Le portrait social de la France, publié par l’Insee mardi, se penche sur l’impact des mesures fiscales et sociales prises en 2020 et 2021. Ces mesures ont permis d’augmenter de 1,1% le niveau de vie des résidents de France métropolitaine (soit un gain moyen de 280 euros par an et par personne). Le taux d’inflation atteignait 0,5% et 1,6% en 2020 et 2021. Tous les efforts de redistribution n’ont pas été pris en compte : l’élargissement du dispositif d’activité partielle, le fonds de solidarité pour les travailleurs indépendants et la prolongation des droits à l’indemnisation chômage ont été exclus de l’analyse.
Le Fonds Monétaire International (FMI) a rendu public lundi son rapport sur les perspectives de l’économie française en 2023. Les prévisions de croissance sont restées inchangées, l’organisme tablant sur une croissance de 2,5% en 2022 et de 0,75% en 2023. Une croissance moins forte aux Etats-Unis ou en Chine, une prolongation de la guerre en Ukraine et des problèmes énergétiques, ou une hausse des taux d’intérêts plus rapide ou plus importante que prévue, peuvent toutefois peser sur la dynamique française.
En octobre 2022, le nombre total de créations d’entreprises tous types d’entreprises confondus a crû de +1,7%, soit 93.227 entreprises, après +1,4% en septembre, indiquait vendredi l’Insee. Il s’agit du cinquième mois consécutif de hausse, porté par les immatriculations de micro-entrepreneurs, qui représentent 58.497 des nouvelles entités crées, en hausse de 4,2% sur un mois. Le nombre total d’entreprises créées au cours des douze derniers mois (de novembre 2021 à octobre 2022) augmente très légèrement (+0,2% en glissement annuel).
En octobre 2022, le nombre total de créations d’entreprises tous types d’entreprises confondus a crû de +1,7%, soit 93.227 entreprises, après +1,4% en septembre. Il s’agit du cinquième mois consécutif de hausse, porté par les immatriculations de micro-entrepreneurs, qui représentent 58.497 des nouvelles entités crées, en hausse de 4,2% sur un mois. Le nombre total d’entreprises créées au cours des douze derniers mois (de novembre 2021 à octobre 2022) augmente très légèrement (+0,2% en glissement annuel).
Seulement sept points séparent le meilleur des fonds investis en actions françaises de la moyenne de sa catégorie. De quoi voir une catégorie bien homogène et un environnement difficile dans une Europe en panne. A noter une grande variété dans les notations des meilleurs fonds sur un an...
Le taux de chômage est resté quasi stable au troisième trimestre en France (hors Mayotte), affichant une baisse de 0,1 point sur la période pour s'établir à 7,3%, selon les données publiées mardi par l’Insee. Le taux de chômage en France s’inscrit en repli de 0,9 point par rapport à son niveau de fin 2019, et affiche une baisse de 0,7 point sur un an. Le taux de chômage des jeunes, qui avait atteint fin 2021 un plus bas depuis une quarantaine d’années, a progressé au cours du troisième trimestre (+0,3 point), mais, à 18,3%, il demeure inférieur de plus de trois points à son niveau d’avant-crise. Parallèlement, le taux d’emploi des 15-64 ans est reparti à la hausse sur le trimestre, progressant de 0,3 point pour s'établir à 68,3%, un record absolu.
L’inflation en France a accéléré en octobre, à 6,2% sur un an après 5,6% en septembre, a confirmé mardi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). «Cette hausse de l’inflation résulte de l’accélération des prix de l’alimentation (+12% après +9,9%), de l'énergie (+19,1% après +17,9%) et des produits manufacturés (+4,2% après +3,6%)», a précisé l’Insee dans un communiqué. La hausse des prix des services a pour sa part légèrement en ralenti en octobre, à 3,1% sur un an après 3,2% en septembre. Sur un mois, les prix à la consommation en France ont, comme initialement estimé, progressé de 1% en octobre, après une baisse de 0,6% en septembre.
Le taux de chômage est resté quasi stable au troisième trimestre en France (hors Mayotte), affichant une baisse de 0,1 point sur la période pour s'établir à 7,3%, selon les données publiées mardi par l’Insee. Le taux de chômage en France s’inscrit en repli de 0,9 point par rapport à son niveau de fin 2019, et affiche une baisse de 0,7 point sur un an. Le taux de chômage des jeunes, qui avait atteint fin 2021 un plus bas depuis une quarantaine d’années, a progressé au cours du troisième trimestre (+0,3 point), mais, à 18,3%, il demeure inférieur de plus de trois points à son niveau d’avant-crise. Parallèlement, le taux d’emploi des 15-64 ans est reparti à la hausse sur le trimestre, progressant de 0,3 point pour s'établir à 68,3%, un record absolu.
L’inflation en France a accéléré en octobre, à 6,2% sur un an après 5,6% en septembre, a confirmé mardi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). «Cette hausse de l’inflation résulte de l’accélération des prix de l’alimentation (+12% après +9,9%), de l'énergie (+19,1% après +17,9%) et des produits manufacturés (+4,2% après +3,6%)», a précisé l’Insee dans un communiqué. La hausse des prix des services a pour sa part légèrement en ralenti en octobre, à 3,1% sur un an après 3,2% en septembre. Sur un mois, les prix à la consommation en France ont, comme initialement estimé, progressé de 1% en octobre, après une baisse de 0,6% en septembre.
Entre fin juin et fin septembre 2022, l’emploi salarié du secteur privé a augmenté de 0,4% en France, soit 89.400 créations nettes d’emplois, après une hausse de 0,5% au deuxième trimestre. Les chiffres publiés mardi par l’Insee indiquent que l’emploi salarié privé est désormais supérieur de 2,2% à son niveau de fin septembre 2021, et de 4,3% à son niveau de fin 2019. La majeure partie de ces hausses sont liées au tertiaire marchand hors intérim, dans lequel l’emploi a progressé de 0,5%, après +0,8% au trimestre précédent.
Entre fin juin et fin septembre 2022, l’emploi salarié du secteur privé a augmenté de 0,4% en France, soit 89.400 créations nettes d’emplois, après 0,5% au deuxième trimestre.
La croissance française a ralenti au troisième trimestre, s’établissant à 0,2% selon des chiffres publiés vendredi par l’Insee. L’acquis de croissance pour 2022 atteint 2,5% fin septembre, proche de la prévision de 2,7% sur l’ensemble de l’année retenue par le gouvernement. Les dépenses de consommation des ménages ont marqué le pas au troisième trimestre (croissance nulle après +0,3% au trimestre précédent), pénalisées par une confiance en berne et un pouvoir d’achat affecté par les pressions inflationnistes persistantes. La Banque de France s’attend toujours à une évolution du PIB l’an prochain comprise entre -0,5% et +0,8%, a indiqué vendredi l’institution.
L’indice de confiance des ménages en France a augmenté de manière inattendue en octobre, à 82, contre un consensus attendu à 77 points, rapporte Reuters. L’indice affichait 79 points en septembre. « À 82, l’indicateur qui synthétise (la confiance des ménages) augmente en effet de trois points mais se situe bien au-dessous de sa moyenne de longue période », à 100, précise l’Insee dans un communiqué.
Les derniers chiffres des demandeurs d’emploi publiés mercredi par la Dares indiquent un ralentissement de plus en plus marqué de la décrue observée ces derniers mois. Le nombre d’inscrits en catégorie A - sans aucune activité - a stagné sur trois mois (+0% ou +1.400 personnes à fin septembre) en France métropolitaine. A titre de comparaison, le recul avait été de 0,8% au deuxième trimestre. Fin septembre, 2,946 millions de personnes faisaient partie de cette catégorie selon les données de Pôle emploi. Les inscrits en catégorie B - ayant exercé une activité réduite de 78 h sur le mois - ont augmenté de 5,5%, à 750.600 inscrits désormais. La catégorie C - personnes en activité réduite longue - voit, au contraire, ses inscrits reculer de 2,7%, à 1,456 million de personnes. Au total, le nombre de personnes inscrites dans les catégories A, B, C est stable à 5,153 millions d’individus, avec une baisse sur un an de 7,3%.