
CARNET ACTIFS 699
ASSURANCE
GENERALI
PHILIPPE PROTAISest nommédirecteur de la souscription risques entreprises au sein de l’univers clients entreprises segment dommages de Generali.
Inspecteur Iard au sein des assurances du groupe de Paris (AGP) en 1983, il devient, en 1985, adjoint du directeur de la succursale courtage, en charge du développement et de la souscription Iard. Il entre chez Axa en 1989 en qualité de responsable d’un service de souscription risques des professionnels et entreprises, puis intègre en 1991 Generali France comme souscripteur entreprise avant de devenir responsable régional souscription entreprise en 2001. Il était, depuis 2010, directeur souscription Iard professionnels.
FRANCOIS CHAUMEL, 35 ans, est nommé directeur de la souscription Iard au sein de l’univers clients Pro-PE de Generali.
Il débute sa carrière chez Axa en tant qu’auditeur interne puis chargé d’études actuarielles auto. Il entre chez Generali France en 2007 comme responsable d’études actuarielles embedded value avant de d’être nommé manager du service consolidation de la valeur. Responsable du département inventaire vie en 2013 puis responsable du département études techniques vie du marché des professionnels et petites entreprises en 2015, il exerçait, depuis 2016, en qualité de chief data scientist, responsable du département valeur client et impact tarifaire.
BERNARD DUTERQUE, 54 ans, devient directeur de la souscription des risques spécialisés chez Generali.
Inspecteur commercial à la Réunion Européenne en 1989, il rejoint en 1992 Vespieren comme responsable adjoint puis responsable du département transport. Il est, entre 1996 et 1997, responsable de la branche transport de RHH (devenu Aon) avant d’intégrer Gen Re en tant que souscripteur facultative transports. Il entre chez Generali en 2011 en qualité de directeur de la branche transport (sinistres et souscription) puis directeur des lignes spécialisées auxquelles est rattaché aujourd’hui le cyber-risque depuis 2013.
SYLVIE PERETTI, 53 ans, est nommée directrice des relations humaines, membre du comité exécutif de Generali.
Elle entame sa carrière en 1987 chez groupe Framatome (devenu Areva) comme juriste en droit du travail puis comme chargée de recrutement et de formation. Après avoir occupé des fonctions de responsable RH puis d’adjointe de directeur d’établissement, elle prend la responsabilité du service gestion des personnels ainsi que celle de directrice du projet de refonte des SIRH du groupe. Elle entre en 2000 au sein du groupe Valeo en qualité de DRH de l’établissement d’Issoire puis est nommée en 2002 DRH du groupe agroalimentaire Madrange. Elle retrouve le groupe Areva en 2004 en tant que DRH de la business unit équipement puis en tant que DRH de l’établissement de La Hague et occupe ensuite conjointement les fonctions de directrice de la politique sociale du groupe et de DRH France. Elle rejoint en 2012 le groupe Lafarge France en qualité de directrice des ressources humaines et crée la direction de l’organisation et des ressources humaines.
SOCIÉTÉ DE GESTION
LA FRANÇAISE
NINA LAGRON est nommée senior portfolio manager de La Française.
Elle occupe différentes fonctions dont celle de gérante actions émergentes chez Amundi pendant près de sept ans, en charge des zones Europe, Moyen-Orient et Afrique, et pendant deux ans comme cogérante du fonds GemEquity chez Gemway Assets.
CAPITAL-INVESTISSEMENT
IDI
JONAS BOUAOULI, 24 ans, devient analyste chez IDI.
Il bénéficie d’expérience au sein des équipes d’investissement de JPMorgan et d’AltaFund.
GESTION D’ACTIFS
NATIXIS AM
VALERIE DERAMBURE, 52 ans, est nommé directrice générale déléguée en charge des finances et opérations de Natixis AM.
Après avoir commencé sa carrière chez Deloitte Audit en 1986, elle intègre le groupe CPR fin 1988 comme chef de projet puis en tant que responsable du contrôle de gestion. Nommée directrice financière de la filiale américaine du groupe à New York en 1994, elle exerce ensuite la fonction de directrice du contrôle de gestion au CIC Paris puis chez CDC Ixis Capital Markets. Elle entre chez Natixis en 2004 en qualité de directeur du contrôle de gestion puis directeur financier adjoint. Nommée directeur de l’organisation et de l’efficacité opérationnelle en 2009, elle rejoint en 2011 la Banque Privée 1818 comme directeur général adjoint en charge des finances, des risques, des ressources humaines et du secrétariat général.
IBRAHIMA KOBAR, 53 ans, est promu directeur général délégué en charge de l’activité gestion tauxde Natixis AM.
Il entame sa carrière en 1989 comme statisticien au service des études économiques bancaires et financières de la Société Générale. Il rejoint en 1991 la Midland Bank en tant qu’actuaire/gérant de taux puis intègre en 1994, Ixis AM en qualité de gérant de portefeuilles assurance au sein du département de gestion obligataire. Il devient en 1998 responsable de a gestion assurance et de la gestion dérivés et produits structurés puis directeur de la gestion obligataire et membre du comité exécutif en 2007. Il est nommé en 2010 directeur de la gestion taux de Natixis AM et codirecteur des gestions de en charge des taux en 2012.
NATIXIS AM ASIA
CHOU CHONG est nommé responsable de la gestion des actions asiatiques chez Natixis AM Asia.
Il passe l’essentiel de sa carrière chez Aberdeen AM. Il débute à Singapour en 1994 comme analyste-gérant sur les actions asiatiques puis devient responsable des actions australiennes à Sydney en 2001 et responsable des actions paneuropéennes et des marchés développés hors Asie en 2002 à Londres. De retour à Singapour en 2008, il codirige une équipe de quarante personnes en qualité de responsable des investissements.
IM GLOBAL PARTNER
PHILIPPE SENECHAULT, 36 ans, est nommé responsable des risques, des systèmes d’information et de la conformité pour l’Europe d’iM Global Partner.
Il exerce pendant deux ans à la structuration de produits chez Edmond de Rothschild Financial Services puis deux ans en tant que gérant de fonds structurés. Il intègre ensuite Edmond de Rothschild IM comme responsable de la modélisation et de la gestion des fonds structurés. Il rejoint Ellipsis AM (société de gestion du groupe Exane) où il est responsable des risques et devient trois ans plus tard responsable des systèmes d’information en complément de la gestion des risques.
PIMCO
GREGORY HALL est nommémanaging director et responsable des stratégies privées de Pimco.
Il commence sa carrière comme analyste financier chez Goldman Sachs puis rejoint Blackstone avec pour mission d’identifier et financer de nouveaux fonds d’investissement et d’acquérir des intérêts minoritaires et développer des partenariats stratégiques avec des sociétés de gestion d’actifs établies. Il était dernièrement senior managing director chez Blackstone Alternative AM.
CONSEIL
TWELVE CONSULTING
SADIK FILIPOVIC, 40 ans, arrive au sein de Twelve Consulting comme associé opérationnel.
Chargé d’études chez Mondial Assistance de 1998 à 2000, il devient, en 2001, senior consultant chez Seris Conseil jusqu’en 2005. Entre 2006 et 2013, il occupe les postes de manager puis de partner chez CSC en charge du secteur assurance en France. Il rejoint Ailancy en 2014 comme associé en charge du secteur assurance.
ROLAND BERGER
JEAN-MICHEL CAGIN, 47 ans, devient partner au sein des practice private equity et technologies/digital chezRoland Berger.
Il dispose de vingt-cinq ans d’expérience en conseil auprès des directions générales. Il exerce dans divers cabinets internationaux entre 1994 et 2004, date à laquelle il rejoint OC&C Strategy Consultants à Paris où il devient associé.
AVOCAT
DWF FRANCE
ROMAIN DUPEYRE est nommé associé chez DWF.
Il commence sa carrière en 2006 chez Dechet puis intègre en 2008, le cabinet BOPS où il exerce comme associé en 2013.
INSTITUTIONS
MIDDLENEXT
NATHALIE ROUVET LAZARE, rejoint le conseil d’administration de Middlenext en tant qu’administrateur.
Après un parcours en entreprise avec des responsabilités en stratégie, marketing, communication et développement puis une expérience entrepreneuriale via la création d’une société de conseil en marketing, elle dirige, depuis fin 2013, Coheris après avoir été administrateur indépendant en septembre 2011.
IMMOBILIER
AXA IM-REAL ASSETS
NATHALIE SAVIER LACOUR est nommée senior development manager, France d’Axa Investment Managers-Real Assets.
Elle débute sa carrière en 1998 en tant que chargée de développement et responsable de programme logement dans une société familiale de promotion immobilier puis rejoint le département immobilier d’entreprise financial services chez PWC Landwell. Responsable puis directrice de programmes tertiaires chez Cogedim, elle occupe pendant cinq ans la fonction de directrice du développement en immobilier d’entreprise chez Sefri-Cime puis devient directrice du développement chez Nexity Entreprise en 2015.
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Japon : le prince Hisahito, seul héritier masculin, célèbre sa majorité
Tokyo - Le Japon a célébré samedi l’entrée dans l'âge adulte du prince Hisahito, seul jeune héritier masculin au trône, sur les épaules duquel repose l’avenir de la famille impériale. Le neveu de l’empereur Naruhito, deuxième dans l’ordre de succession après son père, a reçu une coiffe traditionnelle faite de soie noire et de laque, symbolisant sa maturité, lors de la cérémonie officielle au palais impérial de Tokyo. «Je m’acquitterai de mes devoirs, conscient de mes responsabilités en tant que membre adulte de la famille impériale», a déclaré le prince, portant le costume jaune traditionnel des mineurs, devant l’empereur Naruhito et l’impératrice Masako. Il a ensuite revêtu un vêtement sombre réservé aux membres adultes de la famille royale, avant de monter à bord d’une calèche pour assister à la suite de la cérémonie. Le jeune étudiant fêtait ses 19 ans samedi. Il est devenu majeur à ses 18 ans, mais la cérémonie a été retardée d’un an pour lui permettre de terminer ses études secondaires. Il est le fils unique du prince Akishino, 59 ans, frère de l’empereur Naruhito, 65 ans, et de la princesse Kiko, 58 ans. La famille impériale ne détient aucun pouvoir politique mais conserve une forte valeur symbolique au Japon. Succession en question La princesse Aiko, 23 ans, fille unique de Naruhito, ne peut pas succéder à son père selon une règle en vigueur depuis 1947, car elle est une femme, une disposition critiquée par un comité de l’ONU. Pourtant, neuf japonais sur dix sont favorables à ce qu’une femme puisse accéder au trône, selon un sondage de l’agence de presse Kyodo. «Pour moi, cela ne fait aucune différence qu’une femme ou un homme devienne empereur», a déclaré à l’AFP Yuta Hinago, barman à Tokyo. «Le genre n’a pas d’importance», a renchéri Minori Ichinose, 28 ans, vendeuse, ajoutant soutenir l’idée d’une impératrice. La question de la succession royale agite le Japon depuis des décennies. En 2005, un comité gouvernemental avait recommandé que celle-ci revienne à l’enfant aîné, quel que soit son sexe. Cette décision semblait ouvrir la voie à la fille de l’empereur, mais la naissance de Hisahito l’année suivante avait mis fin au débat. Selon la religion shinto, les empereurs du Japon descendent de la déesse du soleil, Amaterasu, et la légende fait remonter leur lignée à plus de 2.600 ans. Après la défaite du Japon à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, l’occupant américain avait maintenu l’institution pour préserver la cohésion nationale. Les traditionalistes estiment que la «lignée impériale ininterrompue» masculine est le fondement du Japon, et qu’un changement diviserait le pays. Femmes sous pression Historiquement, les épouses des membres de la famille royale ont subi une pression intense pour donner naissance à des fils. L’impératrice Masako, ancienne diplomate de haut rang, a longtemps souffert d’une maladie liée au stress après avoir intégré la famille royale, attribuée par certains à la pression d’avoir un garçon. La sœur de Hisahito, Mako, a épousé son petit ami d’université et développé un syndrome de stress post-traumatique en raison de l’intérêt intense de la presse à scandale pour sa belle-famille. Le couple vit désormais aux États-Unis, où ils ont eu un bébé. Lorsqu’elles se marient, les femmes de la famille royale sont contraintes de quitter leur famille. Pour moderniser l’institution, une proposition prévoit qu’elles puissent continuer à exercer leurs fonctions publiques après leurs noces. Les conservateurs, eux, font plutôt pression pour que la famille royale réintègre des parents éloignés masculins. Mais il n’est pas certain que ces hommes soient prêts à renoncer à leur liberté pour perpétuer la lignée. Hiroshi HIYAMA © Agence France-Presse -
Australie : attaque mortelle de requin sur un surfeur à Sydney, plages fermées
Sydney - Un «grand requin» a tué un surfeur samedi sur une plage populaire de Sydney, a annoncé la police, une attaque mortelle rare qui a entraîné la fermeture de plusieurs plages en Australie. La victime, un habitant de 57 ans, surfait avec cinq ou six amis dans les eaux du Pacifique, au large des plages voisines de Long Reef et Dee Why, au nord de Sydney, ont précisé les autorités. Ce surfeur expérimenté, marié et père d’une jeune fille, a perdu «plusieurs membres», a déclaré le responsable de la police de l’Etat de Nouvelle-Galles du Sud, John Duncan, lors d’une conférence de presse. «D’après ce que je comprends, lui et sa planche ont disparu sous l’eau», a-t-il ajouté. «Le corps a été retrouvé flottant dans les vagues» et «la planche du surfeur a été brisée en deux». Deux surfeurs l’ont aperçu dans l’eau et l’ont ramené à terre. «Malheureusement, à ce moment-là, il avait déjà perdu énormément de sang, et les tentatives de réanimation ont échoué», a poursuivi M. Duncan. Des témoins ont vu le squale, a indiqué la police, qui avait évoqué auparavant un «grand requin». Des experts gouvernementaux examineront les restes de la planche et le corps de la victime afin de déterminer l’espèce du requin, a indiqué la police. La plupart des morsures graves en Australie proviennent de grands requins blancs, de requins-bouledogues et de requins-tigres. Des images diffusées par les médias locaux montraient des policiers rassemblés sur le rivage et des ambulances garées à proximité. Les plages situées entre les quartiers nord de Manly et Narrabeen ont été fermées pour au moins 24 heures, a indiqué Surf Life Saving NSW, branche locale d’un réseau de clubs de sauveteurs bénévoles et professionnels. «Terrible tragédie» «Pour le moment, merci de rester hors de l’eau sur les plages environnantes et de suivre les consignes des maîtres-nageurs et sauveteurs», a déclaré le directeur général de l’organisation, Steven Pearce. «Nous adressons nos plus sincères condoléances à la famille de l’homme touchée par cette terrible tragédie». Les clubs de sauvetage voisins ont annulé toutes les activités et entraînements nautiques pour le week-end. Des drones et des sauveteurs sur des jets skis surveillaient les plages à la recherche de la présence de requins. Il s’agit de la première attaque mortelle de requin à Sydney depuis 2022, lorsque Simon Nellist, un moniteur de plongée britannique de 35 ans, avait été tué au large de Little Bay. La précédente attaque fatale dans la ville remontait à 1963. Un surfeur anonyme a déclaré au Sydney Daily Telegraph avoir été témoin des suites de l’attaque : «Quatre ou cinq surfeurs l’ont sorti de l’eau et il semblait qu’une partie importante de la partie inférieure de son corps avait été attaquée», a-t-il dit. Les gens ont été sommés de sortir de l’eau, a-t-il raconté. «Il y avait un sauveteur qui agitait un drapeau rouge. Je ne savais pas ce que cela signifiait... mais j’ai pensé que je devais probablement rentrer à terre». La dernière attaque mortelle en Australie remonte à mars, lorsqu’un surfeur avait été tué au large de la plage isolée de Wharton Beach, en Australie-Occidentale. Depuis 1791, plus de 1.280 incidents impliquant des requins ont été recensés en Australie, dont plus de 250 mortels, selon une base de données sur les rencontres entre ces squales et les humains. David WILLIAMS © Agence France-Presse