Nos articles d’actualité et d’analyse sur les économies et marchés (croissance, politique monétaire, indices boursiers) des pays dits émergents, soit la Chine, l’Inde, le Brésil, la Russie, l’Afrique du Sud, et des pays en voie de développement.
L’Inde et le Pakistan doivent désormais négocier les prochaines étapes après cette trêve. Les actions, les obligations souveraines et les devises intègrent cette accalmie dans le conflit le plus dur entre les deux pays depuis 25 ans.
L’arrivée en tête du candidat d’extrême droite au premier tour de la présidentielle roumaine, avec la crainte d'un nouveau dérapage des finances du pays, a provoqué une fuite de capitaux, une forte dépréciation de la devise et l’intervention de la banque centrale. En attendant le second tour le 18 mai.
L’endettement mondial a atteint au premier trimestre un nouveau record à près de 325.000 milliards de dollars. Et cette accumulation n’est pas près de s’arrêter, notamment outre-Atlantique.
La société de gestion Jupiter Asset Management a annoncé la liquidation prochaine de son fonds Jupiter Global Emerging Markets Focus ex China, en raison d’une taille d’actifs devenue insuffisante pour assurer sa viabilité économique.
L’institution de Washington a suspendu pour la première fois une ligne de crédit à un pays. Le motif: une absence d’amélioration de la situation budgétaire. De quoi mettre en difficulté la Colombie, dont les actifs en pâtissent.
La banque centrale argentine a annoncé la fin de l’ancrage de la devise et le passage à un taux de change plus flexible. Le pays a reçu une nouvelle aide du FMI et le soutien de Washington. Le peso, qui est surévalué, chute, mais les investisseurs apprécient.
En dehors du Mexique et du Canada, dont le sort n'est pas scellé, les économies d’Asie, d’Allemagne et d’Italie semblent celles qui se révèlent les plus à risques après la hausse des tarifs douaniers décidée par Donald Trump.
Leur progression depuis janvier se rapproche de 6%, dans l’ombre des actions européennes, mais loin devant les américaines qui attiraient tous les regards en début d’année.
La devise, les actions et les taux se stabilisent lundi malgré une situation politique tendue après l'incarcération du principal opposant au président turc.
La banque centrale brésilienne a relevé pour la troisième fois son principal taux directeur de 100 points de base, à 14,25%, alors que les anticipations d’inflation sont désancrées, en raison notamment de la situation budgétaire. Elle indique de futures hausses de moindre ampleur.
Le positionnement extrême à l’achat sur ce marché a exacerbé la correction après l’annonce de l’arrestation du maire d’Istanbul, le principal opposant du président turc. La banque centrale a dû intervenir sur le change. Certains investisseurs continuent de croire à la belle histoire économique.
Amundi a annoncé le lancement d’un nouveau fonds, Amundi Funds – India Equity Contra, créé en partenariat avec son partenaire local, State Bank of India Funds Management (SBI FM). Le véhicule adopte une approche contrariante, ciblant des actions indiennes value qui se négocient en dessous de leur valeur intrinsèque. Il permet également d’investir dans des actions qui ne font pas partie des principaux indices ni couvertes par la recherche sell-side. Le marché indien des grandes capitalisations est globalement sous-évalué par rapport aux petites et moyennes valeurs, et un bon nombre d’investisseurs table désormais sur une revalorisation de ces titres.
Les actions indonésiennes ont accentué mardi leur chute à plus de 20% depuis leur pic de septembre dernier alors que les investisseurs s’inquiètent de l’économie et de la trajectoire budgétaire.
Le prince héritier Mohammed Ben Salman met en place son plan de transformation du pays à la fois sociale, sociétale et économique. Un projet qui passe aussi par le «soft power» et la diplomatie.
Les taux et le rand sont de nouveau sous pression face à la difficulté du gouvernement de coalition à voter un budget. La politique commerciale américaine pèse également sur le pays.
L’économiste responsable des pays émergents et de la géopolitique à la direction des études économiques de Crédit Agricole SA nous donne ses clés pour essayer de comprendre la situation géopolitique mondiale.
Le principal indice du pays a perdu près de 10% ces six derniers mois. Mais le virage budgétaire et monétaire devrait relancer la consommation interne, principal moteur de la croissance.