Malgré certaines préventions, le taux de rendement des fonds en euros est resté compétitif en 2014, A 2 % net d’inflation, il a peu de concurrents en attendant l’éclosion des supports Eurocroissance
L’Agefi Actifs. - Plus de 10% de rendement en 2014 sur les ex-fonds diversifiés et des performances annualisées très supérieures à celles des fonds en euros classiques sur plusieurs années. Comment capitaliser sur ces résultats ?Benoît Gommard. - Il est important de tenir un langage clair au marché en rappelant que les rendements ont été réalisés sur la base de portefeuilles comprenant respectivement 25% et 36% d’actions. Dans son principe, le fonds en euros Eurocroissance procure une garantie du capital au terme du contrat. Cette échéance, choisie par le client, permet ainsi une gestion plus dynamique des actifs.
L’Agefi Actifs a réuni trois experts, deux économistes et un actuaire, pour étudier la situation de tension sur les supports en eurosLa politique monétaire entraîne le placement vers des rivages dangereux et l’information n’est pas encore à la hauteur des enjeux,
Dans cette deuxième émission, Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’Epargne et fondateur de la société d’études économiques Lorello Ecodata établit un bilan de l’année 2014 en matière d’épargne des ménages et livre son approche sur les orientations pour l’année 2015 après la politique de quantitative easing décidée par la BCE
Mise en ligne le 20 janvier 2015, la nouvelle boîte à outils juridique proposée aux courtiers partenaires par la société de courtage grossiste Alptis prend la forme d’une rubrique dédiée : « Conformité et règlementation », sur l’extranet courtiers du groupe, l’Espace Pro.
Spécialisée dans l’accompagnement des partenaires sociaux sur les recommandations de branche, LPSB Conseil indique que son partenaire juridique pour 2015 sera le cabinet Laurence Lautrette & Associés. Ce dernier aura pour mission de concevoir les solutions juridiques dont les partenaires sociaux ont besoin pour sécuriser les négociateurs de branche en protection sociale. Au-delà, le partenariat ambitionne de donner les moyens aux employeurs et salariés de renforcer la mutualisation des recommandations de branche et de pérenniser les régimes existants.
Les régimes à prestations définies n’ont décidemment pas bonne presse. Les parlementaires veulent une nouvelle fois en limiter les abus par une hausse de la fiscalité sur les rentes « de luxe » et une meilleure information du grand public
Un chef d’entreprise âgé de soixante-trois ans, s’est rendu caution, le 26 septembre 2007 du remboursement de prêts consentis par une banque pour une durée de soixante-douze mois, à la société dont il était gérant. Il a par ailleurs adhéré au contrat d’assurance de groupe souscrit par celle-ci, garantissant les risques de décès jusqu’à soixante-dix ans, et de perte totale et irréversible d’autonomie et d’incapacité de travail jusqu’à soixante-cinq ans. Victime d’un accident vasculaire cérébral, l’assureur a pris en charge les échéances des prêts jusqu’au 4 février 2009. La société ayant été mise, le 29 septembre 2009, en liquidation judiciaire, la banque a assigné le gérant en paiement de diverses sommes. Celui-ci a alors recherché la responsabilité de l’établissement prêteur pour manquement à son obligation d’information et de conseil.