Toute l’actualité des introductions en Bourse (IPO) des entreprises françaises et internationales. L’analyse du marché et de ses dynamiques du point de vue des investisseurs, des émetteurs et des banques partenaires.
L’action de la compagnie aérienne a gagné 11,4% pour son premier jour de cotation à Sydney. Son retour en Bourse lui a permis de lever 685 millions de dollars australiens.
Le suédois Hacksaw prévoit de faire ses premiers pas sur la cote de Stockholm le 25 juin prochain et l’espagnol Cirsa espère lever 400 millions d’euros en rejoignant la Bolsa de Madrid.
Spécialiste des composants stratégiques pour la fabrication des semi-conducteurs de nouvelle génération, la société montpelliéraine va s’introduire sur Euronext Growth Paris. Sa capitalisation pourrait atteindre 200 millions d'euros.
Les actions du spécialiste des stablecoins ont plus que triplé lors des premiers échanges, à 69 dollars à l’ouverture, avant de grimper à plus de 103 dollars. A la clé, une capitalisation de 27 milliards de dollars.
Alors que Cobalt Holdings renonce à son projet d’IPO sur le LSE, la fintech Wise compte désormais privilégier New York avec une cotation principale outre-Atlantique.
La cotation boursière de l'un des chefs de file du secteur crypto signale un appétit renouvelé pour les IPO à New York malgré la volatilité persistante des marchés.
Shein envisagerait désormais une cotation à Hong Kong et non plus à Londres. Le géant de la fast fashion y perdrait en image. Sa réputation est aussi fragilisée auprès des investisseurs européens en raison des risques de taxes douanières qui vont réduire ses marges et des critiques récurrentes sur son manque d'éthique. Sa valorisation potentielle a fondu à 30 milliards d'euros.
Le créateur d’un des principaux stablecoins a déposé son document d’introduction auprès du gendarme américain des marchés. Il compte lever environ 240 millions de dollars et des actionnaires céderont pour 360 millions de dollars.
Ces agences semi-publiques avaient été nationalisées lors de la crise financière de 2008-2009. Une privatisation pourrait affecter le coût des hypothèques pour les emprunteurs.
L'action du fabricant de batteries pour véhicules électriques a fini sa première séance de Bourse en hausse de 16% par rapport à son prix d'introduction mardi 20 mai. L'opération a permis de lever 4,6 milliards de dollars et a été sursouscrite tant par les investisseurs institutionnels que par les particuliers.
L’éditeur de logiciels, valorisé 12,5 milliards de dollars en juillet 2024, a déposé une demande d'introduction sur le Nyse après l'échec de son mariage à 20 milliards de dollars avec Adobe. Il vient de mandater Morgan Stanley comme chef de file pour l’opération.
Le fabricant de batteries, déjà coté en Chine continentale, veut rejoindre la Bourse de Hong Kong. Il entend consacrer l’essentiel des fonds obtenus à la construction d’une usine en Hongrie.
Beijing Smart Walnut Education Technology, Shenzhen Cloudsky Technologies, Zaihui et Zhonghe Group préparent leur IPO sur le marché américain, faisant fi d'un contexte de tensions économiques exacerbées entre Pékin et Washington. Les start-up chinoises sont attirées par la forte liquidité du marché américain.
JPMorgan et Bank of America sont censés participer à l'introduction à la Bourse hongkongaise du fabricant de batteries qui a été placé sur une liste d’entreprises travaillant avec l’armée chinoise par les autorités américaines.
Le groupe helvétique compte scinder et mettre en Bourse au deuxième trimestre 2026 sa division robotique, potentiellement valorisée 3,5 milliards de dollars.
Le groupe compte transférer en septembre 2026 le règlement-livraison des transactions sur ses plateformes actions d’Amsterdam, Bruxelles et Paris vers le CSD Euronext Securities de Milan. Dans une logique de «meilleure intégration» du post-marché européen.
Face à la purge récente des marchés boursiers, plusieurs candidats à la cote font machine arrière et mettent en attente leur projet, à l'image de la fintech Klarna ou du courtier eToro. De part et d’autre de l’Atlantique, le doute ressurgit.
Les deux opérateurs ont fusionné il y a un an. Les discussions seraient menées par les fonds de private equity KKR, Cinven et Providence, qui sont actionnaires de MasMovil.