
Gestion obligataire : le défi des restructurations de dette
L’inexorable montée du financement direct de l’économie bouscule l’équilibre des forces dans le traitement des défauts, qui restent cependant contenus.

Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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La perception du risque monte autour de la France
Le gouvernement de François Bayrou devrait tomber lundi après le vote de confiance à l’Assemblée nationale. La nouvelle incertitude politique et budgétaire qui en résultera inquiète un peu plus les marchés, mais pas au point d'imaginer des risques extrêmes. -
Les gestionnaires changent leurs vues sur les taux directeurs
Les prévisionnistes sondés par L’Agefi ont davantage touché à leurs prévisions de taux début septembre que début juillet. Ils repoussent la dernière baisse de la Banque centrale européenne à la fin de l’année plutôt qu’en septembre, et voient la Fed relancer prochainement son assouplissement, en parallèle d’une repentification de la courbe. -
Les gérants crédit abordent la rentrée sous tension
Le Panel Crédit de L’Agefi n’est plus aussi enthousiaste qu’à la veille de la période estivale. Si les fondamentaux et les flux de capitaux demeurent des soutiens solides, les valorisations inquiètent. -
L’automne s’annonce risqué pour les taux longs
Les obligations souveraines à long terme ont subi une nouvelle correction violente début septembre. Les facteurs fondamentaux comme les facteurs techniques ne permettent pas d’envisager un changement de la tendance. -
La France réussit encore ses adjudications de dette à long terme
Les investisseurs ont continué à soutenir les obligations françaises avant le vote de confiance attendu lundi : pour la première adjudication depuis l’annonce de François Bayrou, l’Agence France Trésor a pu emprunter 11 milliards d’euros dans d’assez bonnes conditions malgré un taux de sursoucription bien au-dessous de la moyenne des derniers mois. -
Les Etats, comme les entreprises, n’ont aucun mal à se financer
Les émissions de dette ont atteint un nouveau record quotidien sur le marché primaire de la zone euro, avec notamment deux transactions réalisées par l’Italie et le Royaume-Uni malgré les tensions sur les marchés de taux.
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Allemagne : La conquête de l’Ukraine ne serait « qu’un début » pour la Russie, alerte le chancelier Merz
Berlin - La conquête de l’Ukraine ne serait «qu’un début» pour la Russie de Vladimir Poutine, dont les attaques hybrides contre l’Allemagne sont «de plus en plus intenses et agressives», a accusé lundi le chancelier allemand Friedrich Merz. Cette mise en garde intervient alors que le chef du gouvernement allemand a fait du réarmement de l’Europe une priorité absolue, afin que le continent puisse faire face à la menace russe, mais aussi s’adapter au désengagement américain, depuis l'élection de Donald Trump. «Tout indique que le plan impérialiste de Poutine ne se terminerait pas avec la conquête de l’Ukraine, mais que ce ne serait qu’un début», a-t-il déclaré lors de la conférence annuelle réunissant les ambassadeurs allemands. L’Allemagne assiste «quotidiennement à des attaques hybrides de la Russie de plus en plus intenses et agressives», visant notamment ses «infrastructures», a aussi accusé M. Merz. Berlin observe aussi «les provocations» de Moscou «en mer du Nord et en mer Baltique», a ajouté le chancelier, pour qui «la Russie et la Chine tentent de sécuriser des sphères d’influence en Europe du Sud-Est». Pour M. Merz, «un nouveau conflit systémique a déjà éclaté entre les démocraties libérales et un axe des autocraties», et «ce que nous appelions l’ordre mondial libéral est désormais sous pression de multiples côtés». © Agence France-Presse -
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