la Chambre d’agriculture des Côtes d’Armor entre 2005 et 2015, puis rejoint la même année la filiale française du groupe danois DanBred dont il est aujourd’hui directeur de DanBred France. Impliqué dans la gouvernance du groupe Crédit Mutuel Arkéa en tant que membre en 2008 puis président depuis 2013 du conseil d’administration. Il est membre du conseil d’administration de la Fédération du Crédit Mutuel de Bretagne depuis 2016, dont il intègre le bureau un an plus tard avant de rejoindre le conseil d’administration du groupe Crédit Mutuel Arkéa en 2020. Il était depuis 2018, membre du conseil de surveillance d’Arkéa Ban Entreprises et Institutionnels.
ASSURANCE
RODOLPHE PACHOT, 42 ans, nouveau directeur marketing et digital de Generali France. Chef de projet MOA au sein du groupe La Poste en 2002, il est nommé, en 2005, directeur de projet marketing à La Banque Postale. Il rejoint en 2010, le groupe Allianz où il exerce divers postes à responsabilités au sein du marketing et du digital en tant que directeur marketing relationnel & digital et directeur e-business development. Il exerçait, depuis 2019, en qualité de directeur de la marque, de la publicité, des médias sociaux et du sponsoring d’Allianz France.
GAËLLE MALLEJAC, est nommée directrice des gestions assurances et solutions d’ALM, membre du comité exécutif d’Ostrum Asset Management. Forte de vingt-cinq ans d’expérience dans la gestion d’actifs, Gaëlle Malléjac exerce ausein de l’équipe de gestion taux de la Banque Financière Groupama de 1994 à 1997 puis rejoint Groupama Asset Management en qualité de gérante assurantielle taux. Elle évolue, entre 2002 et 2011, aux postes de responsable gestion taux institutionnelle puis responsable gestion taux et crédit puis est nommée en 2012, directrice des gestion taux, en charge de la gestion crédit, de la gestion taux directionnel et aggregate, et de la gestion monétaire. Elle était, depuis octobre 2015, directrice des investissements, gestions actives, en charge des gestions taux, actions et convertibles, multi-asset et de l’ingénierie financière. A ce titre, elle était également membre du comité de direction de Groupama Asset Management.
IMMOBILIER
CAPUCINE GUEUGNIER, 28 ans, est nommée gestionnaire d’actifs chez Nuveen Real Estate. Elle entame sa carrière en audit chez EY puis en asset management chez DTZ Investors. Elle passe ensuite deux ans chez Gecina puis rejoint le Graduate Program pour ensuite intégrer les équipes d’asset management de la direction bureau.
JONATHAN AZOULAY, 41 ans, est nommé directeur général adjoint – asset management d’Atland Voisin. Il était précédemment directeur général délégué de Foncière Atland REIM depuis 2019.
CHARLES TOULAT, 46ans, directeur général délégué de Foncière Atland REIM. Il exerce également la fonction de directeur général délégué d’Atland Résidentiel.
CÔME FRANÇOIS est nommé directeur de l’asset management d’Arkéa Real Estate. Il rejoint Unibail en 2007 en tant qu’analyste avant de devenir gestionnaire d’actifs puis gestionnaire d’actifs senior. Responsable adjoint de la gestion d’actifs et des investissements au sein du département bureaux & hôtels, il est nommé en 2015, responsable des investissements du département retail en France et rejoint le comité de direction France. Il était dernièrement, VP development Europe et membre du comité exécutif chez Colonies créée en 2017.
AUDIT/CONSEIL
ALEXIS FONTANA, 28ans, nouveau senior manager transaction services de BDO France. Il exerce au sein de fonds d’investissement tels que LFPI et Enko Capital puis devient manager du département transactions services d’EY.
MARIE GUILLEMOT est nommée présidente de KPMG France. Elle entre chez KPMG en 2005. Spécialiste des secteurs technologies-media-télécoms, elle accompagne depuis près de trente ans, en audit et en conseil, de grands groupes internationaux et des sociétés de croissance. Elle conduit, depuis 2016, la stratégie de développement du marché des grands comptes et depuis 2017, en tant que membre du comité exécutif de KPMG. Elle devient également membre du Global board de KPMG International et présidente de la Fondation KPMG.
SÉBASTIEN DECLERCQ, 51 ans, devient partner pour animer la practice banque de détail en France d’Oliver Wyman. Il intègre en 1997, AT Kearney France dont il est en 2006, partner. Il exerce entre 2010 et 2016 comme président et managing partner de Kearneyen France. Il était depuis juin 2019, à la tête du cabinet Montabor qu’il a créé.
SOCIÉTÉ DE GESTION
ETIENNE GORGEON, 49ans, est nommé gérant de portefeuille, membre du comité d’investissement de Sanso Investment Solutions. Analyste crédit high yield à la Caisse des Dépôts et Consignations en 1997, il exerce ensuite chez Edmond de RothschildAsset Management en tant que directeur des investissements de l’activité obligataire puis chez TikehauCapital à partir de 2012, en qualité de directeur des stratégies liquides.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse