
CARNET ACTIFS 754
LEAD
GESTION D’ACTIFS
HSBC GLOBAL ASSET MANAGEMENT
NICOLAS MOREAU, 54 ans, est nommé directeur général d’HSBC Global Asset Management.
Auditeur chez Arthur Andersen en 1988, il rejoint le groupe Axa en 1991 et y exerce les fonctions de vice-président au sein de la direction centrale finance du groupe en 1994, directeur des opérations en 2000, directeur général en 2002 puis président non exécutif d’Axa Investment Managers. Directeur général group d’Axa UK plc en 2006 et membre du comité de direction du groupe depuis 2010, il est la même année, directeur général France en charge de la supervision des entités internationales Axa Assistance et Axa global direct en 2012. En parallèle il est président de l’association Assureurs prévention en 2014. Membre du management board de Deutsche Bank il devient responsable de Deutsche AM basé à Londres en 2016.
LEAD
GESTION PRIVEE
SWISS LIFE GESTION PRIVEE
ERIC BLEINES est nommé directeur général de Swiss Life Gestion Privée. Il débute sa carrière comme commis de bourse chez Meeschaert-Rousselle en 1986. En poste au sein de la filiale new-yorkaise du CCF, gérant de portefeuille actions au sein du CCF à Paris en 1991, il exerce ensuite chez Indosuez Asset Management, Crédit Agricole et CCR Actions. Co-directeur de l’équipe actions de CCR AM, il devient directeur des gestions chez UBS AM France. Il exerce en 2017 comme directeur de la gestion actions de Swiss Life Banque Privée, fonction qu’il conserve.
CARNET
GESTION D’ACTIFS
AVIVA INVESTORS France
ERIC CHATRON devient gérant quantitatif actions au sein de l’équipe de gestion actions euro d’Aviva Investors France. Il entame sa carrière à New York en 1997 comme analyste quantitatif chez RG Niederhoffer Capital Management. De retour à Paris en 1998, il occupe le poste de gérant obligataire et devises chez State Street Global Advisors. À partir de 2004, il gère des portefeuilles actions européennes.
ASSURANCES
SOGECAP
PHILIPPE HEIM devient président du conseil d’administration de Sogécap. Il débute sa carrière en 1997 au ministère de l’Economie et des Finances où il occupe divers postes avant de devenir conseiller économique à l’Ambassade de France à Singapour. Nommé conseiller technique du ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie en 2003, il devient l’année suivante conseiller budgétaire de Nicolas Sarkozy puis est promu directeur de cabinet en 2006 du ministre du Budget et Porte-Parole du gouvernement. Il entre à la Société Générale en 2007 en tant que banquier conseil en charge de la relation mondiale avec un portefeuille de clients stratégiques au sein de SG CIB. Directeur de la stratégie du groupe en 2009, il exerce en avril 2012, la fonction de directeur adjoint financier du groupe et directeur de la stratégie. Directeur financier du groupe en mars 2013 et membre du comité exécutif du groupe, il prend en mai 2018, la fonction de directeur général délégué de Société Générale.
MARIE-CHRISTINE DUCHOLET est nommée administratrice de Sogécap. Elle intègre la Société Générale en 1985 et exerce entre 1990 et 2001 différentes fonctions commerciales au sein des activités de financements structurés en immobilier et matières premières. En 2001, elle rejoint le département des financements d’acquisitions stratégiques de la banque de financement et d’investissement où elle est en charge d’un portefeuille de clients français et espagnols puis prend la responsabilité de l’ensemble des activités européennes. Co-responsable des financements stratégique et d’acquisition sur le plan mondial en 2008, elle rejoint, en avril 2011, la direction de Société Générale Equipment Finance dont elle devient directeur général en octobre de la même année. Responsable de la relation clients de la banque de détail en France en 2017, elle accède en juin 2019, au poste de directrice de la banque de détail Société Générale en France.
ANNE MASCLE-ALLEMAND est nommée administratrice de Sogécap. Elle rejoint, en 1998, la direction des affaires comptables de Société Générale où elle est responsable de la production des ratios prudentiels jusqu’en 2003 avant d’intégrer le programme Bâle 2 pour le compte de la direction financière jusqu’en 2007. Responsable des provisions au sein de la direction des risques jusqu’en 2011, elle est nommée, la même année, directrice financière adjointe du pôle des services financiers spécialisés. Pour finir, elle est nommée en 2013, directrice financière des réseaux bancaires internationaux Russie.
SOCIETE DE GESTION
KARAKORAM
PETER FORNELLI, 46 ans, est nommé co-gérant chez Karakoram. Il dispose d’une expérience reconnue sur les marchés actions et plus particulièrement sur les opérations intra-days où il opère depuis plus de vingt ans.
CORUM
ALEXIS TRIGAUT devient directeur des relations institutionnelles de CORUM. Banquier privé pour les dirigeants d’entreprises au sein de la banque BNP Paribas, il rejoint CORUM en 2015 pour lancer et développer la commercialisation en directeur des produits immobiliers CORUM Origin et CORUM XL et le crédit aux entreprises CORUM Eco auprès des particuliers
AMPLEGEST
SANDRA LUISintègre Amplegest en qualité de commerciale. Elle exerçait précédemment chez Société Générale Corporate & Investment Banking au sein du pôle adequity, la gamme de produits structurés dédiée aux conseillers en gestion de patrimoine indépendants (CGPI).
TIKEHAU IM
GUILLAUME SPINNER, 45 ans, est nommé directeur des opérations de Tikehau IM. Il commence sa carrière chez Archon group (Goldman Sachs) en 1998 puis rejoint entre 2003 et 2017, AXA IM Real Assets comme directeur financier des fonds puis directeur financier. Il occupe ensuite la fonction de responsable de la gestion des fonds chez Aviva Investors Real Estate France puis celle de directeur au sein d’un family office.
ASSURANCE
AXA France
ESTELLE GUYON ABINAL est nommée secrétaire général d’AXA France. Elle entre chez AXA France en 2005 comme directrice juridique corporate finance et poursuit son parcours au sein de l’audit interne avant de prendre la responsabilité du secrétariat général d’AXA Particuliers et IARD Entreprises en septembre 2014.
AVOCATS
ALLEN & OVERY
ANTOINE SARAILLER, 43 ans, renforce les activités en fonds d’investissement d’Allen & Overy en qualité d’associé. Avocat au barreau de Paris depuis 2003, il exerce comme collaborateur du cabinet Gide Loyrette Nouel pendant près de dix ans. Il entre en 2012 chez Dechert llp comme associé au sein du groupe services financier à Paris.
GESTION DE FORTUNE
NATIXIS WEALTH MANAGEMENT
AUDREY KOENIG, 45 ans, est nommée directeur général délégué de Natixis Wealth Management. Conseiller en gestion de patrimoine à la Banque Populaire en 1997 puis banquier privé CIC entre 2000 et 2001, elle intègre la même année la Banque Privée Saint-Dominique, devenue Banque Privée 1818 puis Natixis Management en 2017 et y exerce successivement les postes de banquier privé – gestion de fortune, directeur du développement – gestion de fortune et directeur de la gestion de fortune.
PHILIPPE GUENET, 50 ans, devient directeur général des implantations de la banque au Luxembourg et en Belgique de Natixis Wealth Management. Auditeur au département inspection de la CNCM (Confédération Nationale du Crédit Mutuel) en 1994, il rejoint, en 1997, le groupe IONIS en tant que responsable de l’audit interne puis responsable de la valorisation des OPC et des portefeuilles institutionnels. Il exerce, à partir de 2001, diverses fonctions dans plusieurs entités de Natixis: responsable des risques et de la compliance puis directeur administratif chez Vega Finance, directeur de la production bancaire à La compagnie 1818, secrétaire général chez Sélection 1818 puis COO au sein de Natixis Wealth Management.
LOMBARD ODIER
DR CHRISTOPHER KAMINKER est nommé head of sustainable investment research & strategy, de Lombard Odier. Economiste en chef et conseiller stratégique en financement durable au sein de l’Organisation de coopération et de développement économiques puis représentant de l’OCDE comme délégué au G20 et au conseil de stabilité financière. Il exerce ensuite dans le domaine de la banque d’affaires à la Société Générale et chez Goldman Sachs puis rejoint la Skandinaviska Enskilda Banken (SEB) en qualité de head of sustainable finance research et senior advisor.
EBBA LEPAGE devient head of corporate sustainability au sein de Lombard Odier. Elle mène toute sa carrière dans un environnement international, basée à New York, Montréal, Monaco, Londres et Stockholm. Elle évolue au sein du corporate finance, de l’investment banking, de l’asset management et ces cinq dernières années, plus précisément dans l’innovation en matière de durabilité. Elle exerçait en tant que group vice president, M&A et corporate finance chez Stora Enso.
BANQUE D’AFFAIRES
GCA ALTIUM
GARY KURTZ, 32 ans, est nommé senior vice president de GCA Altium. Il commence sa carrière au sein de Bucéphale Finance en 2011 avant de rejoindre la banque Oddo BHF fin 2014.
IMMOBILIER
GECINA
ROMAIN VEBER, 40 ans, devient directeur exécutif investissement & développement de Gecina. Après un début de carrière en 2004 chez Morgan Stanley puis au sein de MGPA comme head of acquisition France en 2006, il intègtre, en octobre 2011, à Londres, le fonds souverain norvégien Norges Bank Investment Management en qualité de gestionnaire de portefeuille, en charge des investissements immobiliers sur le marché français, notamment parisien. Il se voit confier, en septembre 2017, la fonction de chief investment officer Europe pour l’immobilier.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse