La suppression d’environ 10.000 emplois, dont la moitié au Japon, entraînera des provisions pour charges proches de 800 millions d’euros pour l’exercice en cours.
Engagé depuis l'origine du projet de reprise de l'équipementier automobile en difficulté via son fonds de revitalisation industrielle Montyon Capital, la société de gestion déplore l'introduction par le vendeur d'un nouvel acteur à quelques jours de la signature prévue.
Le groupe helvétique compte scinder et mettre en Bourse au deuxième trimestre 2026 sa division robotique, potentiellement valorisée 3,5 milliards de dollars.
Grand convalescent après un difficile refinancement l’an dernier, le groupe de services de nettoyage et de sûreté a vu sa rentabilité se dégrader en 2024. Le tout sur fond d’instabilité de sa gouvernance.
Faute de repreneurs, la société, spécialiste des tests ADN, se place sous le chapitre 11 du régime américain des faillites. Sa fondatrice Anne Wojcicki démissionne afin de pouvoir bâtir sa propre offre de reprise. Une manière, pour elle, d'utiliser les subtilités du droit américain.
La cour d’appel de Toulouse reconnaît que l’équipementier aéronautique n’a pas respecté le contrat d’émission et engage donc sa responsabilité. Toutefois, les juges excluent une grande partie des porteurs de bons de souscription d’actions. De nouveaux débats s’ouvrent pour déterminer le montant de la réparation.
Les porteurs de dettes d’Altice France vont récupérer 45% de la maison mère de SFR et un peu plus de deux milliards d’euros en échange d’un abandon de créances de plus de 8 milliards d’euros.
La maison mère de SFR est tout proche d’un accord visant à réduire son endettement de 8,6 milliards d’euros en échange d’une participation conséquente à son capital.
La banque pourrait ne pas atteindre son objectif en matière de coûts rapportés aux revenus mais cela ne devrait pas la pousser à lancer un nouveau plan d’économies dans sa banque de détail, estiment les analystes d’UBS.
Ce chiffre, nettement supérieur à ce qui était prévu lors de la restructuration du groupe, intègre des éléments qui n'étaient pas inclus dans le plan d'affaires.
Le conglomérat américain conservera ses activités dans le traitement de l’eau, tandis que la séparation de sa branche électronique devrait être bouclée au 1er novembre 2025.
Focalisant ses efforts sur les cosmétiques à base de plantes, le groupe d'origine bretonne envisage de céder la célèbre marque auboise de confection ainsi que Stanhome, son pôle de vente directe.
Le groupe informatique a transformé plus de 2 milliards d'euros de dettes en capital et augmenté ses liquidités. Il convoque une assemblée générale le 31 janvier pour approuver ses résultats 2023.
Le cinquième cycle des négociations collectives, qui vient de débuter, représente la dernière chance en vue de conclure un accord avant la fin de l’année 2024.