
Benetton et Blackstone prolongent leur OPA sur Atlantia
Malgré un taux d’acception légèrement inférieur au seuil de 90% visé, les deux acquéreurs ont confirmé leur intention de finaliser la transaction.
Yves-Marc Le Réour

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La période d’acceptation de l’offre s’ouvre lundi 8 septembre pour un mois. Les synergies de coûts ont été revues à la hausse, à 900 millions d’euros, mais reportées d’un an.
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BlackRock lance le premier ETF adossé à la méthodologie MSCI World sur la neutralité géographique et sectorielle
Premier fonds listé à commercialiser cette méthodologie MSCI World, l'ETF iShares MSCI World Sector & Country Neutral Equal Weight Ucits vise, selon la société de gestion, un meilleur accès aux entreprises potentiellement sous-évaluées.
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«Une provocation ambulante»: Mélenchon s'en prend à Retailleau, qu'il traite d'homme «odieux»
Marseille - Le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a qualifié jeudi le ministre démissionnaire de l’Intérieur Bruno Retailleau (LR) de «provocation ambulante», d’homme «odieux», en marge de la manifestation à Marseille où il a été député. «Toute action violente ne sert qu’une seule et unique personne, monsieur Retailleau, qui a besoin de la violence, qui a besoin des poubelles qui brûlent, qui a besoin de tout ça pour affirmer son rôle de sauveur de je ne sais quoi. En réalité, cet homme est une provocation ambulante», a-t-il déclaré à la presse, entouré des députés LFI de Marseille Manuel Bompard et Sébastien Delogu. «Cet homme est odieux, il représente une forme de notre pays rassie, rabougrie, haineuse, méfiante contre tout et tout le monde, et qui donne continuellement le sentiment de détester la vie», a-t-il ajouté. Pour lui, «le président de la République ferait bien de le ramener à la raison». S’agissant d’Emmanuel Macron, il l’a accusé : «le président, c’est lui le chaos, et tout ce qu’il y a eu en ce moment est le résultat de son action à lui, pas la mienne», appelant à nouveau à un «départ du président de la République». © Agence France-Presse -
«Une remise en ordre profonde de nos finances publiques»: Eric Ciotti propose un contre-budget de 120 milliards d’économies à Lecornu
Paris - Le patron de l’Union des droites pour la République (UDR) Eric Ciotti, allié du RN, propose au Premier ministre Sébastien Lecornu un contre-budget qui prévoit 120 milliards d'économies à réaliser sur l’immigration, la politique sociale ou encore la contribution de la France au budget de l’UE. Ce contre-budget «vise à réaliser 120 milliards d’euros d’économies structurelles, non par une hausse des impôts mais par une remise en ordre profonde de nos finances publiques», écrit le député des Alpes-Maritimes dans un courrier adressé au chef du gouvernement dont l’AFP a obtenu une copie, avant leur rencontre prévue jeudi à midi à Matignon dans le cadre des entretiens menés par Sébastien Lecornu. Eric Ciotti, qui ne cache pas sa sympathie pour le président ultralibéral argentin Javier Milei élu en promettant de couper dans la dépense publique à la tronçonneuse, propose d’effectuer ainsi des économies près de trois fois supérieures à celle de 44 milliards prévues dans le budget de l’ex-Premier ministre François Bayrou, que l’Assemblée a fait tomber le 8 septembre. Pour y parvenir, il veut «mettre fin aux abus liés à l’immigration», transformer l’aide médicale d’Etat (AME) «en dispositif d’urgence strictement limité», réduire la contribution française au budget européen et l’aide au développement, «réformer en profondeur nos politiques sociales» ou encore moderniser l’assurance chômage et la formation professionnelle. Eric Ciotti, qui se présente aux municipales à Nice en mars, fixe des «lignes rouges claires et non négociables» pour le budget, citant notamment son exigence qu’il n’y ait aucune augmentation des prélèvements obligatoires, ni désindexation des retraites ou diminution de la prise en charge des soins et des médicaments. © Agence France-Presse