En misant sur le courtier luxembourgeois, le groupe DLPK confirme sa volonté de se développer à l’international sur les terrains de la gestion de l’épargne et de la prévoyance.
David Charlet, président de l'Anacofi qui tenait il y a peu sa convention annuelle s'est exprimé au micro de l'Actifs sur les grands sujets qui agitent le monde des CGP. Outre la réforme du courtage ou le mouvement de consolidation, il a été question de la fin des rétrocessions. Et sur ce point, David Charlet ne mâche pas ses mots...
La mensualisation du taux d’usure commence à montrer ses premiers effets. Ceux applicables à compter du 1er avril prochain ont été publiés ce mardi 28 mars au Journal officiel. Si le plafond des 4% avait déjà été dépassé le mois dernier pour les prêts de 20 ans et plus, il l’est à présent pour toutes les durées (voir ci-dessous).
Le registre unique dénombrait 92% de renouvellements l’an passé au même moment. Consciente de ce décalage, l'association a reporté d'un mois la date butoir des réinscriptions.
Le président de l'Association professionnelle des intermédiaires en crédits (Apic) fait le point sur la situation des courtiers. Entre les tensions avec les banques et la réforme du courtage, l'année s'annonce compliquée...,
Le ministère de l'Economie et des Finances a rappelé dans une réponse ministérielle l'opposabilité du mandat aux tiers et les sanctions en cas de non respect. Les IOBSP exultent.
Les représentants des intermédiaires de crédit, courtiers et mandataires, ont adressé une lettre ouverte au Ministre du logement Olivier Klein concernant la situation du marché immobilier.
La fin d’année risque d’être compliquée pour les ménages qui veulent emprunter, pris en tenaille entre des taux d’intérêt à la hausse et un taux d’usure qui augmente plus lentement.
Le Haut Conseil estime que la limitation du taux d’effort à 35% et de la durée d’emprunt à 25 ans a assaini le marché. 13,7% de la production de crédit seraient en-dehors des clous, loin de la marge de 20% accordée.
Le Conseil Constitutionnel a jugé ce jour la loi Courtage conforme à la Constitution. Les arguments de l’ANDCGP, qui la jugeait contraire à la liberté d’entreprendre, à la liberté syndicale et à la liberté d’association n’ont pas été retenus.
Lors d’une réunion avec la Banque de France, la Fédération bancaire française a proposé de baser le calcul sur les taux d’intérêt au moment de la signature de l’offre de prêt. Les courtiers pestent de ne pas avoir été invités à cette réunion.