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Bruxelles - Les géants de la tech en font-ils assez pour protéger leurs utilisateurs contre les arnaques financières en ligne? C’est ce que veut vérifier l’Union européenne, au risque de s’attirer de nouveau les foudres de Donald Trump, qui fustige l’interventionnisme de Bruxelles dans le secteur du numérique. La Commission européenne a annoncé mardi avoir envoyé des «demandes d’information» à Apple, Google et Microsoft, ainsi qu'à la plateforme de réservation d’hôtels Booking, dans le cadre de la législation sur les services numériques (DSA), pour savoir «comment ils s’assurent que leurs services ne sont pas détournés par des fraudeurs», a précisé un porte-parole. Dans le détail, la demande de la Commission concerne la boutique d’applications d’Apple (App Store), celle de Google (Google Play), le moteur de recherche de Microsoft (Bing), et Booking. Parmi les activités criminelles ciblées, la Commission évoque la création d’applications trompeuses, qui se font passer pour des applications bancaires officielles, ou l’utilisation de moteurs de recherche pour diffuser des liens ou des publicités pour des sites frauduleux. «C’est une étape essentielle pour protéger les utilisateurs dans l’ensemble de l’UE contre ce genre de pratiques, et vérifier que les plateformes font leur part» pour lutter contre ce phénomène, a estimé un porte-parole de la Commission. Fausses réservations «Microsoft s’engage à créer des expériences en ligne sûres et continuera de collaborer avec la Commission européenne sur ce sujet important», a assuré à l’AFP un porte-parole du groupe. De son côté, Google a rappelé qu’il «fournit une protection de pointe dans l’ensemble de ses produits, et détecte et supprime des millions de résultats de recherche frauduleux chaque jour». Booking a pour sa part assuré s’engager "à discuter des faits de manière constructive», assurant pour prouver ses efforts avoir fait chuter de 83% l’an dernier les «fausses réservations liées au phishing détectées et bloquées». Cette démarche, qui n’en est pas encore au stade d’une enquête formelle, s’appuie sur le vaste arsenal juridique dont l’Europe dispose pour réguler la tech avec le DSA et le règlement sur les marchés numériques (DMA). Désinformation, haine en ligne, contrefaçons ou produits dangereux, le DSA vise à protéger les utilisateurs européens en imposant aux plateformes des obligations. Les manquements à ces règles peuvent leur valoir des amendes pesant jusqu'à 6% de leur chiffre d’affaires annuel mondial. Bruxelles a déjà lancé de multiples enquêtes dans le cadre du DSA, ciblant en particulier les plateformes de Meta, Facebook et Instagram, mais aussi TikTok et X, ou encore le site chinois AliExpress. Mais cet interventionnisme de l’UE dans un secteur dont les champions sont souvent Américains lui a valu les foudres de Donald Trump, qui a menacé de représailles les pays ou organisations régulant le secteur de la tech. Le président américain s’est ainsi insurgé contre l’amende géante (près de 3 milliards d’euros) infligée début septembre par la Commission européenne à Google, pour abus de sa position dominante dans la publicité en ligne. Malgré ces menaces, l’UE a assuré qu’elle mènerait à bien ses enquêtes ouvertes dans le cadre du DSA. «Dans les semaines et les mois à venir, nous serons en mesure de finaliser bon nombre de ces enquêtes», avait déclaré vendredi à l’AFP la commissaire européenne en charge du numérique Henna Virkkunen, ajoutant que «c'étaient les premières décisions qu'[ils allaient] prendre en vertu de la loi sur les services numériques». «Nous en lancerons probablement de nouvelles», avait-elle ajouté en référence à ces enquêtes. Frédéric POUCHOT © Agence France-Presse -
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