L’indice de confiance des ménages en France a augmenté de manière inattendue en octobre, à 82, contre un consensus attendu à 77 points, rapporte Reuters. L’indice affichait 79 points en septembre. « À 82, l’indicateur qui synthétise (la confiance des ménages) augmente en effet de trois points mais se situe bien au-dessous de sa moyenne de longue période », à 100, précise l’Insee dans un communiqué.
Les derniers chiffres des demandeurs d’emploi publiés mercredi par la Dares indiquent un ralentissement de plus en plus marqué de la décrue observée ces derniers mois.
La Banque de France se penche, dans une étude, sur les impacts d’un dollar fort sur le coût des importations en France. De fait, en 2021, l’Union Européenne et le Royaume-Uni représentaient 56% des importations françaises totales de 586 milliards d’euros. Les Etats-Unis pèsent 16% du solde, mais 57% des importations extraeuropéennes sont facturées en dollar. Un facteur qui n’est pas pris en compte dans le calcul du renchérissement des importations, remarquent les chercheurs. Si l’augmentation du prix des importations extra-UE françaises est estimée à 1,6% depuis janvier 2021, l’augmentation tenant compte de cette prédominance du dollar dans le poids des monnaies de facturation, plutôt qu’en se basant sur le poids des échanges bilatéraux, atteindrait 11,1 %.
La Banque de France se penche, dans une étude, sur les impacts d’un dollar fort sur le coût des importations en France. De fait, en 2021, l’Union Européenne et le Royaume-Uni représentaient 56% des importations françaises totales de 586 milliards d’euros. Les Etats-Unis pèsent 16% du solde, mais 57% des importations extraeuropéennes sont facturées en dollar. Un facteur qui n’est pas pris en compte dans le calcul du renchérissement des importations, remarquent les chercheurs. Si l’augmentation du prix des importations extra-UE françaises est estimée à 1,6% depuis janvier 2021, l’augmentation tenant compte de cette prédominance du dollar dans le poids des monnaies de facturation, plutôt qu’en se basant sur le poids des échanges bilatéraux, atteindrait 11,1 %.
Le climat des affaires s’est légèrement redressé en octobre dans l’industrie en France, après trois mois consécutifs de baisse. Selon l’enquête mensuelle de conjoncture publiée jeudi par l’Insee, l’indicateur du climat des affaires dans le secteur est ressorti à 103,0 points en octobre, pour 101,0 attendu et après 102,0 en septembre ce qui constituait un plus bas de dix-huit mois. Cette dernière publication marque la première amélioration de l’indice après trois mois consécutifs de baisse. L’indicateur du climat des affaires dans les services est ressorti quasi-stable, à 105,0 en octobre après 106,0 en septembre. Idem pour l’indicateur du climat des affaires global, stable à 102,0 en octobre comme en septembre.
Le comité d’évaluation de la fiscalité, adossé à France Stratégie, a publié jeudi des données actualisées sur les impacts des réformes engagées depuis 2018. La baisse des taux d’imposition, qui inclut la suppression de l’ISF, a été compensée par la croissance des revenus : en 2020, comme en 2017, les recettes de taxation sur le capital représentaient 23 % de l’ensemble des prélèvements obligatoires, contre 20 % dans l’Union européenne. La réforme de l’ISF ne semble pas avoir eu d’impact sur les flux de placements financiers des ménages, qui atteignent 166 milliards d’euros en 2021 (contre 200 milliards en 2020 et 110 milliards en 2018-2019). Il n’y a pas eu de décalage des investissements vers le financement des entreprises, comme l’espérait le législateur. En revanche, le comité remarque une baisse du nombre d’expatriations et une hausse du nombre d’impatriations fiscales de ménages assujettis à l’IFI : le solde des retours, nets des départs, s’établit ainsi à +140, positif pour la troisième année consécutive. Un faible effectif, rapporté aux 150.000 contribuables assujettis à l’IFI, mais dans le bon sens.
Le comité d’évaluation de la fiscalité, adossé à France Stratégie, a publié jeudi des données actualisées sur les impacts des réformes engagées depuis 2018. La baisse des taux d’imposition, qui inclut la suppression de l’ISF, a été compensée par la croissance des revenus : en 2020, comme en 2017, les recettes de taxation sur le capital représentaient 23 % de l’ensemble des prélèvements obligatoires, contre 20 % dans l’Union européenne.
Le climat des affaires s’est légèrement redressé en octobre dans l’industrie en France, après trois mois consécutifs de baisse. Selon l’enquête mensuelle de conjoncture publiée jeudi par l’Insee, l’indicateur du climat des affaires dans le secteur est ressorti à 103,0 points en octobre, pour 101,0 attendu et après 102,0 en septembre ce qui constituait un plus bas de dix-huit mois.
L’inflation en France a légèrement ralenti en septembre, à 5,6% sur un an après 5,9% en août, a confirmé vendredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). La hausse des prix de l’alimentation a accéléré, à 9,9% sur un an en septembre, après 7,9% en août. En Espagne, les prix à la consommation ont augmenté de 8,9% en glissement annuel en septembre, contre 10,5% pour août, selon les données publiées le même jour par l’Institut national de la statistique. L’inflation cœur est tombée à 6,2 % sur un an en septembre, contre 6,4 % en août.
L’inflation en France a légèrement ralenti en septembre, à 5,6% sur un an après 5,9% en août, a confirmé vendredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Cette baisse de l’inflation résulte du ralentissement des prix des services (+3,2% après +3,9%) et de l'énergie (+17,9% après +22,7%). La hausse des prix de l’alimentation a accéléré, à 9,9% sur un an en septembre, après 7,9% en août.
L'économie française devrait progresser de 0,25 % au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, a déclaré lundi la Banque de France. La banque centrale tablait jusqu’ici sur une croissance de 0,3 %. L’activité du secteur industriel est restée stable en septembre, tandis que l’activité dans les services a progressé. Les dirigeants d’entreprise évoquent cependant une montée de l’incertitude, principalement due aux prix de l'énergie et à la disponibilité de l'électricité. Les premiers indicateurs laissent entrevoir une légère tendance générale à la hausse en octobre, même si le secteur des services devrait progresser plus lentement que les mois précédents. Pour l’ensemble de l’année, la banque centrale maintient sa prévision de croissance à 2,6 %.
L'économie française devrait progresser de 0,25 % au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, a déclaré lundi la Banque de France. La banque centrale tablait jusqu’ici sur une croissance de 0,3 %. L’activité dans le secteur industriel est restée stable en septembre, tandis que l’activité dans le secteur des services a progressé. Les dirigeants d’entreprise évoquent cependant une montée de l’incertitude, principalement due aux prix de l'énergie et à la disponibilité de l'électricité. Les premiers indicateurs laissent entrevoir une légère tendance générale à la hausse en octobre, même si le secteur des services devrait progresser plus lentement que les mois précédents. Pour l’ensemble de l’année, la banque centrale maintient sa prévision de croissance à 2,6 %.
Le déficit commercial de la France continue de se creuser à 15,301 milliards d’euros fin août, selon les données publiées vendredi par le bureau des Douanes françaises. Ce chiffre est pire qu’attendu par le consensus. À fin juillet, le déficit s'élevait à 14,786 milliards d’euros (révisé). Cette détérioration est causée par l’accroissement du déficit de la balance énergétique dans un contexte de prix de l'énergie en hausse, précise le communiqué publié par les Douanes.
Le déficit commercial de la France continue de se creuser à 15,301 milliards d’euros fin août, selon les données publiées vendredi par le bureau des Douanes françaises. Ce chiffre est pire qu’attendu par le consensus. À fin juillet, le déficit s'élevait à 14,786 milliards d’euros (révisé). Cette détérioration est causée par l’accroissement du déficit de la balance énergétique dans un contexte de prix de l'énergie en hausse, précise le communiqué publié par les Douanes.
Malgré des déficits proches de 5% et une croissance en berne, le niveau de la dette publique française rapportée au PIB devrait baisser en 2022 et 2023 grâce à… l’inflation.
Le gouvernement estime que le projet de loi visant à accélérer la construction de nouveaux réacteurs nucléaires en France permettra de lancer la construction d’un premier EPR2 avant la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron en mai 2027, rapportait mardi Reuters en citant le ministère de la Transition énergétique. La mise en service commerciale d’un premier réacteur de nouvelle génération est quant à elle envisagée à compter de 2035-2036. Emmanuel Macron a lancé en février le vaste chantier du renouvellement du parc nucléaire français en annonçant la construction de six nouveaux réacteurs de nouvelle génération (EPR2) et la possibilité de huit réacteurs additionnels.