
CARNET ACTIFS 756
LEAD
AVOCATS
FRANKLIN
MICHEL SAPIN rejoint le cabinet Franklin en qualité de senior advisor. Il débute sa carrière au tribunal administratif de Paris avant de devenir député de la première circonscription de l’Indre entre 1981 et 1986, député des Hauts-de-Seine jusqu’en 1991 et à nouveau député de l’Indre de 2007 à 2012. Ministre délégué à la Justice de 1991 à 1992 puis ministre de l’Economie et de Finances jusqu’en 1993, il devient, entre 2000 et 2002, ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l’Etat puis ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue social de 2012 à 2014. Ministre des Finances et des Comptes publics jusqu’en 2016, il devient ministre de l’Economie et des Finances de 2016 à 2017. Il a par ailleurs exercé comme maire d’Argenton-sur-Creuse de 1995 à 2012 ainsi que président du conseil régional du Centre de 1998 à 2000 et de 2004 à 2007.
CARNET
AVOCATS
EY France
LIONEL BENANT, 55 ans, prend la responsabilité de l’activité juridique pour la France en tant que managing partner d’EY France. Après un début de carrière chez Arthur Andersen en 1988, il est nommé associé en 1997 puis rejoint EY société d’avocats en 2002 lors de la fusion des deux cabinets. Avocat fiscaliste, il a plus particulièrement développé une expertise dans le domaine de la transaction ainsi que des projets de réorganisations post-acquisitions.
LINKLATERS
PIERRE GUILLOT est nommé associé chez Linklaters. Il exerce pendant sept ans au sein du département droit public de Linklaters Paris puis travaille en tant que directeur de projets en charge des affaires juridiques au sein de Fin Infra, la Mission d’appui au financement des infrastructures, rattachée à la direction générale du Trésor.
JURIDIQUE
LEGALPLACE
GATIEN AUJAY est nommé responsable SEO de LegalPlace. Expert reconnu sur le secteur, il a exercé au sein de QIMA, Inspirational Stores, Le Figaro, Car&Boat Media et la place de marché européenne ManoMano où il était head of SEO.
INSTITUTIONS
AUTORITE DE LA CONCURRENCE
SARA DARLEY-REYGNER est nommée adjointe auprès du chef du service des concentrations de l’Autorité de la Concurrence. Elle intègre l’Autorité de la concurrence en février 2011 en qualité de rapporteure puis rejoint, en 2016, le service des concentrations où elle travaille sur divers dossiers importants.
GESTION D’ACTIFS
AXIOM ALTERNATIVE INVESTMENTS
BEDIS GHARBI, est nommé gérant de portefeuille (basé à Londres), Axiom Alternative Investments. Il démarre sa carrière en 1999 chez SG Capital Markets dans le département de crédit exotique où il est en charge de la gestion du portefeuille des corrélations de crédit et du trading de CS. Il occupe ensuite la fonction de responsable du desk de corrélations et DVA chez RBC Capital Markets entre 2005 et 2007 avant de devenir gérant de portefeuille crédit de SPQR Capital. En charge de la gestion du portefeuille des corrélations de crédit à la Deutsche Bank en 2009, il est nommé, en 2015, responsable des fonds crédit chez RiverRock à Londres.
EDMOND DE ROTHSCHILD ASSET MANAGEMENT
FIONA SOUTHALL prend en charge les relations Investisseurs des actifs réels d’Edmond de Rothschild Asset Management. Elle commence sa carrière en 2000 chez Arthur Andersen/Ernst & Young comme consultant avant de rejoindre, en 2003, le Institutional Client Coverage group à Merrill Lynch où elle est en charge du segment insurance/pension. Elle intègre en 2006 AXA Investment Managers et occupe diverses fonctions notamment dans l’équipe product specialist multi-asset puis dans celle des relations investisseurs de real assets.
DORVAL ASSET MANAGEMENT
JEAN-FRANCOIS BARALON intègre Dorval Asset Management en qualité de directeur général. Il exerçait précédemment en tant qu’executive managing director en charge de la distribution de Natixis Investment Managers International pour la France, la Belgique, le Luxembourg, Genève et Monaco.
AUDIT
PWC
CECILE DE LASTEYRIE SCHERK, 48 ans, est nommée directrice commerciale et marketing chez PwC France et Afrique francophone. Elle commence sa carrière chez PricewaterhouseCoopers en 1996 en tant qu’auditeur spécialisée dans le secteur bancaire. Elle rejoint en 2001, Barep Asset Management comme responsable de l’audit interne puis du marketing et de la communication. Recrutée par Dexia Asset Management en 2005, elle occupe diverses fonctions notamment celle de directrice marketing et communication et de directrice commerciale France. Elle intègre en 2014, la Société Générale pour prendre la direction marketing de la banque privée internationale puis pour gérer un projet de marketing stratégique auprès de la direction générale du groupe.
ANNE-SOPHIE SIBOUT, 37 ans, devient directrice de la communication de PwC France et Afrique francophone. Chargée de mission mécénat, sponsoring et relations publiques chez Accord en 2004 puis attachée de presse en 2006, elle devient, en 2008, responsable relations presse et communication externe d’Accor France. Elle rejoint, en 2010, le groupe Edenred et y exerce la fonction de directrice relation presse puis celui de directrice relations presse et communication interne en 2011 et directrice de la communication en 2014.
SOCIETE D’INVESTISSEMENT
PIERRE VAURICE devient responsable de la recherche de Midcap Partners. Il exerce la fonction d’opérateur de surveillance aérienne dans l’Armée de l’Air française durant une dizaine d’années puis rejoint Oddo Midcap. Il exerçait depuis octobre 2015 au sein de l’équipe d’analyse de Midcap Partners.
CHARLES-LOUIS PLANADE est nommé partner chez Midcap Partners. Il débute sa carrière en 1999 à New York comme vendeur actions puis de retour en France en 2001, il cofonde GoodGame une startup cédée en 2003. Après avoir exercé chez Seventure, il entre chez Arkeon Finance en 2005, comme analyste financier puis responsable de l‘équipe en charge du suivi des secteurs des jeux vidéo et de l’environnement.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse