Après un début de carrière en trésorerie d’entreprise, Laurence a décidé de troquer Excel pour Word en se reconvertissant dans le journalisme financier. Après avoir géré les flux de cash pour des dockers et des constructeurs d’ordinateurs, elle se retrouve donc à couvrir l’actualité du private equity pendant dix ans. Au sein du groupe L’Agefi, elle se consacre désormais au suivi de l’actualité des investisseurs institutionnels. Sinon, elle adore les volcans.
Dotés de plusieurs centaines de milliards de dollars d’actifs, les fonds souverains et les fonds de pension sont des participants naturels au financement des immenses besoins de capitaux des entreprises d’intelligence artificielle.
Le Public Investment Fund a publié son rapport annuel pour 2024, lequel fait état d'une croissance de 19 % des actifs en un an. Le fonds souligne l’importance de l’intelligence artificielle dans ses opérations.
L’investisseur public singapourien aux 300 milliards d’euros sous gestion crée trois filiales reflétant les segments clés de son portefeuille et repositionne ses dirigeants.
Le Forum international des fonds souverains note que ses membres accordent une importance stratégique à la conformité et y allouent des ressources. Toutefois, ils n'ont pas tous les outils les plus récents.
Gestionnaire pour le compte de l’Etat, la Banque des Territoires (groupe Caisse des Dépôts) intervient dans le cadre du plan d’investissement France 2030.
Avec une valeur dépassant les 1.700 milliards d’euros mi-2025, le fonds souverain norvégien reste le numéro un mondial. Sa taille et sa stratégie d’investissement, désormais appuyée par l’intelligence artificielle, en font un acteur à part dans le paysage financier global.