
Loïc Kerever : «Nous sommes persuadés que le bien-être au travail se ressent dans la relation avec nos clients»
Dans le cadre de sa participation aux Prix des Coupoles Distrib Invest, Loïc Kerever, directeur général des opérations chez Nortia, nous fait part de sa méthodologie en matière de développement et transmission des compétences. Parcours d’intégration, formations internes, management de projets, Nortia détaille sa vision de la culture «Happy at Work».

Un évènement L’AGEFI
TECH ET DIRECTIONS FINANCIERES
Plus d'articles du même thème
-
Schroders choisit son nouveau responsable de l’Italie
Fabrizio Bianchi succède à Luca Tenani. Il sera rattaché à Yves Desjardins, le nouveau responsable de l’Europe occidentale de Schroders. -
Amundi veut se renforcer au Royaume-Uni
Amundi souhaite renforcer ses activités au Royaume-Uni en ciblant les secteurs en pleine expansion de la gestion de patrimoine et des retraites. « Le marché britannique est clairement une priorité pour nous », a déclaré Eric Bramoullé, directeur général d’Amundi UK, à Financial News lors de sa première interview depuis sa nomination à ce poste l’année dernière. « Nous ne détenons pas la part de marché naturelle qu’Amundi devrait avoir. Nous figurons parmi les cinq ou dix premiers acteurs sur tous les principaux marchés européens, mais pas au Royaume-Uni. Notre objectif est désormais de regagner cette part de marché et de mieux nous faire connaître », a-t-il poursuivi. -
Iroko suspend les souscriptions de sa nouvelle SCPI
La société de gestion a officialisé le lancement d’Iroko Atlas, précommercialisée auprès des CGP depuis la rentrée. Elle reprend la stratégie d’Iroko Zen à ceci près qu’elle n’investira pas en France. Les souscriptions sont toutefois suspendues suite à l'atteinte de l'objectif de la phase sponsor et sera réservée aux investisseurs d'Iroko Zen jusqu'à la fin de l'année. -
Finary finalise sa série B
La fintech spécialisée dans la gestion de patrimoine lève 25 millions d'euros avec de nouveaux entrants comme l'américain Paypal Ventures et les britanniques Localglobe et Hedosophia aux côtés des historiques. L'objectif est d'atteindre 5 milliards d'euros d'encours d'ici trois ans. -
Stéphane Cadieu (Arkéa AM) : «Il faut aborder les marchés avec humilité»
Podcast - Stéphane Cadieu, président du directoire d’Arkéa Asset Management, est le nouvel invité de Haute Féquence. -
L’AMF sanctionne Altaroc et ses deux dirigeants à hauteur de 1,3 million d’euros
La Commission des sanctions reproche des manquements à leurs obligations professionnelles, notamment en matière de process d’investissement et de désinvestissement, de documentation commerciale et de lutte contre le blanchiment.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

L’industrie mondiale des ETF approche les 18.000 milliards de dollars sous gestion
Il s'agit d'un record, porté principalement par trois grands fournisseurs.
Les plus lus
- Stéphane Cadieu (Arkéa AM) : «Il faut aborder les marchés avec humilité»
- Crédit Mutuel Arkéa vend ses 40% dans Swen Capital Partners
- Eric Franc : « DNCA est bien partie pour battre le record de collecte de 2024 »
- Iroko suspend les souscriptions de sa nouvelle SCPI
- Vanguard cherche son futur responsable pour la France
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
La Fabrique de l'Opinion
Quel avenir pour la Ve République ? L’heure des choix se rapproche
Bruno Daugeron : « La configuration politique ne pourra pas permettre à un vainqueur par défaut, quel qu’il soit, de transformer une tripartition en clivage binaire et fécond au-delà du second tour de l’élection présidentielle » -
Tribune
Inégalités des revenus : la France piégée par le traitement des symptômes et non des causes profondes – par Olivier Klein
La réponse aux inégalités de revenus ne peut pas consister à réparer indéfiniment les symptômes par une redistribution toujours plus forte. Le véritable enjeu pour la France est de s’attaquer aux causes profondes, à commencer par le trop faible taux d’emploi -
Une «grave attaque»: le Danemark fustige le survol de l'aéroport de Copenhague par des drones
Copenhague - Les autorités danoises ont dénoncé mardi une «grave attaque» contre les infrastructures du pays après le survol de l’aéroport de Copenhague par des drones d’origine inconnue qui ont bloqué le trafic aérien pendant quatre heures lundi. Les aéroports de Copenhague et Oslo ont rouvert tôt mardi matin après le passage de drones qui a entrainé l’annulation ou le détournement de dizaines de vols dans les deux pays. Il s’agit de «l’attaque la plus grave contre une infrastructure critique» au Danemark, a réagi la Première ministre danoise, Mette Frederiksen, dans un communiqué transmis à l’AFP. «Cela s’inscrit dans l'évolution que nous avons pu observer dernièrement avec d’autres attaques de drones, des violations de l’espace aérien et des cyberattaques contre des aéroports européens», a affirmé Mette Frederiksen. La cheffe du gouvernement fait référence à des intrusions de drones en Pologne et Roumanie et à l’incursion d’avions de chasse russes dans l’espace aérien estonien. Les trois gouvernements avaient mis en cause la Russie, qui a nié toute responsabilité. Le week-end dernier, le trafic aérien avait aussi été perturbé dans plusieurs aéroports européens, dont ceux de Londres, Berlin, Bruxelles et Dublin, après une cyberattaque sur un logiciel fourni par une entreprise pour l’enregistrement des passagers. La police danoise a insisté sur le professionnalisme des auteurs de ces survols. «C’est un acteur qui possède des capacités, une volonté et les outils pour se montrer», a déclaré lors d’une conférence de presse l’un des responsables de la police de Copenhague, Jens Jespersen. «Le nombre, la taille, les trajectoires de vol, le temps passé au-dessus de l’aéroport. Tout cela ensemble semble (...) indiquer qu’il s’agit d’un acteur compétent. Lequel ? Je ne sais pas», a-t-il ajouté. Les services de renseignements danois font face à une «menace de sabotage importante», ont souligné de leur côté les services danois de renseignement (PET). Sur X, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a lui dénoncé une violation de l’espace aérien danois par la Russie. La police danoise s’est montrée plus prudente, sans rien exclure. Il s’agit d’un «acteur qui possède les outils pour se faire remarquer», a dit M. Jespersen. Une forte présence policière a été déployée à l’aéroport pour les besoins de l’enquête, qui a le soutien de l’armée danoise et des services de renseignement. 100 vols annulés L’incident a entrainé des perturbations pour quelque 20.000 passagers d’après la direction de l’aéroport. 31 vols ont été détournés et 100 annulés. De très nombreux passagers faisaient la queue au comptoir pour changer leur billet mardi, a constaté un journaliste de l’AFP. «Je n’ai pas peur (...) mais je suis conscient que la guerre hybride menée par la Russie ne cesse de s'étendre», a déclaré à l’AFP, un voyageur allemand, Eckart Nikolai Bierduempel. C’est l’aéroport qui a repéré lundi soir trois ou quatre «grands» drones, dont la police n’a pas encore déterminé le modèle. Elle a choisi de ne pas les abattre. «Il faut réfléchir très soigneusement avant de tenter de neutraliser de si grands drones», a expliqué M. Jespersen. S’ils devaient tomber au sol, «il y a des avions avec des gens, du carburant, et également des habitations de plusieurs côtés de l’aéroport», a-t-il souligné. Selon lui, cette démonstration pourrait être un entraînement pour les opérateurs de drone. En outre, ces drones provenaient de directions différentes, a ajouté M. Jespersen, précisant qu’ils pouvaient avoir décollé d’un bateau. L’aéroport de Copenhague est situé sur la côte du détroit de l’Oresund, entre la Suède et le Danemark. Il a fermé lundi soir à 20h30 et rouvert peu après minuit. Plus tôt, la police de Copenhague avait déclaré collaborer avec ses homologues à Oslo après que des observations de drones dans la capitale norvégienne ont également entraîné la fermeture de l’aéroport pendant plusieurs heures. Contactée par l’AFP, la police norvégienne n’a pas fait de commentaires à ce stade. Les services de renseignement norvégiens ont confirmé leur implication dans l’enquête. «PST est, comme c’est l’usage, en contact avec les acteurs concernés, tant au niveau national qu’international», a dit à l’AFP un de leurs responsables, Eirik Veum. Camille BAS-WOHLERT © Agence France-Presse